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oui, le seul coiffeur du bd mohameds v a habité un certain temps dans mon quartier setti messaouda, il avait une belle femme, toujours bien vetue et bien coiffée, , cette dame venait juste d'avoir un bébé.par ressac - LE MAROC
bonsoir à tous : le café la frenaie était à ma connaissance, un café bar restaurant hotel, propriété d'une vieille française qui possédait un petit chien probablement pékinois, jeune ( 1956 ) je ne manquais pas de jeter un regard dans la cour de ce café qui était bien ombragé par de grands arbres probablement des freines, la propriétaire des lieux se tenait devant la porte du bar, spar ressac - LE MAROC
bonsoir raphy : paix à son âme ainsi qu'à l'âme de jacob, c'étaient des gens très bien.par ressac - YAHSRA
bonsoir dody : j'ai connu Suzanne, celà se passait en 61 62 , si c'est la même, elle venait souvent en été à la piscine municipale. c'était une jeune fille de 14 - 15 ans, qui avait des cheveux noir comme du geai, coupés un peu courts. plus tard, je l'ai revu au quartier de l'étlas à fès. est ce qu'il s'agit de la même personne.par ressac - YAHSRA
au maroc, il y a ce qu'on appelle des bains maures, les gens vont au bain maure une fois par semaine ou tous les dix jours. pour chauffer l'eau du bain, il y a ce qu'on appelle un fernatchi, il y a un gars chargé de veiller sur le farnatchi pour qu'il y ait toujours de l'eau très chaude. ce gars là ne met jamais les pieds dans le bain pour se laver, il veille juste à maintenir un grand feu dapar ressac - DIVERS
oui le bar des cerises était tenu par jacob. ah la belle époque, la bonne bière bien fraiche. le grand verre de vin rouge bien frais à 50 centimes le grand verre.par ressac - LE MAROC
bonsoir dick dick et tous les lecteurs : je viens de voir sa photo sur la page 34 et c'est toi dick dick qui l'a mise, j'avais préféré ne rien dire, mais le personnage est tellement odieux que je n'ai pas pu garder le silence. il s'agit de larbi. voiçi l'histoire : j'étais interne au lycée moulay ismail, un samedi soir avec un copain après le diner à l'internat, on est sorti faire un tourpar ressac - LE MAROC
raphy, la dame dont tu parles, je ne sais pas si elle s'appelait mme rose, mais en tout cas la cartomancienne, je la connaissais, elle avait une démarche très particulière, elle marchait en se dandinnant, comme une chaloupe sur des petites vagues, et portait des colliers bien bizzares et des vetements tout en couleurs, son coin npréféré pour faire son boulot se situait entre le cinéma campar ressac - LE MAROC
renatto, je parle de l'école d'horticulture située près de l'académie militaire de meknès et non pas de l'école d'agriculture. en 58 - 59 , j'étais en cm 1 chez madame vairon, en 59 - 60 , j'étais chez monsieur roland panchuquet, un brave type, qui avait une femme et deux petites filles qui venaient le voir tous les soirs juste avant la fin des cours du soir. deux petites blondes avec despar ressac - LE MAROC
gigi bonsoir, tu as bien vu alain mathé, et bien bravo, le monde est bien petit, est ce qu'il s'agit bien du mathé à la grosse moto, celui qui faisait la cour à toutes les filles, au visage jouflu, dont la maman tenait un night club sur la grande avenue près du marché municipal. je l'ai connu alors que moi âgé de 13 - 14 ans le regardait filer à toute vitesse sur la grande avenue prèspar ressac - LE MAROC
laura 1501 : bonjour, je te réponds au sujet des renseignements que tu m'as demandé : un : le nommé fillali, demeure inconnu , pour ce qui est des cars reliant rabat via salé à meknès fès, il y en a aujourd'hui des dizaines à peu près un tous les quarts d'heure, deux : pour ce qui est du salon de coiffure en face du jardin, il y en a plusieurs, bien sur en face du jardin qui est près dupar ressac - LE MAROC
slaoui, si salé a abrité des corsaires dans le passé, ces hommes étaient en fait des enfants de choeur par rapport aux vrais corsaires européens qui ont écumés toutes les mers de la planète des temps les plus reculés jusqu'au 19 ème siècle. sans aucune pitié, ils s'attaquaient à tout ce qui bougeait sur les mers, leur règle étaient de ne laisser aucun survivant parmi leurs victimespar ressac - LE MAROC
oui gigi, tu as raison, le restaurant le poussin d'or était juste en face de la porte de l'école du bd de paris. la fille de la propriétaire était également élève à l'école des filles. si tu ne te rappelles pas d'elle, je te dis comment elle était : elle avait de gros yeux tous ronds et franchement elle était pas belle du tout, par contre la nièce de riot qui était interne à l'écolpar ressac - LE MAROC
septty1 : cher ami, moi je rappele bien de l'année scolaire 58 _ 59, car en 58 papa a été muté a meknès et toute la famille l'a suivi, cette année donc en 58 je fus inscrit au CM 1 dans la classe de madame vairon, il y avait bien dans notre classe potiron gérard, le 1 er de la classe, l'année suivante on est monté en CM 2 , moi chez MR ROLAND PANCHUQUET, dans la classe du fond au prempar ressac - LE MAROC
salut les amis : potiron gérard, c'était le meilleur élève de la classe, toujours premier, c'était en 58 - 89, il était avec moi, dans la classe de madame vairon, il avait une tête toute ronde et se faisait couper les cheveux très ras, avec moi dans la même table il y avait riot jean jacques, son jeune frère jean claude était dans une autre classe ( des petits ) leur père venait despar ressac - LE MAROC
raphy tu m'excuses, : j'ai la mémoire qui fait tilt des fois, l'homme à la droguerie du mellah ce n'était pas debdoubi, mais loutati bien connu à sefrou, ton cousin kholkakov de fès m'en avait fait la remarque. au sujet de la maison où tu es né, je la connais bien, celle attenante à la boutique du coiffeur salah a une grande porte, autrefois, il y avait quelqu'un qui faisait des brochettepar ressac - LE MAROC
raphy voilà, je me présente : je suis né en 19... dans la modeste maison familiale sise au lieu dit SABA, du quartier EL KASBA dans la médina de SEFROU., mes parents, mes deux soeurs et moi pccupions alors une chambre au premier étage de la maison familiale, car deux oncles et deux tantes habitaient aussi avec nous, chacun dans une chambre avec sa famille. cette maison était le seul héritapar ressac - LE MAROC
sepptyl et renatto, je crois qu'on était à l'école du bd de paris à la même époque, au cm 1 j'avais madame vaieon comme institutrice, à la même table que moi, il y avait riotte jean jacques, son frère jean claude était plus petit, comme j'étais un bon élève en calcul, riotte me passait du nougat pour copier sur moi, ses parents avaient une ferme du côté de sefrou, les riotte étapar ressac - YAHSRA
tant mieux pour toi raphy, comme ça tu auras hérité de beaucoup de bien, mais il y a un certain kholkakov qui m'a répondu de la même façon est ce que ça ne serait pas toi par hasard kholkakov habite à fès lui.par ressac - LE MAROC
raphy bonsoir : debdoubi , j'enconnaissais un, il avait une boutique de droguerie dans le mellah, à droite de la rue centrale du mellah en pénétrant par le pont, il vendait la peinture, des serrures et autres objets pour la construction des maisons. est ce que c'est ton grand père.par ressac - LE MAROC