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Les" colonnes" lors des operations militaires doivent imperativement pouvoir communiquer non seulement entre elles mais également avec l'Etat Major géneral. On a cité quelques uns d'entr'eux récemment…Il y avait aussi les REKKAS (RAKAS) , courriers marocains. Un exemple de leur rôle , semble-t-il tres important : Le 18 avril 1913 le gros de la colonne MANGIN se trouve à CASBAHpar cigalou - LE MAROC
Qui dit signe dit insigne... On a vu ceux des 2éme et 4 éme GTM (groupement de tabors marocains), composés de goumiers ...en voici d' autrespar cigalou - LE MAROC
c'est toujours comme cela lorsque l'on est jeune ! merci pour le compliment...par cigalou - LE MAROC
1966 colonne "RABAT" en bas de l'avenue de la VICTOIREpar cigalou - LE MAROC
Pour communiquer les sapeurs telegraphistes de la colonne du Haut GUIR installent des poteauxpar cigalou - LE MAROC
Rudesse du climat , déplacement en "colonnes" pendant de longs mois avec des conditions d'hygiene precaires entrainent de nombreuses maladies. Donnons un exemple avec le debarquement à CASA en septembre 1912 de la deuxiéme batterie du 1er regiment d'artillerie de montagne (le canon de 65 transporté à dos de mulet). Intégrée dans la colonne MANGIN cette batterie ,au moment du depar cigalou - LE MAROC
le 23 janvier 1908 une compagnie de légionnaires du 1er Régiment Etranger comptant 117 hommes sont surpris par une tempete de neige prés du CHOTT TIGRI ...BILAN : 9 morts, et 93 légionnaires souffrant de gelures plus ou moins graves.par cigalou - LE MAROC
certains ne savaient pas ou refusaient de croire qu'au MAROC il pouvait faire tres froid !par cigalou - LE MAROC
bon fermons cette parenthése sur les signes ; si certains soldats de l'armée coloniale ont cru en quittant la FRANCE que leur séjour au MAROC ressemblerait à un trek touristique ils ont vite déchanté du fait bien evidemment de la resistance acharnée des tribus berbéres mais aussi pour de multiples autre raisons. Citons la chaleur et ses insolationspar cigalou - LE MAROC
on peut parler aussi de l'Empire des signes et des symboles : pendant la periode de la guerre du MAROC les loges maçonniques etaient bien implantées de TANGER à MOGADOR...CASA était " éclairée" par le "Phare de la Chaouia"...Ces loges ont bien sur joué un role dans les oeuvres sociales ...Leurs rapports avec le resident general LYAUTEY paraissent avoir été plutot dispar cigalou - LE MAROC
A coté des signes optiques qui au moyens de faisceaux lumineux permettent de communiquer à environ 20 km de jour et 50 km de nuit il y a les signes vocaux du telephone de campagne...Quand ça marche !par cigalou - LE MAROC
on peut chercher des SIGNES de l' ennemi avec le fameux ballon militaire DAR el BEIDA...L' inconvenient évidemment c'est que les resistants, grace à ce signe rond savaient où se trouvait la troupe !!!l'experience n'a pas duré , semble t il longtemps...par cigalou - LE MAROC
pour communiquer il y a les signes optiquespar cigalou - LE MAROC
Et encore d'autres morts ...ça promet!par cigalou - LE MAROC
il y aussi de tres mauvais signes pour l'armée coloniale...par cigalou - LE MAROC
bonsoir, Puisque TISLITE nous parle de SIGNES citons en quelques uns : d'abord un signe de malheur...EN 1908 lors de l'offensive coloniale dans la CHAOUIA les M'DAKRA et les YAOULEDS se barbouillent le visage de terre comme symbole de malheurpar cigalou - LE MAROC
cher rbati, si un rbati demande à un autre rbati le nom des bab d' oujda ...on risque de tourner en rond !!! bon serieusement c'est ce qui m'a été dit mais il est tout à fait possible qu'elle porte un autre nom...Je ne pense pas qu'elle ait changer de nom apres 1910...Si tu dis sidi ABDELOUAHAB moi ça me va ! amitiéspar cigalou - LE MAROC
bonjour, bab SIDI AISSA en 1910par cigalou - LE MAROC
cerisier a écrit: ------------------------------------------------------- > fallait dès le début nous dire que t'es un athée, > les athées on leur parle pas, nous on parle aux > gens du livre, toi tu fais pas partie des gens du > livre. j'invite fix et les autres qui essaient de > te faire comprendre quelque chose de ne plus > discuter avec toi, t'es qu'un athée.par cigalou - DIVERS
Bonjour, Dans son ouvrage "Histoire comtemporaine du MAGHREB" Jean GANIAGE , ancien professeur à RABAT écrit à propos des evenements de CASABLANCA du 7 avril 1947 : "Violemment pris à partie par la foule , à la suite d'une rixe banale dans le célèbre BOUSBIR , les soldats s' etaient repliés dans leur caserne , dont ils avaient pillé le magasin d' armes et , pour se vpar cigalou - LE MAROC
et le grand cédre " GOURAUD" sur la route du MISCHLIFFEN est il toujours debout et s'appelle -il toujours GOURAUD?par cigalou - LE MAROC
HAIFA, de 65 à 75 je me rendais chaque année de RABAT à IFRANE où je logeais dans des chalets appartenant à l'armée. Ces chalets existent ils toujours? amitiespar cigalou - LE MAROC
bonjour HAIFA et les amoureux du MOYEN ATLAS voici un timbre representant AZROU en 1928par cigalou - LE MAROC
ce qui précede est un extrait du livre de yves BENOT "massacres coloniaux" yves BENOT historien français du colonialisme a vécu au MAROC militant aupres des mouvements independantistes dans les annees 51-53 et au journal de la CGT marocaine Pour mémoire ses parents et son épouse ont été exterminés dans les camps de la mort ce militant communiste, de son vrai nom Edouard HELMApar cigalou - LE MAROC
7 avril 1947: Émeute des tirailleurs sénégalais à Casablanca: plus de 60 morts (Maroc) Une rixe éclate le samedi 7 avril entre des soldats sénégalais et des marocains à propos d'on ne sait quelle femme. Les sénégalais rentrent à leur caserne, se munissent de leurs armes, retournent en ville et tirent dans le tas. Ce n'est que le dimanche matin vers 8 heures que la tuerie cesse. Sipar cigalou - LE MAROC
Bonjour AFFECTION , J'ai bien lu , avec une toute particuliére attention, ton message du 17/04/2007 . Le 17 avril 1947 il y a bien eu une tuerie à CASABLANCA perpétrée par des tirailleurs sénégalais ; ceci est un fait historique incontestable et incontesté. Ce drame humain me bouleverse bien évidemment et je partage la peine et la douleur de ta famille et de toutes les familles affectÃpar cigalou - LE MAROC