Il y a peu de documents historiques sur les communautés juives et je comprend qu'on s'y intéresse à plus d'un titre : pour l'histoire, la sociologie de ces communautés, l'art de la calligraphie etc.
mais ce qui est le plus important pour moi dans ces documents c'est la façon dont les hommes assuraient leurs droits matrimoniaux qui est frappante. Les droits de la femme étaient parfaitement secondaires, et surtout totalement fictifs lorsqu'un homme souhaitait divorcer. le prix à payer était souvent les deux bracelets en or qui avaient constitué le cadeau de noces, et la pauvre femme répudiée ne pouvait qu'accepter la dureté de son sort, et se réfugier dans sa famille dans le meilleur des cas. Je parle d'expérience, mes parents n'ont heureusement pas divorcé mais les droits de ma mère écrits dans sa kitouba étaient ridiculement symboliques. Les communautés juives n'ont pas brillé par leur intelligence et sensibilité à l'égard des femmes. hélène
Il y a peu de documents historiques sur les communautés juives et je comprend qu'on s'y intéresse à plus d'un titre : pour l'histoire, la sociologie de ces communautés, l'art de la calligraphie etc.
mais ce qui est le plus important pour moi dans ces documents c'est la façon dont les hommes assuraient leurs droits matrimoniaux qui est frappante. Les droits de la femme étaient parfaitement secondaires, et surtout totalement fictifs lorsqu'un homme souhaitait divorcer. le prix à payer était souvent les deux bracelets en or qui avaient constitué le cadeau de noces, et la pauvre femme répudiée ne pouvait qu'accepter la dureté de son sort, et se réfugier dans sa famille dans le meilleur des cas. Je parle d'expérience, mes parents n'ont heureusement pas divorcé mais les droits de ma mère écrits dans sa kitouba étaient ridiculement symboliques. Les communautés juives n'ont pas brillé par leur intelligence et sensibilité à l'égard des femmes. hélène