Bonjour et avant tout grand, immense merci de m'avoir rajeuni de plus de 50 ans. Je me souviens avec émotion ma mère ZL chef d'entreprise hyoer active à casablanca et mère de famille exemplaire qui m'emmenait bambin un peu partout et dans les souks et bien sûr toutes ces odeurs (les acs d'épices ouverts à hauteur de mon nez, et tout ce que vous évoquez m'interpelle. Je me souviens de toutes ces odeurs, glanées sur les étals, d'autres qui piquaient les yeux : les rouleaux de tissu qui arrivaient à l'atelier, cette odeur qui mettait plusieurs jours à partir, et celles de cuisines de la maison mais aussi des voisins, on savait que les Bettito faisaient la dafina ou la tajine del gezzar. J'avais eu presua la même approche avec les films de Spielberg qui met parfois sa caméra à hauteur des yeux d'un enfant. Ces souvenirs sont extraordinaires. Encore merci de les avoir évoqués Robert HAZAN
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Bonjour et avant tout grand, immense merci de m'avoir rajeuni de plus de 50 ans. Je me souviens avec émotion ma mère ZL chef d'entreprise hyoer active à casablanca et mère de famille exemplaire qui m'emmenait bambin un peu partout et dans les souks et bien sûr toutes ces odeurs (les acs d'épices ouverts à hauteur de mon nez, et tout ce que vous évoquez m'interpelle. Je me souviens de toutes ces odeurs, glanées sur les étals, d'autres qui piquaient les yeux : les rouleaux de tissu qui arrivaient à l'atelier, cette odeur qui mettait plusieurs jours à partir, et celles de cuisines de la maison mais aussi des voisins, on savait que les Bettito faisaient la dafina ou la tajine del gezzar. J'avais eu presua la même approche avec les films de Spielberg qui met parfois sa caméra à hauteur des yeux d'un enfant. Ces souvenirs sont extraordinaires. Encore merci de les avoir évoqués
Robert HAZAN