Je suis bouleversee par ton texte, si bien ecrit, tellement reel. Tu nous fais vivre un moment intime, et grace a toi, il continue de vivre dans le coeur de ceux qui l'ont aime. J'ai rencontre pour la premiere fois Edmond a la mort de Bertha, la maman de son meilleur ami, Fred Bambadji. Il m'ecoutait, pendant que je racontais, en larmes, l'episode ou j'avais decouvert Bertha, gisant dans son appartement, mitoyen au miens. J'y ai souvent repense, et je me disais qu'il avait du me prendre pour une folle tant j'exprimais, en larmes, avec beaucoup de douleur, la perte de mon amie et voisine. Mais non, il y avait deja, dans ses yeux, l'analyse de la mort, de l'apres, car il savait deja...
J'ai pu, grace aux Bambadji que j'ai cottoye quelques fois pour des occasions heureuses et malheureuses, voir Edmond de temps en temps. J'avais le sentiment que c'etait un privilege que de pouvoir meme le saluer. Il avait toujours les yeux remplis de JE-SAIS-QUE-JE-VAIS-MOURIR, des yeux qui appelaient "Au Secours" et qui, en meme temps, montraient une grande force. J'ai vu sa maladie evoluer, et en meme temps, tout le monde gardait l'espoir d'un miracle, qui n'est jamais venu. Je suis sure que de la ou il est, il ne souffre plus et qu'il veille sur tous les gens qu'il aimait. Paix a son ame.
Je suis bouleversee par ton texte, si bien ecrit, tellement reel. Tu nous fais vivre un moment intime, et grace a toi, il continue de vivre dans le coeur de ceux qui l'ont aime. J'ai rencontre pour la premiere fois Edmond a la mort de Bertha, la maman de son meilleur ami, Fred Bambadji. Il m'ecoutait, pendant que je racontais, en larmes, l'episode ou j'avais decouvert Bertha, gisant dans son appartement, mitoyen au miens. J'y ai souvent repense, et je me disais qu'il avait du me prendre pour une folle tant j'exprimais, en larmes, avec beaucoup de douleur, la perte de mon amie et voisine. Mais non, il y avait deja, dans ses yeux, l'analyse de la mort, de l'apres, car il savait deja...
J'ai pu, grace aux Bambadji que j'ai cottoye quelques fois pour des occasions heureuses et malheureuses, voir Edmond de temps en temps. J'avais le sentiment que c'etait un privilege que de pouvoir meme le saluer. Il avait toujours les yeux remplis de JE-SAIS-QUE-JE-VAIS-MOURIR, des yeux qui appelaient "Au Secours" et qui, en meme temps, montraient une grande force. J'ai vu sa maladie evoluer, et en meme temps, tout le monde gardait l'espoir d'un miracle, qui n'est jamais venu. Je suis sure que de la ou il est, il ne souffre plus et qu'il veille sur tous les gens qu'il aimait. Paix a son ame.