Par la plus pure des coïncidences, et, bien sur par la main de Dieu un petit Riad m'a souri. Pas loin du Lycée Victor Hugo, a Gueliz, et situé entre les casernes et les collines qui abritaient les régiments du protectorat Français. Ce Riad a loyer modéré , sa fontaine et sa terrasse m'ont séduit.