Personne ne me voit plus. Les voisins s’inquiètent. Aucun bruit n'émane de chez moi. Mon épicier, Abdelrahim, m'a dit l'autre jour, quand j'ai sorti les poubelles d'une semaine, - Sidi Ihyia? Yak labass? Est ce que ça va?
Ce récit n'est que fiction et toute ressemblance avec des personnages vivants ou morts n'est que pure coïncidence. L'auteur