En longeant la rue Herzl pour arriver au Kikar Haatzmaout, difficile de s’imaginer que près de 72 heures auparavant, cette même place était à feu et à sang. En ce début de soirée du dimanche 19 juin, l’air est doux, les bancs et les restaurants sont remplis, comme d’habitude. Il y a même une petite foire du livre, sur la place. Il faut cependant se rapprocher, de plus près, pour comprendre l’ampleur du drame.