|
||||
|
| Lire les Commentaires | Ajouter un commentaire |
03/12/01 Bonjour, Je m'appèle Yosseph Abtan. Je suis né au Maroc. A Marrakech on avait pas de ABITAN ou des AVITAN. Ils étaient tous des ABTAN Meilleures Salutations et bonne journée, Y. Abtan Y. Abtan y.abtan@pc-network.ch 03/12/01 Intéressant de connaître la signification de quelques noms juifs marocains; au delà de l'anecdote , je crois que cela un intérêt historique certain, quant à l'origine et les activités économiques pratiquées par cette communauté. Azerraf : assaraf, de sarf monnaie en arabe, qui échange l’argent, probablement de l’argent étranger. Boumendil : mendil seviette en arabe, qui a une serviette. Elhyani : de hayana, une région au Maroc Elmaleh : arabe, charmant, adorable Krief : peut être de khrief, arabe, petit mouton. Lahyani : voir Elhyani Laskar : peut être de lachghar, blond en arabe. Saban : arabe, celui qui lave les habits Sabban : voir Saban. Sebban : voir Saban Tordjman : arabe, traducteur Torjman : voir Torjman Touati : du Touat, une région du sud de l’Algérie, à l'est de Tindouf, à une époque dépendante du Maroc, sur la route caravanière entre Sijilmassa et Tombouctou. Zrihen : Peut être de Zerhoun ville près de Meknès ou est enterré Moulay Idriss Zerhoun, fondateur de la première dynastie musulmane du Maroc, les Idrissides. Salutations Khalid [h.khalid@wanadoo.fr] 03/12/01 Farache and Esrequis You have ESREQUI. My last name is ESREQUIS My grandparent is Leon Esrequis Roffe from Tetuan Morocco on December 17,1886 and emigrated to Argentina . Mother: Esther Roffe Father: Samuel Esrequis My grandmother also is Sepharadi Sultana Abisror Cohen She was born or at least used to live in Faro-Portugal and emigrarted to Argentina Do you Know what Abisror, Esrequi/s and roffe mean??? Do you know how I can get more information about them??? Thaks in advance, sincerely Susana Esrequis 03/12/01 Bonjour Après avoir visité votre instructive site-web, je vous ecris dans le espoir de pouvoir avoir plus des renseignements, ou conseils pour les trouver, sur les Rabbins Simon Maimi et Natan Maimi de Fes, et leur familles. Je recherche les noms Maimi/Maymi et j'ai poublié un site sur internet avec des informations rassemblés. >>SIMON MAIMI: *1497. Le dernier Grand Rabbin de Portugal. Rab.Haim Yosef >>David Azulay a esrit dans son livre qui Simon a été de Fes. (Dictionaire bibliographique des Rabbins du Maroc, Page 99, col.1) >>NATAN MAIMI: 162_?. Rabbin de Fes. (Maroc). Encore jeune, il a ecrit dans le livre "Nekudot HaKessel": "Je suis le jeune Natan Maimí qui veut raconter au sujet de plusieurs des familles de Maroc qui ont disparu lors de la famine de 5398". (1638). (Dictionaire bibliographique des Rabbins du Maroc, Page 126, col.2). Les Rabbins Natan Maimí et Simon Maimí sont nommes dans le livre "Malkhei Rabanan" par Rabbin Yosef Ben Naim, publié en Jerusalem en 1931 en hébreu. (Dictionaire bibliographique des Rabbis du Maroc, Pages 99, col. 1 et 126, col.2). Si quelqu'un peut m'aider je le remercie beaucoup d'avance. Cordialement, Margarita Maymí Pérez Website: https://users.erols.com/gascue-maymi Researching: Maymí/Maimí, Pérez (Pontevedra,Esp), Nevárez (Esp), Otero (Galicia,Esp). 03/12/01 Bonjour, 03/12/01 NOM DU MAROC A AJOUTER : DESSEGNO 03/12/01 Accord
secret syro-israélien, désengagement iranien et intenses manœuvres
diplomatiques ! (info
# 013011) Par
Michaël Béhé depuis Beyrouth © Metula News Agency Un
accord discret et indirect a été conclu récemment entre Israël et la
Syrie. Il a nécessité l’intervention massive de la diplomatie européenne
mais plus encore, la formulation de menaces précises de
l’Administration américaine, à l’égard de la dictature de Damas. Au
terme de cet accord en un seul point, la Syrie s’est engagée à mettre
fin aux provocations militaires, auxquelles elle se livrait, par Hezbollah
interposé, dans la région du Golan dite des Fermes de Chabaa. Cet
accord, malgré les tentatives de banalisation, de rigueur à Beyrouth,
est non seulement prépondérant au plan tactique, encore est-il la marque
des initiatives diplomatiques régionales massives, qui sont déployées
durant ces dernières semaines. La décision syrienne est inspirée par la
crainte perceptible d’une intervention américaine contre Damas et
d’une volonté de faire croire à l’existence d’un espacement, entre
l’étatisme syrien et l’emploi stratégique et systématique du
terrorisme par celui-ci. Plus
significatif encore, sont les signes de désengagement de l’Iran, de la
scène politique libanaise et son lâchage des organisations extrémistes
islamiques armées. Ce ne sont pas que des mots, car Téhéran a rapatrié,
la semaine dernière, environ 120 de ses Pasdarans, qui étaient en poste
chez nous. Ces Gardiens de la Révolution islamique, servaient de
conseillers militaires au Hezbollah. La
décision iranienne, de se désengager largement de la sphère libanaise,
a été inspirée par plusieurs éléments, tous d’une non-négligeable
importance. Au titre de ces événements, nous notons tout d’abord, la
volonté perse de mettre à profit la crise actuelle, afin d’essayer de
réintégrer le concert des nations considérées comme ayant une attitude
politique décente. Il s’agit, avant toute autre chose, pour le régime
iranien, de ne pas se laisser prendre du mauvais côté du conflit. Les
délégations occidentales se succèdent à Téhéran sur un rythme effréné.
Les Européens et les Américains, tentant d’assurer les politiques
iraniens, que la porte de la normalisation des relations Occident-Iran est
largement ouverte A en croire les émissaires de marque venus du Couchant,
le prix demandé à la Révolution islamique iranienne, consiste en une
passive neutralité, en ce qui concerne les foyers militaires, que sont
l’Afghanistan et l’Irak, qui l’entourent, ainsi qu’en un désengagement
de son soutien aux activités terroristes. A en juger par les signes
tangibles sur le terrain, les Iraniens n’ont pas fait la sourde oreille
aux demandes de la coalition. Autre
élément significatif, dans le raisonnement perse, la satisfaction de
voir l’ennemi sunnite de toujours, Saddam Hussein, à nouveau dans la
mire des Américains. En cas d’affaiblissement de la zone d’influence
pakistanaise à l’Est et irakienne, à l’Ouest, l’Iran pourrait bien
demeurer le dernier grand État musulman entier dans la région du Golfe.
C’est là une situation, qui n’a que des avantages. Dernier
élément d’appréciation des Iraniens, entrant en concours dans leur
processus de décision, les limites de l’usage possible des partis
musulmans religieux au Liban. La direction de l’État iranien est
pragmatique et calculatrice, aussi se rend-elle bien compte, que les
chances de vaincre Israël militairement, dans la dynamique actuelle des
choses, sont inexistantes. D’autre part, le territoire du Sud-Liban a été
entièrement abandonné par Israël. Dans ses conditions, le rôle
militaire réel du Hezbollah et du Jihad islamique, n’est plus
d’aucune utilité pour la cause chiite. Pire que cela, l’entretien de
l’appareil militaire du Hezbollah coûte de l’argent à Téhéran et même
beaucoup d’argent. Reste l’aspect propagandiste du symbole de la lutte
contre l’ennemi sioniste mais à Téhéran, on croit que pour ces
choses-là, les Kalachnikov des fiers à bras, qui terrorisent le sud de
notre pays, sont suffisamment photogéniques et qu’il n’est pas besoin
de leurs adjoindre des conseillers militaires, pas plus que du matériel
moderne, coûteux et embarrassant, en plus, vis-à-vis des Américains. Selon
les conditions actuelles du terrain, le Hezbollah ne peut que terminer sa
reconversion en parti exclusivement politique de notre échiquier
politique ou cesser d’exister dans sa conception actuelle. Or cette
conversion pose des problèmes au bailleur de fonds iranien : Les
mouvements extrémistes islamiques, au Liban, ne peuvent qu’avoir une
représentation ethnico-religieuse, puisqu’ils ne focalisentent aucun
attrait, pour l’immense majorité des Libanais. Hormis les Chiites, les
barbus hystériques du Coran n’intéressent presque personne au Liban
ou, plus précisément, ils ont déjà fait le plein de leur clientèle !
Dans ces conditions, il serait illusoire, pour l’Iran, de compter nous
imposer un régime hezbollani, d’où la décision de limiter les frais.
A Téhéran, on est vraisemblablement parvenu à la conclusion, que le
Hezbollah peut remplir sa fonction politique limitée à meilleur prix,
alors on est passé à l’acte. Surtout que, si jusqu’au 11 septembre,
le sponsoring du Hezbollah était avantageux, depuis, il est devenu
embarrassant et personne n’oublie jamais, que le 2 novembre, Washington
a placé le parti intégriste chiite, comme les groupes palestiniens
radicaux, sur la liste des organisations terroristes. Alors, jusqu’à ce
que les Américains terminent de régler leurs comptes plus à l’est, on
pense, à Beyrouth, qu’il serait préférable pour tous, y compris pour
le Hezbollah, que ce dernier termine son ré-habillage en parti
exclusivement politique. Pour
les citoyens libanais, les décisions, allant dans la direction du gel du
front libano-israélien sont une aubaine. Elles sont surtout à considérer
comme une opportunité à resserrer les liens rassurants avec l’Europe,
d’autant plus que cette dernière, reconnaît l’existence de
l’accord entre Damas et Jérusalem et s’en contente, à la place du déploiement
de l’armée libanaise le long de la frontière israélienne, comme elle
l’exigeait précédemment. Le charme discret de l’agrément Syrie-Israël
a donné le champ libre aux Européens, en vue de la conclusion de
l’accord d’association, qui formalisera l’adhésion du Liban au
partenariat euro-méditerranéen. L’UE, qui excluait officieusement
toute entente avec le Liban, jusqu’à ce que le problème du Sud soit
normalisé, est même en train de reconsidérer favorablement notre adhésion
au programme MEDA, qui est l’instrument financier du partenariat euro-méditerranéen.
Ici, nous espérons que l’élargissement de l’association avec
l’Europe nous aidera à réparer les dommages économiques abyssaux, générés
par l’affairisme de copinage, de notre premier ministre Rafik Hariri. Ce
sont surtout ses magouilles avec les géants industriels français, qui
ont laissé le Liban exsangue. Le pillage des coffres publics a permis la
construction d’une infrastructure de luxe, qui est absolument inutile à
l’économie du Liban. Certains dirigeants français pensent sans doute
différemment, puisqu’ils se sont remplis les poches avec la manne de la
coopération ! En
tout état de cause, le gouvernement Liban de tutelle syrienne se sent
poussé par l’élan de l’accord syro-israélien, puisqu’il s’est
mis à participer, très activement, aux négociations avec l’ONU et
Israël, visant à assurer la sécurité du village frontalier de Rajar.
Tous les habitants de ce village sont des alaouites, de la tribu du Président
Assad. Malgré cela, ils ont tous opté (à part une personne) pour la
citoyenneté israélienne, à l’issue de la guerre de 67. Pour corser
les choses, un tiers environ de Rajar, est établi sur le sol libanais et
le Hezbollah a souvent utilisé ce prétexte, afin de mener des incursions
à partir du village déchiré. Israël a annoncé à l’ONU, durant la
semaine dernière, qu’elle entendait séparer Rajar et ses habitants,
par une frontière grillagée, de la continuité du territoire de l’État
hébreu. La manœuvre israélienne a eu pour conséquence de faire
sursauter les habitants de Rajar, soupçonnés par Israël, de se montrer
trop coopératifs avec les extrémistes chiites armés, mais qui ne
veulent en aucun cas être rattachés au Liban et le gouvernement Hariri,
qui n’est pas du tout intéressé par avoir à gérer la vie de milliers
de villageois israéliens-alaouites ! Nous avons parlé hier soir à
un officier de l’ONU, qui nous a assurés « qu’après le coup de
gueule israélien, il semblerait qu’on se dirige très prochainement
vers une solution de consensus pour Rajar. » Je
ne veux pas terminer cette analyse, sans donner un grand coup de chapeau
à mes collègues de Métula, pour l’exactitude phénoménale de leurs
prévisions stratégiques. Une fois de plus, ils avaient prévu, avec une
incroyable précision, la tournure que les événements allaient prendre !
Dès le lendemain des événements tragiques du 11 septembre, Juffa avait
écrit « que les Syriens n’avaient aucun autre choix, que de geler
les activités du Hezbollah à la frontière et que la région frontalière
Israël-Liban, se dirigeait vers une période de calme absolu ! »
Le 22 octobre dernier, contrairement, semblait-il, aux prévisions de
Juffa, un duel d’artillerie opposait les extrémistes religieux chiites
à Tsahal, autour des Fermes de Chabaa. Le rédacteur en chef de la Ména,
avec une sûreté de jugement à peine imaginable, déclarait le même
jour, que « ce duel était atypique et non-représentatif de la
situation qui était en train de s’instaurer dans la région et qu’il
maintenait son appréciation stratégique ! » Un mois après,
on apprend l’existence de l’accord de Damas de faire cesser les
attaques du Hezbollah contre les positions israéliennes et le départ des
conseillers militaires iraniens. C’est à croire que Juffa parle avec Al
Assad et avec Nasrallah tous les jours… Depuis
Beyrouth, nous n’avons aucune raison de cacher notre estimation pour
l’excellence du travail de nos collègues israéliens et palestiniens et
du privilège que nous avons, à ajouter notre modeste contribution à
leur analyse. Vive la paix et vive l’intelligence des hommes de bonne
volonté ! 03/12/01 jewish moroccain music best regards 03/12/01 Bonjour, 03/12/01 We find your site very interesting. Please consider adding a link to wafin.com a premiere portal for the Moroccan Community in the U.S. Thank you and keep up the good work. The Wafin.com Team Wafin.com, Gateway for Moroccans in the U.S. E-Mail: webmaster@wafin.com
|
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||