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10/12/01
je ne suis pas juif mais marocain musulman d'Oujda au Maroc. Ce que j'ai retenu de ma petite enfance c'est qu'à l'école et dans la rue je jouais avec Mohamed, David, farid, maurice ... ce qui est dommage c'est que le Maroc se vide d'une partie de son histoire et de sa mémoire. Le Maroc est probablement le seul pays qui peut être fier de son passé et de la richesse de sa culture berbéro-arabo-judéo-musulmane. Cela a duré des siècles et très bientôt ce sera fini, c'est dommage !!!
Abdelkhalek
RIAHI
1 rue René Blondet 51 100 Reims Tel : 06 13 55 77 06 10/12/01 Bonjour, Je suis vraiment émue. Votre Web page est toute une découverte. Il y a 21 ans que j´ai quitté le Maroc pour habiter l´Espagne et avec dafina.net j´ai fait un voyage virtuel a travers le temps et beaucoup de souvenirs sont soudainement apparus. Je me souviens de mes copines, Ayala Dahan, Nathalie Benacoun, Ruth Edery . Lurence Perez etc...Elles habitaient toutes a Casablanca et aujourd´hui je me demande qu´est-ce qu´elles sont devenues. Bon... c´est super de pouvoir vous lire Merche Benz [rzala2002@yahoo.es] 10/12/01 Noms des Juifs du Maroc a ajouter : BENHAMRON Sylvie [sylvie.b@noos.fr] 10/12/01 Messieurs, Nous
sommes heureux de vous informer que le site internet de la fondation
Manitou, consacré au rav Yéhouda Léon Askénazi (Manitou) zatsal,
originaire d’Oran, dont l'adresse est toujours https://www.manitou.org.il,
a été entièrement remanié, et que l'on peut à présent y trouver
les rubriques suivantes: une bibliographie extensive de Manitou, un
florilège de cours donnés par Manitou de son vivant ainsi que la
bibliographie mise à jour, comprenant ses œuvres ainsi que les
divers ouvrages, cassettes et films qui lui ont été consacrés et
les modalités d'achats. Nous espérons que vous y trouverez là un
matériel digne d'intérêt. Si le site Manitou ne se trouve pas dans
votre liste de liens, nous vous prions de le rajouter. Nous
vous remercions d'avance et nous vous souhaitons de bonnes fêtes
de Hanoukka. David
Ashkénazi Fondation
Manitou Contact: David_ashkenazi@manitou.org.il
10/12/01 Bonjour, 10/12/01 Eliyahoo Hanabee This new CD produced by the Feher Jewish Music Center of Beth Hatefutsoth – The Nahum Goldmann Museum of the Jewish Diaspora features 14 songs of the Bene Israel musical tradition that have been recorded in Bombay (now Mumbai), India, in 1996. For
more information, questions or comments, please do not hesitate to
write me.Margalit Tashbini
10/12/01
Noms des Juifs du Maroc Benzimra , Danan de Fes Kaspi de Rabat ainsi que Benoliel 10/12/01 J’en
ai marre de ce type ! (info # 010712) Par
Stéphane Juffa © Metula News Agency « J’en
ai marre de ce type ! » c’est en ces termes, que le
Président Bush s’est exprimé à l’égard de Yasser Arafat. Cette
expression populaire du ras-le-bol présidentiel, fait suite à de
longs mois d’impatience. Depuis longtemps déjà, dans les couloirs
du Pentagone, on appelait le leader palestinien « le
menteur-erscroc, ‘liar-crook’ » mais pendant ce temps, au
département d’État de Colin Powell, on continuait à croire en
Yasser Arafat. Pas
mal d’eau est passée sous les ponts du Potomac, depuis que George
Bush intimait à Ariel Sharon, en direct à la télévision, l’ordre
de retirer ses troupes de territoires palestiniens, qu’il venait de
ré-occuper temporairement. Une heure de discussion a suffi, lors de
leur rencontre, il y a dix jours à Washington, pour vérifier que les
rouages de leur nouvelle entente avaient été correctement mis en
place et que cette dernière ne souffrait d’aucun malentendu. C’est
qu’entre temps, la Maison blanche avait connu sa propre révolution
de palais. Les conceptions qui prévalaient en septembre avaient été
remplacées par d’autres. Dans la cuisine interne des Américains,
l’homme fort de l’été, Colin Powell, celui qui avait presque
fait figure de co-listier de Bush lors des présidentielles, celui qui
avait rassuré l’Amérique, lorsque le Président, frappé par la
stupeur des attentats de New York, balbutiait son anglais, Colin
Powell le parrain, était tombé en disgrâce. Entre
temps, Bush avait terminé son apprentissage, il avait pris conscience
du fait qu’il était porteur d’une mission. Le président était
devenu Président, il avait pris la mesure de sa tâche. Les choses
étaient réellement entrées dans la structure de sa personnalité,
pour s’y ancrer, alors qu’auparavant, cette structure n’abritait
pas grand chose ! Surtout,
Bush avait compris, que si le rôle des autres, consistait à lui
soumettre des options de stratégies, son rôle à lui, consistait à
faire les bons choix. Il avait compris, à ses dépends, que toutes
les stratégies ne se valaient pas et que les divers appareils de son
administration, pour efficaces qu’ils soient, n’en étaient pas
moins faillibles. Depuis
le 11 septembre, deux conceptions s’affrontaient, presque
violemment, afin d’obtenir la bonne grâce présidentielle. L’une
était donc celle de Colin Powell et du Département d’État.
C’est celle que le Président avait initialement choisie. Elle
prônait « la coalition d’abord » et elle impliquait, de
faire pression sur Israël, afin qu’Israël fasse preuve de
modération. Elle basait la guerre contre le terrorisme sur une large
entente entre pays et entendait inclure le plus grand nombre possible
d’États arabes et musulmans dans les rangs de cette croisade. En
face, les militaires US, Rumsfeld et compagnie, n’avaient jamais cru
à l’efficacité d’une telle coalition. Aux palabres politiciennes
sur des alliances hypothétiques, ils préféraient les alliances
stratégiques « naturelles », celles qui existaient avant
le 11 septembre ! Aux yeux des militaires, l’Amérique ne doit
compter que sur elle-même et sur ses alliés
« organiques », que sont l’Angleterre, le Canada et
Israël et sur l’Allemagne et l’Australie, si les choses
tournaient vraiment au vinaigre. Au Pentagone, on a autant confiance
qu’à la Ména dans les intentions du Président Chirac et on a
d’autres choses en tête, que de lui servir d’alibi électoral.
Si, côté français, le réflexe gaullien de méfiance envers
l’Amérique persiste depuis la seconde guerre mondiale, les Yankees
ne sont pas en reste et ils se demandent toujours « dans quel
camp se trouvent les Frenchies ? » En
bref, la conception du Pentagone, c’est « la mission
détermine le reste ! » En suivant cette doctrine, il
apparaissait tout à coup évident « qu’Israël avait le droit
de se défendre », aussi vrai que les États-Unis avaient le
droit de se prémunir contre de nouvelles attaques, du genre de celle
du World Trade Center. Mais avant tout, au Pentagone, on avait
commencé par définir, sans concessions, les objectifs de la guerre
contre le terrorisme. Si les USA avaient déclaré cette guerre, il
fallait désormais la gagner et pour ce faire, il fallait
impérativement définir les moyens de « détruire le terrorisme
musulman », faute de couvrir l’Amérique de ridicule et de
permettre aux adversaires de lui asséner une deuxième vague
d’agressions. Or, pour détruire le terrorisme islamique, il fallait
se reposer sur ceux des alliés, qui étaient "willing to
fight", prêts à en découdre, d’où la préférence d’une
coalition restreinte "avec Israël" et sans les Arabes, sur
une coalition "qui n’existait que sur le papier ! " Pour
les familiers de Georges Bush, il ne fait aucun doute, que le
Président a été marqué par les récents assassinats collectifs,
perpétrés en Israël par les terroristes suicidaires palestiniens.
"Ce n’est plus le petit Bush, sans vocation particulière,
d’avant le 11 septembre", fait-on remarquer dans le premier
cercle de ses amis. "Depuis, il s’en est trouvé une",
insiste-t-on et les attaques terroristes en Israël, sont donc
interprétées par le Président au sens de cette nouvelle mission. A
Métula, nous pensons que cette sympathie de sort, avec les
Israéliens, n’a pas tout fait dans le changement de conception
stratégique du Président américain. Avec l’aide de nos amis,
analystes américains, qui se trouvent sur place en permanence et sans
l’avis desquels cet article aurait été bien évidemment impossible
à écrire, nous avons observé un élément factuel, qui a
précipité l’écartement de Powell et de ses théories : Il
y a cinq semaines exactement, alors que la bien nommée Alliance du
Nord avait déjà pris Mazar e Sharif, Powell avait encore du poids.
Il a convaincu Bush d'en appeler aux "partenaires" de
l'Alliance, pour qu'ils s'arrêtent en chemin et qu’ils ne prennent
pas Kaboul. Bush suivant les conseils du chef du Département
d’État, lance cet appel et pas plus tard que le lendemain matin, il
avait l’air d’un grand thon, ma mère, quand Kaboul est
tombée ! Bien
sûr que les Afghans du Nord sont des "partenaires"
indisciplinés et qu’ils avaient envie de parader dans leur
capitale, tout autant qu’un astronaute à envie de descendre la
Fifth Avenue en décapotable mais ça n’explique certainement pas
tout ! En fait, le clan des militaires a pris de vitesse le clan
des politiques, qui entendaient "micro-gérer" les
opérations, en fonction de ce que Rumsfeld et Cie considèrent être
des inepties diplomatiques. En créant des faits accomplis sur le
terrain, Rumsfeld et ses amis ont mis un terme aux manœuvres de
Powell et des siens ! Depuis
ces événements, le Président Bush, qui n’aime décidément pas
être pris pour un poisson, a largement cessé de prêter attention à
Colin Powell et au State Department. Il a compris que la
"stratégie de la coalition" ne menait à rien ou, plus
précisément, qu’elle menait manifestement à l’impasse. Powell
désormais écarté, le Président US a chargé un militaire, le
général Anthony Zinni, d’une mission diplomatique, qui aurait
naturellement du tomber dans l’escarcelle des diplomates. Comme les
abonnés de la Ména le savent depuis plusieurs jours déjà, Zinni
(même si on avait estropié son nom, et on s’en excuse) n’est pas
venu au Proche Orient pour relancer le processus de paix mais pour en
finir avec le terrorisme. A ce titre, il s’est rendu hier
après-midi au chevet de Yasser Arafat, confiné à résidence à
Ramallah, par les Israéliens. Aux supplications du leader
palestinien, qui lui demandait de faire cesser le siège, Zinni a
répondu en lui transmettant les nouvelles exigences du Président
Bush, qui s’ajoutent à celles du Premier ministre Sharon : -
L’arrestation des terroristes – les hommes armés s’attaquant
systématiquement à des civils - (les "militants" de
Védrine et de l’AFP) et la mise en interrogation des
personnes suspectées d’actes de terrorisme. -
La fermeture des "laboratoires de la terreur" et la récolte
des armes illégales. -
Des mesures énergiques visant à “l’assèchement du marais de la
terreur”. La prise de contrôle des mosquées (qui incitent
quotidiennement à l’assassinat des non-musulmans Ndlr) et les fonds
qui sont transférés aux organisations terroristes. Et puisque Arafat semble continuer à prendre les nouveaux coalisés pour des marchands de sable, en ayant fait arrêter seulement deux cents sous sous-fifres de la terreur et pas ceux qu’on lui avait demandés, les Israéliens ont repris leurs opérations militaires, ce matin. S’il continue à faire la sourde oreille, Yasser Arafat pourrait bien se retrouver "off-side" pour de bon, versé définitivement dans le camp du terrorisme arabe. Cela aussi, Bush l’a fait dire par Zinni à Arafat ! 10/12/01 Moroccan
Family names : There was a large respected family in Sefrou by the name of Banuz. David Direktor, Information Specialist, IMI (Tami) Institute for Research & Development Ltd., email:- dd@tami-imi.co.il 10/12/01
j'ai le
grand plaisir de vous envoyer ces mot tout en vous informant
que
- je suis medecin
- je suis musicien
- tres touché par la musique juive car je pense qu'il ont
le meme origine
- responsable d'une association de gharnati ( musisue andalouse
-je joue je compose je traduis les chanssons au
françai anglais
- j'improvise sur place les chjanssons
je cherche un
partenaire pour echange culturel
mon objectif
c'est faire un dio de musique andalousso juive j'ai le
rythme le groupemusical il me faut le partennaitre on peut
faire un travail culturelmerveilleux
10/12/01 December 3, 2001 BS”D File: 135 Vice-President Dick Cheney The White House 1600 Pennsylvania Ave. Washington, DC 20500 Israel Declares war on Terrorism Dear Mr. Vice-President: Someday, America will thank Israel for Sharon’s “Declaration of War on Terrorism”. Arafat should not be asked to control terrorism. Arafat is Terrorism. Israel’s long awaited response to yesterday’s massive terrorist outrages will undoubtedly elicit unwarranted criticism from the UN, from Arafat’s European apologists and from the entire Arab world. It reminds me of another time , twenty years ago, when the UN Security Council voted to “strongly condemn” Israel’s 1981 raid on Iraq’s Nuclear Reactor. The international outcry was harsh and incisive. Not only did the US fail to use its veto power, but it joined with France, Russia and the Arab bloc in denouncing Israel’s defensive raid. David Ivry, The Air Force general who commanded the raid, ( now Israel’s ambassador to the United States) , displays in his office a 1991 satellite photo of the wreckage of the Iraqi reactor. The photo is signed by you as Defense Secretary. Your inscription reads, “ with thanks and appreciation” for Israel’s bombing of the plant, “ which made our job much easier in Desert Storm” Not only did the defensive raid save hundreds, if not thousands of lives of American, British and other soldiers during the 1991 Persian Gulf War, but it effectively prevented Iraq from dominating not only Kuwait but also Saudi Arabia and other Gulf states. Israel values every human life, whether Jewish or not. Just as Israel's raid on Iraq’s nuclear facility was justified then, so is its current policy of targeting terrorists before they commit attacks in order to save lives and prevent a massive terrorist outrage that would escalate the conflict. Of all people Secretary of State Colin Powell ( Chief of Staff during the 1991 Gulf War), should be reminded of Israel’s contribution in 1981 (and 1991) in aborting terrorist disasters. Sincerely, Ben Eliahou
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