13/05/02
Reponse a Betty (22/04/02)
Le site de Haim Melca est a www.melca.org
Michel
michelassayag@hotmail.com
13/05/02
בס"ד
שלום
מירושלים!
"מזור"
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13/05/02
- Sujet: ancienne casablanca aux USA
J'ai trouve ce web site..par accident, bien que je ne sois pas juive..j'avais beaucoup d'amis juifs et j'ai travaille pour l'ORT..jusqu'en 1960...joue au basket pendant plusieurs annees contre Charles Neter..une femme charmante..Manine..peut etre quelqu'un se souvient de ces jours la...Nicole
wnlema@yahoo.com
13/05/02
Dans votre
liste de nom ne figure pas le nom Bono
Selon ce
que je sais mon pere est origine de Tetouan
Pour plus
je compte sur vous
Merci
d’avance
312 [312@sivan-jer.israel.net]
13/05/02
- Sujet: rue worthington a casblanca
J'avais quitte casablanca pour les USA en 1959 et j'aimerai savoir si il y a encore mes amis d'enfance qui ont aussi habites la rue worthington a casa. Je serai tres heureux de faire contact avec eux. J'habite le texas.
A. Abitbol
13/05/02
I have a Moroccan friend from Tangiers. Her name is Bensalmon. Please include it in your list.
Thank-you.
13/05/02
Savez-vous danser la salsa du démon ? (info # 021105/2)
Par Stéphane Juffa © Metula News Agency
Pour ceux qui ne l’auraient pas remarqué – c’est vrai que les diplomates et les hommes politiques sont au moins de bons prestidigitateurs – on est en plein dans les grandes manœuvres de printemps. Surtout, il ne faut pas se laisser tenter à confondre la teneur des communiqués officiels et les tractations véritables, qui se déroulent le plus souvent dans l’ombre des rencontres au sommet. A ne pas confondre non plus, les actions à caractère tactique, comme l’opération Rempart et la peut-être intervention dans la bande de Gaza et le domaine stratégique, qui représente la coordination des actions tactiques et des manœuvres politiques afin d’atteindre un but global donné.
Au plan tactique, justement, et bien qu’Israël continue de concentrer des réservistes aux confins de la bande de Gaza, il n’est plus du tout certain que l’opération Rempart II aura finalement lieu. L’objectif d’une opération à Gaza, c’est bien entendu la poursuite du démantèlement de l’infrastructure terroriste et de sa main d’œuvre. En la matière, il faut bien considérer Rempart I comme un simple galop d’essai, voire comme une opération de police. C’est l’ossature principale du Hamas et du Djihad islamique qui est arque boutée dans ce territoire minuscule de Gaza mais largement plus dense que la ville de Hongkong. Et si Jénine compte 35.000 habitants, y compris son camp de réfugiés, dans "la bande", Tsahal trouverait sur son chemin des conurbations de l’ordre du million d’habitants !
La question militaire qui se pose aux responsables israéliens n’est pas de savoir si leur armée viendra à bout des organisations palestiniennes armées, ni de réévaluer l’importance de mettre leurs moyens destructifs et leurs personnels hors d’état de nuire, ce sont là des causes entendues, mais plutôt d’analyser le bien fondé de Rempart II face à son probable coût en vies humaines. Ajoutons à cette préoccupation le fait qu’elle est bien comprise par les stratèges des organisations islamiques, qui n’ont de toutes façons plus rien à perdre, et nous nous trouvons alors en présence d’un cocktail événementiel véritablement explosif ! En cas de déclenchement de l’attaque, la finalité des Palestiniens, qui ont eu largement le temps de piéger et de miner le terrain, consistera à ralentir l’avance de l’armée des Hébreux et à créer autant d’incidents majeurs, du type de Jénine et de la basilique de la Nativité, que possible. Ces incidents ont pour eux le double rôle, d’établir l’exemplarité d’une résistance palestinienne (sans elle toute leur propagande belliciste a l’air d’une tartufferie) et de focaliser l’attention du monde sur leur cause, donnant aux amis d’Arafat et des islamistes le temps matériel nécessaire à mobiliser les attentions.
L’équation est certes délicate mais si elle était la seule à peser dans la balance des considérations, nous ne doutons pas, à Métula, que Rempart II serait déjà en train. Le problème principal qui empêche de donner le feu vert au chef d’état major Shaul Mofaz et à ses troupes, est à chercher dans les requêtes du Président Bush, beaucoup plus que dans l’analyse de la situation tactique. Nous sommes ici certains, que l’Administration US se situe en pleine mise en puissance d’une initiative diplomatique ambitieuse, qui voudrait apporter un terme définitif au conflit israélo-arabe. Or, le calendrier de cet effort fondamental s’accommode mal d’une nouvelle offensive israélienne. Ariel Sharon est sensible aux appels de Washington, surtout que l’initiative américaine fait la part belle aux demandes israéliennes en matières tactique, sécuritaire mais aussi, relativement à la mise de M. Arafat sur la touche.
Le deal qui s’esquisse est le suivant et il présente l’avantage considérable d’avoir obtenu l’aval des Egyptiens, des Jordaniens et des Saoudiens, qui se sont tous rendus à la Maison blanche, ces derniers jours, afin de régler les modalités de leur soutien (lorsqu’ils veulent passer des vacances, les rois arabes vont à Saint Trop, à Gstaad ou à Acapulco, pas à Washington) :
- Yasser Arafat, qui est considéré par toutes les parties prenantes, comme un individu dangereux pour la stabilité de la région, non fiable dans ses engagements, inattendu dans ses initiatives, est exclu du nouveau cycle de négociations.
- Il est remplacé par un front arabe, dirigé par l’Egypte, l’Arabie et la Jordanie, qui vont, ce dimanche, donner au Président syrien Béchar El-Assad à Sharm El-Cheikh, la possibilité de rejoindre leur coalition. (L’adhésion de l’Alawite le ferait intégrer le giron américain avant l’attaque US contre l’Irak alors que son refus, le placerait définitivement dans le camp des terroristes).
- Arafat ne sera ni éliminé, ni remplacé, il sera ignoré.
- Les Américains, avec l’aide des Arabes suscités, des Israéliens et des leaders palestiniens raisonnables, sont déjà en train d’œuvrer à l’établissement d’une nouvelle direction de l’Autorité palestinienne, avec l’accent mis sur la construction d’une force de maintien de l’ordre et de prévention du terrorisme.
- En juin ou en juillet, il sera organisé une conférence internationale, dont les conclusions principales auront été cette fois pré-négociées entre les protagonistes.
- De fait, le règlement du conflit s’articulera autour du plan Clinton et la condition du "retour" des réfugiés de 48 est abandonnée par les Arabes. La solution du problème des réfugiés palestiniens se fera par la mise en place d’un bouquet de solutions alternatives, qui mettront à contribution les protagonistes, de même que les USA, l’Union européenne et le Japon.
- Les Arabes déclareront la fin de l’état de guerre avec Israël et accepteront d’avoir des relations normalisées avec elle.
- Les USA seront garants de l’application des accords.
La conception de ce plan de pacification est déjà bien avancée. Au point qu’hier, le Chairman Arafat s’est soudain déclaré intéressé à rencontrer Ariel Sharon (sic) ! Ne laissant planer aucun doute quant à sa compréhension des manœuvres en cours et du non-rôle qu’on entend l’y faire jouer, le raïs a ajouté à l’endroit des Américains et des autres dirigeants arabes : "S’ils entendent venir nous aider à faire la paix, ils sont les bienvenus mais s’ils veulent nous remplacer, ils peuvent rester chez eux !"
Côté israélien, l’émotion n’est pas moindre. La semaine dernière, des officiers supérieurs de l’armée ont, pour la première fois, fait état de plans relatifs à l’évacuation de certaines implantations, créant un vif émoi dans la classe politique israélienne. Ce dimanche aussi, et sans que l’opinion publique ne saisisse exactement les enjeux de ce qui se passe, la réunion de l’assemblée générale du Likoud a soudain pris des allures d’échéance cruciale. Le point du jour, qui agite passionnément les membres de ce parti de la droite conservatrice, consiste en l’initiative proposée par les amis de Bibi Netanyahu, tentant de faire voter une résolution d’opposition à la création d’un Etat palestinien. Face à eux, les supporters du Premier ministre Sharon, partenaire de la nouvelle initiative américaine et qui s’est déjà prononcé par le passé en faveur d’un tel Etat, tentent de leur faire barrage, usant de tous les moyens statutaires à leur disposition. Légalement, si la résolution était endossée par le Likoud, elle n’obligerait pas Ariel Sharon, qui puise son autorité dans l’élection populaire qui l’a placé au pouvoir mais elle fragiliserait ses décisions et diminuerait sa liberté de manœuvres.
A Métula, dans cette étrange passe d’armes, on note surtout que les opposants à la création d’un Etat palestinien ne lui proposent aucune alternative. En réalité, et même si ces éventualités ne sont pas abordées publiquement, il est logiquement possible d’entrevoir deux solutions de rechange :
a) Le transfert des Palestiniens vers la Jordanie. Solution rejetée par plus de 90% de l’opinion publique israélienne, gauche et droite confondues et
b) L’inclusion des territoires palestiniens dans "un grand Etat d’Israël". Cette option a pourtant le désavantage désagréable, qu’elle rendrait les juifs numériquement minoritaires, à brève échéance, dans cet Etat, réalisant ainsi les aspirations maximalistes de Yasser Arafat !
Ceci posé, il est bien évident que pour les analystes, mais aussi pour les politiciens responsables, le choix du "on verra bien, pour le moment il suffit de dire non" ne constitue pas une option sérieuse. Ce qui m’a fait écrire, il y a quelques mois, que le ridicule n’était pas une option politique. Bref, la droite extrême israélienne n’a aucun projet d’avenir (la gauche non plus, d’ailleurs !) ; tant que la priorité est à la tactique, du fait de l’agression délibérée de Yasser Arafat, l’existence d’un tel projet n’est pas indispensable, puisqu’il est de toutes façons inapplicable mais lorsque la question sécuritaire aura été réglée, les Livnat, Landau, Naveh, Rivlin et tous ceux qu’ils regardent en tournant la tête à droite, se retrouveront à soutenir une politique du jour le jour, absolument inapte à répondre aux attentes existentielles des Israéliens.
Il faut au contraire prendre très au sérieux l’initiative diplomatique en cours, étant entendu, que si les concessions d’Ehud Barak constituaient, en août 2000, les concessions extrêmes, théoriquement envisageables par l’Etat d’Israël pour accéder à la paix, la proposition de la coalition arabe, lorsqu’elle sera mûre, pourrait à son tour représenter l’extrémité théorique du compromis arabe. Dans ces conditions et puisque la poursuite perpétuelle de l’état de guerre n’est pas supportable par l’économie et par la société israéliennes et qu’elle nous soumettrait bientôt à des menaces non conventionnelles terribles, il importe pour l’Etat hébreu de ne pas laisser fermer, par sa faute cette fois, lorsqu’elle se présentera, cette deuxième fenêtre d’opportunité !
Les lecteurs de la Ména, à la perspicacité exercée, l’auront compris, l’initiative américaine entend faire la part des choses entre le domaine tactique-sécuritaire, pour lequel elle laisse les coudées relativement franches à Israël et la prospective stratégique en vue de l’instauration de la paix, dans laquelle George Bush compte jouer un rôle prédominant. Au bout de cette réflexion, on risque de se retrouver très vite dans une situation, dans laquelle le Président va nous dire : "Okay, boys (je prends l’accent américain), Arafat est dehors, vous avez fait le ménage contre le terrorisme palestinien, les principaux Etats arabes sont disposés à vivre en paix avec vous, le come-back des réfugiés n’est plus un ultimatum, nous nous portons garants de la signature des dirigeants arabes, alors, vous signez ?"
Alors, on signe ?
13/05/02
soy judio de amazonia bresil y mi nombre es elmescany de sale en morocco qual su verdadero significado i com si escribe em hebreo
abelmes@uol.com.br