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08/10/01
Noms
des Juifsdu Maroc
08/10/01
Noms
des Juifs du Maroc
TEMSTET : originaire
de Meknès où le i (de Timstit) se prononçait "é"...
Je n'en sais pas plus
Joëlle Dyan
[jodyan@noos.fr]
08/10/01
Bonjour,
Je recherche un
parent perdu de vue depuis 1953 date à laquelle il vivait à
Casablanca ou il
travaillait dans la Police.
Après des mois de
recherches j'en suis toujours à zéro, aucune personne portant
ce patronyme : CAMBAZ , ne s'est manifestée à part celles trouvées
sur l'annuaire minitel
et qui m'ont répondu n'avoir aucun lien de parenté avec
ce dénommé :"
Lucien Cambaz"
Je m'apprêtais donc
à écrire à la Mairie de Casablanca pour demander des recherches
dans leurs archives d'état civil, mais au moment de mettre
l'adresse pas moyen de
trouver quoi que ce soit pouvez vous m'aider ?
Et peut-être que ce
nom vous dit quelque chose ?
Cordialement.
J-P
jp.revel [jp.revel@chello.fr]
01/10/01
bonjour,
REBIBO EST UN NOM
MAROCAIN
01/10/01
État d¹alerte défensif
(info # 012509)
Par Stéphane Juffa © Metula News Agency
Ces jours derniers, le gouvernement et l¹armée d¹Israël
multiplient les mesures de précaution, afin de préparer le pays aux
pires éventualités, au cas où l¹État hébreu se trouverait entraîné
dans le conflit qui s¹annonce. Les responsables politiques et
militaires prennent grand soin de ne pas mêler la population à ces préparatifs,
pour ne pas générer de mouvements de panique inutiles.
Mais derrière cette discrétion compréhensible, toutes les mesures
sont prises. Ainsi, les directeurs des hôpitaux ont reçu l¹ordre de
se préparer, je cite, ³à recevoir, dans des espaces de temps
restreints, des blessés en grand nombre ². Les dépôts de carburants,
qui se trouvent à proximité d¹habitations ou de points sensibles, ont
été transférés, la semaine dernière déjà, dans des citernes
souterraines. Jusqu¹à la compagnie aérienne nationale, EL AL, à qui
l¹armée de l¹air a demandé de mettre un certain nombre d¹appareils
à sa disposition.
La population est trop habituée aux situations de crise pour être
dupe, aussi, la plupart des familles ont augmenté leurs réserves en
conserves, en riz et en pâtes. Dans les centres de distribution des
kits de protection de la défense passive, contre les attaques chimiques
ou biologiques, on échange les équipements dont l¹échéance est dépassée.
Alors que dans une journée habituelle, on distribue environ 3.000 kits,
dans tout le pays, depuis la destruction du WTC, la quantité
quotidienne est passée à 20.000
Les Israéliens, qui en ont vu d¹autres, prennent les choses, généralement,
avec humour et philosophie. Rien ne sert de s¹exciter, de toutes les façons,
lorsque les clés de la situation se trouvent très loin d¹ici, dans
des mains étrangères !
Que doivent craindre les Israéliens ?
Lors d¹une première appréciation, on s¹aperçoit d¹abord que
plusieurs menaces tangibles, qui pesaient contre leur pays voilà deux
semaines encore, ont tout simplement cessé d¹exister. Ainsi, Arafat,
dans tous les cas de figures, tire les dernières cartouches de son
Intifada, prouvant en cela, qu¹au nez et à la barbe des ministres des
AE européens, il détenait bien le contrôle absolu de tous les éléments
armés opérant depuis son territoire. Mais surtout, le leader
palestinien démontre, que cette guerre découlait de son initiative et
qu¹il mettait la stabilité du Proche Orient en péril, par décision
stratégique voulue et non pas, conséquemment à une soi-disant réaction
populaire spontanée, due à une soi-disant offensive israélienne ! De
toutes façons, le vieux renard de Gaza n¹a désormais plus le choix. S¹il
veut que sa cause survive à l¹opération ³Justice absolue², il doit
nécessairement prendre ses distances avec la terreur, car ³tous ceux
qui ne seront pas dans l¹Arche, au début du déluge, risquent fort de
périr noyés !² Lorsqu¹on connaît l¹inconsistance des virages
politiques d¹Arafat, son dédain pour les victimes des conflits, ainsi
que l¹apesanteur logique, dans laquelle évolue son discours, on ne
sera guère surpris de le voir s¹afficher en pourfendeur du terrorisme
arabe. Il y a un mois encore, pourtant, il confiait en aparté à notre
correspondent dans l¹AP, Sami, ³qu¹il avait donné l¹ordre de
multiplier les attentats kamikazes à l¹intérieur de la ligne verte et
qu¹il désirait que l¹accent soit mis sur des attaques-suicides à Jérusalem².
Logique arafatienne, que tout cela, incompréhensible pour les gringos
et coulant de source, pour les moyen orientaux ! En tous cas, désormais
il s¹est déguisé en Rambo et son meilleur pote, c¹est Collin Powell
!
Un autre front, qui est momentanément désactivé, c¹est le front
nord. Celui qui sépare Israël des terroristes du Hezbollah, installés
au Liban et de la Syrie. Croyez-en ma prophétie, aucune action des
islamistes n¹est à attendre, dans les prochaines semaines, à Radjar,
pas plus que dans la région des illusoires fermes de Chabaa.
Nassrallah, le chef de ces terroristes, figure en bonne place sur la
liste des personnes, dont Washington demande l¹extradition et les Américains
seraient bien trop heureux de confier aux Israéliens la solution du ³cas
Hezbollah², dans les jours qui viennent, pour que son mouvement n¹ose
³faire l¹intéressant². Pour la Syrie, la problématique est la même
que celle de Yasser Arafat, elle se doit de donner l¹illusion, qu¹elle
n¹a rien en commun avec le terrorisme islamique. Au moment où la Syrie
et le Liban doivent répondre aux ultimatums US, on ne voit pas du tout
leurs protégés terroristes faire parler d¹eux ! En conséquence de
quoi, nous prévoyons un calme plat sur la frontière nord.
On le voit, les attentats terroristes contre l¹Amérique, ont
redistribué toutes les cartes du Moyen Orient. Le pacte Iraq-Syrie a
explosé, juste avant de prendre effet. Béchar Assad, qui est téméraire
mais pas suicidaire, a compris l¹intérêt qu¹il avait à ne pas faire
le malin, alors que toute la région est truffée de chasseurs nerveux,
désespérément en quête de gibiers légitimes. Dans ces conditions,
Assad a déjà pris ses distances avec l¹État le plus menacé par la
coalition, après l¹Afghanistan, j¹ai nommé l¹Iraq de Saddam Hussein
! Car le problème d¹Israël, la source de tous les dangers pour l¹État
hébreu, c¹est bien l¹Iraq !
Les préparatifs de l¹Amérique, concernant Saddam Hussein, baignent
dans le brouillard le plus épais. A Métula, nous pensons que l¹Administration
Bush n¹a mis que son alliée européenne de toujours, l¹Angleterre,
dans le secret de son programme opérationnel. A Métula, on pense
aussi, que grand bien a pris au Président Bush de garder les cartes près
de sa poitrine, car l¹Amérique entend jouer de tous ses atouts, pour
parvenir à ses fins. Derrière le brouhaha médiatique, l¹Amérique n¹est
pas folle et elle sait appliquer sur ses ennemis, des pressions par
paliers. Pressions diplomatiques d¹abord, économiques et diplomatiques
ensuite et pressions militaires, lorsque et seulement lorsque, les
autres méthodes de conviction n¹ont pas fonctionné ! Aussi, les USA
doivent-ils se méfier de partenaires trop impliqués dans les intérêts
locaux. C¹est le cas du Président français Chirac, par exemple, qui
aurait assuré son ami intime, le Premier ministre Hariri du Liban, ³que
Bush n¹a pas l¹intention de bombarder le Liban et la Syrie². A quoi
auront donc servi les ultimatums US, remis la semaine dernière au Liban
et à la Syrie, justement, exigeant d¹elles qu¹elles changent leurs
orientations du tout au tout, si un perroquet (et ne m¹appelez pas
roquet, vous l¹avez déjà faite) s¹empresse de faire baisser la
pression sur ces régimes ? Et Hariri, de faire une escale imprévue à
Damas, sur le chemin de Beyrouth, pour informer son ³patron² Assad, de
la bonne nouvelle! A la Ména, pourtant, on conseille à Assad et
Hariri, de ne pas prendre les déclarations du grand Jacques trop au sérieux.
Sa spécialité, c¹est surtout les mots et pas forcément ce qu¹ils
signifient ! Ici, cela nous étonnerait énormément, que Bush ait mis
Chirac dans ce genre de confidences !
L¹Irak ! Indépendamment de son implication dans les attaques
terroristes contre l¹Amérique, Saddam Hussein demeure le dénominateur
numéro 1 de l¹instabilité et de la violence au Moyen Orient. Et Bush
junior rêve de corriger les erreurs faites par son père, au début des
années 90. En fait, l¹opération ³Tempête du désert² avait, en fin
de compte, été un grand flop. Elle visait Saddam Hussein et elle l¹a
épargné ! Elle entendait ménager le petit peuple iraquien et elle l¹a
mis à genoux ! Elle voulait, au moins, détruire toutes les armes
non-conventionnelles du Branque de Bagdad, ainsi que sa capacité à en
fabriquer des nouvelles et elle a échoué ! La survie politique de
Saddam, face à l¹extraordinaire puissance militaire, alignée à l¹époque
par les alliés, l¹a transformé en héros incontestable du monde
arabo-islamique, dans ce qu¹il a de plus violent. Depuis ³la mère de
toutes les batailles², Saddam Hussein est de tous les mauvais coups.
Ceux-ci allant des efforts sysiphiens de déstabilisation du régime
Hachémite, jusqu¹au soutien massif du terrorisme palestinien. Dans ces
conditions, les Américains et les Anglais voudraient terminer l¹ouvrage
et installer, enfin, à Bagdad, un régime démocratique et constructif.
Au plan politique, les alliés buttent toujours sur la même considération,
qui les avait, à l¹époque, décidé à maintenir en vie le tyran de
Bagdad. En effet, le régime dictatorial de Saddam, dans sa férocité,
constitue toujours le meilleur rempart contre le chiisme intégriste. A
ce propos, n¹oublions jamais, que la majorité de la population
babylonienne est chiite et que sentimentalement, elle demeure très
sensible aux thèses des Ayatollahs persans. Ainsi, dans la balance géopolitique
des considérations alliées, le risque de remplacer un régime
dictatorial, lié aux lubies discrétionnaires d¹un seul homme, par une
dictature populaire, religieuse et représentative d¹un courant
fondamental, n¹a toujours pas été solutionné. Il est vrai que l¹Iran
essaie de réintégrer le concert des nations et qu¹il semble désormais
un peu moins menaçant. D¹où l¹importance du voyage inattendu du
ministre des affaires étrangères anglais à Téhéran. Il est allé ³tâter
le terrain², pour, dans la perspective d¹une action définitive contre
Saddam Hussein, mesurer les appétits expansionnistes des Ayatollahs.
Au plan de la justification d¹une action contre Saddam, maintenant, il
faudrait aux alliés des preuves indiscutables de sa participation aux
attaques terroristes contre l¹Amérique. Sans cela, les alliés auront
l¹air d¹opportunistes et la rue arabe, ne leurs pardonnerait jamais,
de s¹en prendre, sans raison apparente, à un État arabe indépendant.
Le 12 septembre, j¹avais écrit que je ne doutais pas de l¹implication
iraquienne dans les actions anti-américaines de la veille. Je suis
toujours du même avis et d¹ailleurs, après un silence de plusieurs
jours, les dirigeants américains ont soutenu cette thèse. Elle fut
aussi reprise par CNN et par le quotidien Le Monde. Il semble bien établi,
que certains terroristes kamikazes étaient en contacts opérationnels
avec les services de renseignement de Saddam mais le FBI maintient le
plus grand secret, sur l¹état d¹avancement de ses enquêtes, or, c¹est
de cet avancement et des preuves que les enquêtes pourraient fournir,
que dépend la décision d¹attaquer Saddam Hussein.
A Jérusalem, on n¹est pas non plus dans le secret des décisions américaines.
Pour le moment, entre Israël et les États-Unis, l¹information ne
circule que dans un sens. Israël participe de tout le poids de ses
services spéciaux, à recueillir diligemment les informations réclamées
par la CIA et par le FBI. On sait, par exemple, à la Ména, que les Fédéraux
ont demandé à Israël de ³s¹occuper² d¹obtenir des informations
sur les ramifications du terrorisme arabe, dans certains pays d¹Amérique
du sud et que les services du Mossad s¹y emploient sérieusement. Dans
le sens contraire, les USA ont fait savoir à Israël, qu¹ils l¹aviseront
des détails de leur action militaire ³avant² que celle-ci ne débute.
Combien de temps ³avant² ? Avec quelle précision ? Quel sera le seuil
de dangerosité induit par l¹action alliée, en termes de défense d¹Israël
? de ses intérêts immédiats ? Quelle sera l¹implication d¹autres États
arabes, aux côtés des Américains ? Que leur aura promis le Président
Bush, en échange de leur collaboration ?
Voilà autant de questions cardinales, qui inquiètent, par leur état
de suspension acrobatique, les stratèges israéliens ! Alors, dans de
telles conditions, Israël n¹a qu¹une chose à faire : se préparer à
parer à toutes les éventualités ! Qui vil pacem para bellum, (celui
qui veut la paix prépare la guerre) est devenue la devise de tous les
services de l¹État hébreu, dans la situation d¹ignorance assez étrange,
dans laquelle il est tenu.
Mais voici qu¹en théorie, pour le moins, Israël dispose des moyens d¹assurer
seule sa défense contre tout acte belliqueux de l¹Iraq. D¹après les
experts en armement, Saddam disposerait encore de 10 à 20 Scuds, en état
d¹atteindre Tel Aviv. Au sujet de la capacité de ces missiles
balistiques, d¹emporter des charges non-conventionnelles, les avis des
même experts sont partagés. En tous cas, il semblerait bien, qu¹il
existât un réel problème, pour leur faire transporter une charge
biologique ou chimique. Il semblerait, que lesdites charges ne résisteraient
pas aux températures générées par le frottement de l¹air, au moment
où les Scuds réintègrent l¹atmosphère terrestre.
Pour Saddam Hussein, en plus de l¹aspect technique énoncé plus haut,
trois problèmes majeurs sont liés à l¹emploi de Scuds à ogives
non-conventionnelles contre Israël :
1. Les missiles
anti-missiles israéliens ³Khetz ² (la Flèche), dont la première
batterie opérationnelle a été déployée la semaine dernière. Si
tout se passait ³comme durant les essais ², Israël
pourrait abattre les 20 missiles de Saddam Hussein, même si ceux-là
étaient tirés en même temps ! Le Khetz est le premier système de
missiles anti-missiles balistiques à être opérationnel.
2. La réplique d¹Israël ! L¹État hébreu, s¹il était attaqué
avec des moyens non-conventionnels, réagirait vraisemblablement avec
des armes du même type, à la différence près, que l¹arsenal de
Tsahal, n¹est pas constitué de missiles balistiques des années
soixante, dont l¹efficacité tactique reste à démontrer.
3. Mais le plus grand problème du Branque de Bagdad, c¹est ce qu¹il
ferait après avoir balancé ses Scuds. Il demeurerait en effet, sans
aucun moyen de dissuasion contre l¹Occident et contre Israël et il
ne lui resterait plus qu¹à attendre docilement la fin de son régime
ou à avaler une pastille de cyanure.
Ca n¹est pas tout à fait exact, de prétendre que l¹Iraq ne possède
pas d¹autres armes secrètes ! A part les Scuds, l¹Iraq aurait modifié
des avions (voir photo) de type L-29 Delphin, pour en faire des avions téléguidés,
porteurs d¹armes biologiques et chimiques. A la base, le Delphin est un
avion d¹entraînement, qui a été développé en ex-Tchécoslovaquie,
au début des années 60. Trois mille Dauphins ont été construits
jusqu¹en 1974 et quelques centaines volent encore. Aujourd¹hui, le
prix d¹un L-29, en parfait état de marche, tel que proposé aux
pilotes privés en mal d¹émotions fortes, par les États issus de l¹Union
soviétique, varie entre 50 et 60.000 dollars. En termes de dépenses
militaires, c¹est une vraie broutille !
Il est dès lors fort possible, que les préparateurs de l¹armée
iraquienne aient bidouillé quelques-uns de ces avions, afin qu¹ils
volent sans pilotes et pour un vol unique, en direction de Tel Aviv.
Pourtant, les limitations techniques de la mutation envisagée ne
manquent pas !
- D¹abord, le Delphin est un avion assez lent, qui ne dépasse pas les
500 km/h en croisière et qui ne vole pas très haut, ce qui en fait une
cible d¹entraînement idéale, pour les pilotes du Khel Avir. Ceci,
pour autant, qu¹il n¹en arrivent pas 100 à la fois !
- Secondement, je serais assez surpris, que les électroniciens israéliens
ne parviennent pas à déterminer les modalités des contacts entre le
pilote à distance et les Dauphins, quitte à pouvoir les dérouter de
leurs objectifs et même, peut-être, à les re-diriger vers leur
envoyeur !
La limitation la plus sérieuse, cependant, réside dans l¹acte lui-même
et le risque de représailles qu¹il encourre. Si envoyer des Scuds sur
Israël, au plan militaire, est un acte qui tient de la déraison et de
la haine, envoyer des L-29 transformés en avions sans pilotes, relèverait
des symptômes du crétinisme tactique ou du désespoir. La ³chance²
pour que ces Seveso volants atteignent leur cible procède du miracle,
par contre, le risque qu¹ils s¹abattent par erreur sur une ville
iraquienne, jordanienne, syrienne ou palestinienne, entraînant des
dizaines milliers de morts arabes, est sensiblement plus matériel !
Quant à la probabilité, de déclencher, dans toutes les éventualités
d¹emploi de ces Dauphins, à des fins tactiques, une riposte dévastatrice
de la part d¹Israël, c¹est la seule chose, sur laquelle Saddam
Hussein puisse compter.
On le voit, la situation sécuritaire d¹Israël, au moment où la drôle
de guerre contre le terrorisme va commencer, a quelque chose d¹ubuesque
! En termes des risques calculables, dans les jeux de rôles qu¹on
enseigne à West Point et à Saint Cyr, les Israéliens devraient
pouvoir dormir tranquilles. L¹Iraq n¹a ni les moyens, ni l¹intérêt,
ni encore les mobiles, de s¹attaquer à l¹État hébreu. Le confort sécuritaire,
cependant, est hors de prix, ces jours-ci; alors, lorsque les habitants
de Tel Aviv, de Jérusalem, de Haïfa et surtout de Métula, considèrent
l¹éradication du World Trade Center, ils réalisent, avec quelques
frissons dans le dos, que cette guerre n¹est plus mue par les rapports
de forces, les intérêts définissables et les mobiles compréhensibles.
Les pilotes-kamikazes de New York, ne disposaient même pas de vieux
Scuds, ni d¹avions militaires aux capacités surannées. Lorsqu¹ils
ont franchi la passerelle des Boeings, qu¹ils allaient dérouter, ils
avaient les mains vides.
Et lorsqu¹ils se rappellent les attaques de Scuds de 1992, les Israéliens
préfèrent, décidément, prendre les choses très au sérieux.
01/10/01
je ne vois ni le nom
de serero ni le nom d ' encaoua
merci de bien vouloir
le mettre dans votre liste des noms marocains
Clevys1@aol.com
01/10/01
Mbolo.com le guide du
Web Africain, des milliers de sites internet africains references.
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https://www.mbolo.com/
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Je te maile juste pour
te donner un nom pour la rubrique "celebrites"
Albert Asseraf - France
- Directeur de Carat Expert
C'est le leader
europeen de la vente d'espace publicitaire, il passe souvent dans les
journaux cbsnews ou sur m6 dans culture pub
01/10/01
Shana tova oumetouka,
ktiva vahatima tova à tous !
Priez pour la paix
dans le monde.
eve salomon eve.salomon@caramail.com

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welcome
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DAFINA
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| Repas
traditionel du chabbat, ce mets a base de ble, pois chiches et viande
etait cuit toute la nuit dans un four ferme a basse temperature. Le
mot vient de l'Arabe dafina/adafina qui veut dire
"couvert, etouffe". |
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