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08/07/02 PROVERBE JUDEO-MAROCAIN karsh el ghoula, ou karsh el foula 08/07/02 Cher ami, je vous prie de trouver ci-joint une copie de la chornique que la dernier livraison de l'INFORMATION JUIVE a consacré à mon livre sur l'immigration des juifs du maroc en Israël à partir de juin 1948, à la cuite des massacres de Djerada, près d'Oujda, au cours desquels quarante juifs avaient été tués par une foule d'émeutiers qui manif'estaient pour l'Indépendance.
La
dernière livraison de l’INFORMATION JUIVE du mois de Mai 2002, N° 216,
a publié la chronique suivante d’Odette Lang, au sujet du dernier livre
de Bertrand C. Bellaigue. Ce
livre évoque l’immigration des juifs du Maroc en Israel à partir de
juin 1948 mois durant lequel quarante juifs marocains avaient été yués
aux cours d’émeutes nationaolistes survenues dans la région d’Oujda dans le Maroc oriental. « Du
Mellah aux rives du Jourdain » L’arrivée
des Juifs du Maroc en Israël . La
génération du désert Par
Bertrand C. Bellaigue En
1952 El-AI decide la création d'une liaison aérienne Casablanca -
Tel-Aviv via Paris. Bertrand C.Bellaigue, jeune
« grand reporter » au quotidien
« Maroc-Presse » et à l’Agence France-Presse est désigné pour
couvrir l'inauguration de la ligne. Séduit et ému par le tout jeune
Etat, il propose d'y effectuer une série de reportages, s'attachant tout
particuliére-ment à l'immigration marocaine qui avait débuté après
juin 1948. Ils furent près de 273.000 juifs à quitter une terre sur
laquelle leurs ancêtres s'établirent sur plus de deux millénaires. En
compagnie de Jakov Wolfsberg - son cicerone gouvememental – l’auteur
sillonna la terre d'lsraël de long en large, visitant villes, camps de
transit, moshavim, à la rencontre de ces tout nouveaux immigrés
marocains. Il recueillit leurs témoignages faits de joie, de
souffrances, d'espoir. il y croisa des personnages haut en couleur comme
Haim-la-Force s'adonnant autrefois à des activités plus ou moins licites
derrière « Les Palissades » de la Place de France à Casablanca,
devenu un honête boulanger. Au sud de Jérusalem,
au « Village Goldstein» la quarantaine de gosses issus des villes
de Meknés et de Sefrou lui firent fête.
Sa plus grande joie, il la ressentit à la vue du kibboutz d'Hartesim,
véritable oasis féconde en plein désert. L’adaptyation et le combat
pour la survie ont été durs pour beaucoup d’entre eux, projetés du
soleil marocain aux difficiles réalités de ce nouvel environnent. Leur réussite
n'en a que plus de mérite, sachant qu'aujourd'hui leur nombre atteint le
chiffre de 500.000, dont 310.000 sabras. (Editions
PubIibook -15,24 Euros)> Odette Lang 08/07/02 Please add the following names to your list sylvain@postoffice.worldnet.att.net 08/07/02 Bonjour, 08/07/02 1) Réunion pour l'information des jeunes 08/07/02 Sujet: Berbères judaisés
CommentsLES BERBÈRES JUDAÏSES Actuellement, en Afrique du Nord, berbères et juifs islamisés, donc déculturisé conctituent la base de la nation dite "arabe". Actuellement personne ne parle de ce grand tabou, que la majorité de la population dite arabe en afrique du nors est berbère et juifs. je cite un peu d'histoire, du site "Darmon" Les tribus berbères étaient installées depuis très longtemps en Afrique du Nord. Les écrivains arabes font remonter leur origine à Goliath le Philistin et évoquent l’émigration des Canaanites. Des récits talmudiques et rabbiniques, dont les sources remontent au I° siècle de notre ère, font état, en effet, d’une migration volontaire des habitants de Canaan vers l’Afrique du Nord après la conquête de Josué. Procope, historien byzantin du VI° siècle, cite une inscription phénicienne à Tigisis (aujourd’hui, Aïn-El-Bordj, à 50 km au sud-est de Constantine) affirmant : " C’est nous qui avons pris la fuite devant ce bandit de Josué ". Ibn Khaldoun, au XIV° siècle, reprend cette affirmation : " Les Berbères sont les enfants de Canaan, fils de Cham, fils de Noé ". Il s’agit probablement de légendes qui ont été entretenues tout au long de la domination carthaginoise et rendues plausibles par la proximité de la langue punique et de l’hébreu. Salluste parle des Numides (berbères nomades) et des Maures (berbères sédentaires). Il s'agit probablement de tribus éthiopiennes d'origine sémitique, arrivées en Afrique du Nord en vagues successives : d'abord les Louata et les Haouara, puis les Néfoussas et Djéraoua, enfin les Zénata qui refoulèrent les autres tribus. Quoi qu’il en soit de leur véritable origine, certaines de ces tribus berbères ont probablement été judaïsées lors des multiples émigrations juives en Afrique du Nord. Dès 814 av J-C, des juifs auraient suivi les Phéniciens fondateurs de Carthage. Après la destruction du Premier Temple et surtout celle du second Temple par Titus en 7O, des dizaines de milliers de Juifs auraient été déportés ou auraient émigré vers la Cyrénaïque puis le Maghreb occidental. Plus de 30 000 colons juifs auraient été installés à Carthage par Titus. Enfin, une nouvelle vague d’immigrants juifs suivit l’échec de la révolte juive de Cyrénaïque (115-116 après J-C) puis la défaite de la Révolte de Bar-Kokhba (132-135). Les juifs auraient alors pratiqué un certain prosélytisme, convertissant les tribus berbères qui les accueillaient (et notamment les tribus nomades refoulées vers le désert saharien par la colonisation romaine). On en trouve notamment témoignage dans les écrits de Tertullien au III° siècle et de Saint Augustin au V° siècle, qui s’indignent de ces conversions berbères au judaïsme. Lorsque Bélisaire reprend le contrôle de l'Afrique du Nord pour le compte de Constantinople, il applique avec cruauté les Édits de Justinien : massacres, conversions forcées se succèdent. Beaucoup de juifs trouvent refuge auprès des Berbères des massifs montagneux ou du désert. Les juifs berbères d’aujourd’hui descendent-ils des tribus berbères judaïsées avant les conquêtes byzantine puis arabe ou sont-ils les descendants de juifs palestiniens (ou espagnols) ayant trouvé refuge parmi ces tribus berbères ? Ce point est sujet à controverse parmi les spécialistes. La conquête arabe se traduisit par la quasi-disparition de la religion chrétienne mais les juifs berbères subsistèrent en petits groupes, vivant dans des villages isolés dans les zones montagneuses ou dans les territoires pré-sahariens. La reine Kahéna (de la tribu Djeraoua), dans l’Aurès oriental, symbolise cette résistance des juifs berbères : les grands nomades juifs berbères combattent armés de leurs lances derrière leurs chameaux disposés en éventail. Mais la Kahéna est vaincue en 693 et les vieilles communautés juives sont détruites. Des juifs de Palestine, qui ont suivi les armées arabes, reconstruisent de nouvelles communautés. Kairouan, fondée en 670, devient la capitale d’une orthodoxie juive professant le judaïsme babylonien, qui s’oppose aux pratiques judéo-berbères considérées comme hétérodoxes. L’arrivée des juifs espagnols après 1391 et surtout à partir de l’expulsion de 1492 a bien évidemment modifié la vie de ces juifs berbères. Le clivage entre les deux communautés est resté manifeste : à Alger, les juifs espagnols (les megorachim : les exilés) sont surnommés les porteurs de capuches (kabbusiyyin) <bonnet.htm> et les juifs indigènes (les tochavim : les natifs) les porteurs de turbans (shikliyyin ). Mais peu à peu, l’élite des rabbins espagnols impose son autorité et ses règles aux communautés locales. En 1394, par exemple, Simon ben Semah Duran dit Rachbatz (1361-1444) rédige des ordonnances, les taqqanot d’Alger, qui établissent une législation matrimoniale appliquée par toutes les communautés juives algériennes. La coutume de Castille devient la coutume d’Alger. De même Amram ben Merouass Ephrati, descendant d’une illustre famille de rabbins de Valence (Espagne), devient rabbin d’Oran. A partir de cette époque, les juifs d’Algérie, dans l’empire ottoman, constituent une seule communauté, même si certains particularismes locaux subsistent qui témoignent d’origines historiques différentes. Houssa 08/07/02
Azemour: Ribbi Avraham Ben Natane Ribbi Avraham Moul-Niss Ribbi 'Hayim Assouline Ribbi Yossi HaGualili Casablanca: Ribbi Avraham Amselem Ribbi Avraham Ifra'h Ribbi Chélomo Alloul Ribbi David Danino Ribbi David 'Hadida Ribbi Eliyahou Ribbi Messod Ohana Ribbi Yits'haq Ben Chétrite Ribbi Yits'haq 'Haziza Ribbi Yits'haq Qoriat Debdou Ribbi Chélomo Cohen Gadol Ribbi Daoud Cohen Ribbi Moché Mimoune Ribbi Yits'haq El Qanesi Ribbi Yossef Ben Bibi Ribbi Yossef Tourdjmane Draa Ribbi Avraham Tordjman Ribbi David Draa HaLévi Ribbi David Na'hmias Ribbi David Perez Ribbi Meïr Benlolo Ribbi Yaïche Bitton Fez: Ribbi Aharone Monsonego Ribbi Chaoul Serero Ribbi Chélomo Ibn Danan Ribbi David Haqadmone Ribbi Matatiyahou Séréro Ribbi Ménaché Ibn Dayan Ribbi Raphaël Aharone Monsonego Ribbi Raphaël Aven Tsour Ribbi Vidal Sarfati Ribbi Yaâqov Qaddoche Ribbi Yéonatane Serero Ribbi Yéhouda Ben Attar Ribbi Yists'haq Elfassy Figuid (berceau de la famille Zenou): Ribbi Avraham Ben Salem Marrakech: Ribbi Avraham Abikhzer Ribbi Avraham Abitbol Ribbi Avraham Azoulay Ribbi Azar HaLévi Ribbi Baroukh Arama Ribbi Baroukh Bemmafda Ribbi Chélomo Taméchoute Ribbi David Ben Safét Ribbi David Chélouche (13 Kislev) Ribbi David Sabbah Ribbi Eliyahou Yissane Ribbi 'Hanania HaCohen Ribbi 'Hayim Messas Ribbi 'Hayim Pinto Ribbi Massoud Bar Mimouna Ribbi Massoud Ben-Moha Ribbi Massoud Bitton Ribbi Massoud Na'hmias Ribbi Meïr Bat Chéchat Ribbi Mordékhaï Ben Attar Ribbi Moché ben Safét Ribbi Moché 'Haliwa Ribbi Nissim Ben Nissim Ribbi Peta'hiya Berdugo Ribbi Pin'has Ben Yaïr Ribbi Pin'has HaCohen (14 Tévéte) Ribbi Raphaël Ben Attar Ribbi ChalomKinizou Ribbi Chaoul Na'hmias Ribbi Chélomo Ban Attar Ribbi Chélomo Cohen Ribbi Chélomo Sémana Ribbi Yaâqov Abikhzer Ribbi Yaâqov Lévi Ribbi Yaâqov 'Hazan Ribbi Yéhouda Tsarfati Ribbi Yits'haq Ban Safét Ribbi Yitsd'haq Délouya Ribbi Yisrael Abikhzer Ribbi Yisrael Ben Mo'ha Ribbi Yossef Pinto Femme vénérée Lalla Ribqa Dé Béné Moché Meknes: Ribbi Baroukh Tolédano Ribbi David Boussidan Ribbi 'Hayim Messas Ribbi Ma'hlouf Chétrit Ribbi Raphaël Elkouby Ribbi Yaâqov Berdugo Mogador: Ribbi Avraham Ben Attar Ribbi Avraham Bensoussan Ribbi Avraham Knafo Ribbi Avraham Qiria Ribbi Avraham Sabbah Ribbi Avraham Souissa Ribbi David Attar Ribbi David Elqayim Ribbi David Yiflah Ribbi 'Hayim Pinto Ribbi Massoud Ben Tamechoute Ribbi Réouven ben Réouven Ribbi Yaâqov Ben Yita'h Ribbi Yona Navone Ribbi Yossef Knafo Ribbi Yossef Malka Rabat: Ribbi Avraham Berdougo Ribbi Chalom Zagoui Ribbi Chélomo Ben Weiche Ribbi Chémouel Abou'hatséra Ribbi David Bensimon Ribbi David OuMoché Ribbi Eliêzer Davila Ribbi Eliyahou Mercado Malka Ribbi Moché Ben Oualid Ribbi Raphaël Attiya Ribbi Yécoutiel Berdougo Ribbi Yossef Elmaleh Rissani: Ribbi Avraham Abou'hatséra Ribbi David Abou'hatséra Ribbi Massoud Abou'hatséra Ribbi Moché Tourdjemane Salé: Ribbi Avraham Réva'h Ribbi Amram Ben Safét Ribbi Chalom Azoulay Ribbi Ephraïm Maïmarane Ribbi Moché Amsellem Ribbi Moché Ma,ouna Ribbi Mordekhaï Cohen Ribbi Raphael Ankaoua Ribbi Yi'hiya Rouimi Tanger: Ribbi Avraham Tolédano Ribbi 'Habib Tolédano Ribbi Mordékhaï Bengio Ribbi Yéhouda Azancote Ribbi Yéhouda Jabaly Ribbi Yits'haq Nahon Taroudant: Ribbi Baroukh HaCohen Ribbi Chalom Zafrani Ribi David ben Baroukh Ribbi Moché Elbaz Ribbi Pin'has HaCohen Ribbi Yamine HaCohen Tétouan: Ribbi Amram Ben Diwan Ribbi Avraham Bibas Ribbi Vidal Tsarfati Ribbi Yéhouda Halfon Ribbi Yits'haq Bengualid Ribbi Yits'haq Ben Walid Ribbi Yits'haq Nahon 08/07/02
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