15/07/02
Bonjour,
Je m'appèle Yosseph
Abtan. Je suis né au Maroc.
A Marrakech on avait
pas de ABITAN ou des AVITAN. Ils étaient tous des ABTAN
Meilleures
Salutations et bonne journée,
Y. Abtan
Y. Abtan
y.abtan@pc-network.ch
15/07/02
Intéressant de
connaître la signification de quelques noms juifs marocains;
au delà de
l'anecdote , je crois que cela un intérêt historique certain,
quant à l'origine et
les activités économiques pratiquées par cette communauté.
Azerraf : assaraf,
de sarf monnaie en arabe, qui échange l’argent, probablement
de l’argent étranger.
Boumendil : mendil
seviette en arabe, qui a une serviette.
Elhyani : de hayana,
une région au Maroc
Elmaleh : arabe,
charmant, adorable
Krief : peut être
de khrief, arabe, petit mouton.
Lahyani : voir
Elhyani
Laskar : peut être
de lachghar, blond en arabe.
Saban : arabe, celui
qui lave les habits
Sabban : voir Saban.
Sebban : voir Saban
Tordjman : arabe,
traducteur
Torjman : voir
Torjman
Touati : du Touat,
une région du sud de l’Algérie, à l'est de Tindouf, à une
époque dépendante
du Maroc, sur la route caravanière entre Sijilmassa et
Tombouctou.
Zrihen : Peut être
de Zerhoun ville près de Meknès ou est enterré Moulay
Idriss Zerhoun,
fondateur de la première dynastie musulmane du Maroc, les
Idrissides.
Salutations
Khalid [h.khalid@wanadoo.fr]
15/07/02
Des experts arabes, sur commande de l'ONU, remettent un rapport absolument dévastateur sur l'état du monde arabe
L'ONU a hésité à rendre public ce « Rapport sur le développement humain dans le monde arabe ». Les experts arabes qui l'ont rédigé ont insisté pour qu'il le soit. Les données relatives à vingt deux pays arabes y sont consignées. De 280 millions d'habitants en 2000, ils passeront à environ 450 millions en 2020. La toile de fond : analphabétisme majeur, femmes maltraitées, revenus par foyer parmi les plus bas du monde, absence d'investissements dans la recherche et le développement, refus de traduction de livres étrangers, corruption, rejet d'une évolution démocratique… Un désastre auquel la cause palestinienne sert de prétexte, disent les auteurs.
...Depuis 1000 ans, les Arabes ont traduit dans leur langue l'équivalent de ce que traduit l'Espagne en un an...
Vous pouvez lire l'article entier sur:
https://www.proche-orient.info/xjournal_pol_der_heure.php3?id_article=2638
15/07/02
Noms inconnus dans la liste des noms des jiufs du maroc
- ZANON
- AZZAGURY
ELBAZ Momy
185 Boulevard Zerktouni
momyelbaz@iam.net.ma
15/07/02
Penser à Jérusalem ! (info # 011207/2)
Par Jean-François Rey à Lille © Metula News Agency
Aux lecteurs de la Ména : Introduction par Gérard Huber
Je suis heureux que La Ména ait accepté de proposer à ses lecteurs un article de mon ami Jean-François Rey, philosophe, professeur agrégé de philosophie à l’IUFM de Lille, et spécialiste mondial de l’œuvre d’Emmanuel Lévinas.
En Septembre 1981, ce grand moraliste écrivait : « l’idée inaliénable du sionisme politique, c’est la nécessité pour le peuple juif, dans la paix avec ses voisins, de ne pas continuer à être minorité dans son cadre politique. Ce qui n’est pas seulement exigé comme ambiance de sa culture supra-nationale et communicable, ce qui est nécessaire – de nécessité que j’appelle précisément historique – pour que l’affront et l’assassinat des Juifs dans le monde perdent le caractère de phénomène incontrôlable et impuni ».
Au moment où des bandes armées palestiniennes, en appui sur la seconde Intifada, relayées par les attentats-suicides, tentent de sauver le droit et le devoir des barbares à affronter et assassiner des Juifs, en Israël même et de manière incontrôlable et infinie, il est important que la pensée de Lévinas ait trouvé une actualité à Jérusalem.
Penser à Jérusalem
L’Université Hébraïque de Jérusalem organisait et accueillait du 20 au 23 mai dernier un colloque international consacré à Emmanuel Lévinas. Ce fut une surprise de découvrir que ce philosophe était, parfois, encore méconnu en Israël même. Ce fut un plaisir de contribuer à le faire connaître, en compagnie de courageux traducteurs et de nombreux spécialistes israéliens, européens, américains. Mais le plus émouvant fut la tenue même de ce colloque à Jérusalem et en ces temps douloureux.
Simultanément circulait en France un appel de chercheurs français à boycotter les universités israéliennes. Quelles que soient les analyses par les uns et les autres de la situation désastreuse dans laquelle se trouvent plongées les populations de cette région, il apparaît que la circulation de la parole et des idées demeure une nécessité vitale, un enjeu qui prédispose à la paix. Le plaisir éprouvé à l’accueil qui fut fait aux conférenciers fut rehaussé dès qu’il apparut que nos hôtes étaient eux-mêmes attachés à la réussite de ce colloque bien au-delà de la vie universitaire courante, de ses rituels et de ses protocoles.
L’objet même de ce colloque (célébrer Lévinas à Jérusalem) donnait le ton de ces journées. Penseur de la proximité et de la paix, ce philosophe avait, de son vivant, servi de référence, en France au moins, à tous ceux qui voulaient déserter les positions stériles et confortables de l’extrême gauche d’alors. Sa lecture éveillait définitivement ceux qui, sortant de leur sommeil dogmatique, se retrouvaient, selon le mot de Lévinas lui-même, « dégrisés ». Maître spirituel pour les uns, philosophe radical pour les autres, il a permis de nouer la plus haute spéculation avec les préoccupations les plus vitales : la faim, l’exil, la persécution, la paix. Il se situait à l’intersection de la tradition du judaïsme lithuanien, de la phénoménologie allemande, de la littérature russe et de la philosophie française, comme l’a rappelé Marie Anne Lescourret, sa biographe. Enfin, il a contribué à acclimater la culture talmudique, au moins partiellement entrevue, à une époque et dans une culture que l’on croyait à jamais ignorantes de cette tradition.
Mais c’est bien à Jérusalem qu’il faut retourner. C’est de là seulement que peut s’éclairer le sens de la formule : « l’Europe c’est la Bible et les Grecs », ce qui est une invitation faite aux Européens à ne pas occulter un pan de leur héritage : Athènes et Jérusalem. Cela ne signifie pas que Rome et La Mecque soient exclus de l’héritage. Mais penser le lien entre la philosophie rationnelle et le premier monothéisme reste une tâche qui est encore largement devant nous. Est-elle, pour autant, d’actualité ? Certes l’urgence, c’est le règlement du conflit, c’est la coexistence et la souveraineté de deux communautés. Mais, politiquement, il est de la première importance aujourd’hui de ne pas abandonner, en Israël même, ceux qui restent attachés, malgré la peur et les bombes, à faire croître et partager un héritage dont Emmanuel Lévinas fut un penseur et un relais.
15/07/02
My name is Rahm Almarzah, I was born in Venezuela in a Sephardic family
originated in Morocco and Portugal (The Azores). The Jewish Moroccan community is Venezuela is quite large and prominent. A great number of
Venezuelan Jews migrated there directly from Tetuan, Melilla, Casablanca and
Ceuta. My grandmother was actually born in El Aaiun (Spanish Sahara) although
her family was from the Canary Islands. I would like to know if there is any
information on Jews from Western Sahara or Ifni.
Thanks very much
Rahm Almarzah
Interboys@aol.com
15/07/02
Noms des Juifs du
Maroc :
ALEZRA: originaires
du SUD, village de Sfelet, proche de Rissani.
Merci
Madalz@aol.com
15/07/02
Bonjour,
Mes parents étant du Maroc, ma mère de Fez et mon père de
Safi, la famille SEBAG, je suis à la recherche de photos des
tsadikims suivants :
Rabbi fen ankawa
Rabbi mounis
Un grand plaisir pour moi serait
de montrer à mon père la tombe de son père qui se trouve enterré
à Wésane son nom Aaron SEBAG. Si quelqu'un se trouve dans les
environs....
Cordialement,
Patrick SEBAG
Tapouf@aol.com