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22/07/02

NOMS DES JUIFS DU MAROC A AJOUTER

sandroussi (marrakech)

I.Cohen@dsv.rotterdam.nl


22/07/02

je vous remercie vivement d avoir mis mon site en attente. votre systeme de vote populaire est democratique en diable .encore faut il que s ouvre, quand on clique sur mon nom, mon site que le public puisse evaluer et noter.y a t il un probleme avec mon site.
ce serait formidable si la gentille arielle pouvait visualiser mon site et me faire l honneur d une petite annoncer.pouvez vous lui passer le message.sinon je me contenterai de paraitre parmi les celebres artistes sepharades que sont raphael abecassis et guillaume azoulay que je connais personnellement d ailleurs.
j aime bien le nom de votre site.je vous suggere de donner la recette de la daf sous le texte ou vous expliquez la signification de ce nom de site.pourquoi pas.
a tout hasard je vous rapelle l adresse de mon site
https://www.maximebenhaim.ht.st 
merci pour votre attention
maxime ben haim


22/07/02

Je suis interessee par toutes recettes Tunisiennes. Pourriez-vous m'aider a en trouver? Est-ce qu'il y en a dans ce site?
merci d'avance.
Rosy
Rosaviv@hotmail.com 


22/07/02

Comme ancien du Maroc , et habitant depuis tres longtemps au Venezuela (Caracas) . je voulais simplement vous que j'ai ete ravi de decouvrir votre WEB page.
Toutes mes felicitations . Merci .
I. Sicsu

email address : isicsu@cantv.net 


22/07/02

  • Sujet: Pour la Paix au Moyen Orient

veuillez visiter cette page et décidez par vous même https://pages.zdnet.com.neila-charchour/hachicha/id70.html

Il s'agit d'un pétition pour la paix. Il s'agit d'agir pour ne plus subir !!

 Neila Charchour Hachicha


22/07/02

  • Sujet: Avis aux membre du forum

Je me presente votre frère MAYER AZEROUAL marocain juif amoureux de l'histoire des juifs marocain et fidel aux traditions juives sèpharades comme me l'appris ma grande mère SALIKA AZEROUAL né OUHANNA. POur les gens qui cherchent des informations sur les origines de leurs familles ou bien des informations concérnant les juifs berberes en particuliers je suis à leur disposition.

azeroual70@hotmail.com 


22/07/02

Prochainement je publierai un article concernant les tribus de imintanout: m'tougga,m'zouda,ait haddi, n'fifa qui étaient tous des tribus juives sèpharades convertis à l'islam.

azeroual70@hotmail.com 


22/07/02

  • Sujet: NOTRE MAROC

JE NE DIS PAS CES MOTS, JE LES CRIE, JE LES HURLE! JUIVES ET JUIVES DU MAROC, VOUS ETES CHEZ VOUS AU MAROC QUI EST LA TERRE DE VOS PERES PERSONNE N'A LE DROIT DE VOUS INQUIETER DANS VOTRE IDENTITE NEE DE PARENTS MUSULMANS , J'AI APPRIS QUE NOUS SOMMES AVANT TOUT CITOYENS MAROCAINS, ET RICHES DE NOS CULTURES PARTAGEES AU COURS DES SIECLES JEUNE AFRIQUE INDIQUE DANS SON ARTICLE QUE VOUS N'ETES PLUS QUE 5000 , EH BIEN? CROISSEZ, MULTIPLIEZ VOUS, FAITES LE TOUR DE LA TERRE ET REVENEZ CHEZ VOUS, CHEZ NOUS AU MAROC Amina 

amina.arij@eu.sony.com 


22/07/02

Non ! (info # 011807/2)

Par Stéphane juffa © Metula News Agency

Lorsque les Nazis ont voulu justifier de la répression criminelle gratuite contre les juifs, ils les ont accusés d’avoir mis le feu à leur parlement, le Reichstag (le 27 février 1933). S’en suivit un déferlement terrible contre les Israélites, qui allait se terminer par l’activation de camps d’extermination, par un génocide. En passant, les fascistes allemands avaient organisé une campagne de boycott des commerçants et des produits juifs (organisée par Himmler dès le 28 février, justifiant la création de l’Etat SS, par la nécessité de protéger les Allemands).



Dans cet exercice, ils avaient mis en branle des règles de boycottage, des listes de produits et de personnes et ils avaient collé des posters explicatifs sur les murs de leurs cités. Ils avaient établi des pétitions, des comités de contrôle du boycott (qui photographiaient, entre autres, les Allemands qui se rendaient dans les commerces juifs), puis vinrent les lois de ségrégation, les brimades, les humiliations publiques et pour finir cette cascade de mesures, les sévices corporels et les assassinats.



Deux éléments, qui définissaient l’ensemble de ces actions, faisaient d’elles des exceptions dans les comportements politiques ordinaires :



1. Ils s’établissaient en répression de crimes que les juifs n’avaient pas commis.
2. Ils entendaient punir l’ensemble d’une nation pour ces crimes imaginaires.



On retrouve ces deux éléments participant de l’histoire nazie dans l’initiative lancée par l’Association pour une soi-disant paix juste en Palestine afin de boycotter les produits israéliens.



Les S.A allemands, les commandos de voyous organisés, avaient eux-mêmes bouté le feu au Reichstag, puis les Nazis avaient monté et attisé une campagne médiatique massive contre cette nation qu’ils entendaient culpabiliser artificiellement et enfin, ils déférèrent un homosexuel communiste – même pas juif - hollandais, Marinus Van Der Lubbe, devant un tribunal de pacotille, qui le condamna à la peine capitale.



Bien sûr, je n’accuse pas les initiateurs et les signataires du boycott des produits israéliens d’avoir commis des crimes contre les Palestiniens, mais je les tiens responsables, un à un, - et j’embourbe à l’occasion la responsabilité collective, elle me rappelle par trop la Visite de la Vieille dame de Friedrich Dürenmatt, ainsi que les milliers de crimes que la responsabilité collective a générés, les "je ne savais pas" et les "tout le monde agissait ainsi" ! – des autres actes de malveillance à caractère raciste, de bêtise noire, d’ignorance et de judéophobie, qu’ils ont hérité des corrélations sociales, religieuses et historiques qui ont mené au national-socialisme.



Dans cette explication, le dernier rapport d’Amnesty International joue un rôle prépondérant et pour cette raison, assurément, dans un énième crime de désinformation médiatique, symétrique en substantialité à la propagande qui a suivi l’incendie du Reichstag, la presse française – qui s’est faite l’engrais et la légitimité des attitudes que je dénonce dans cet article – a sciemment et largement caché aux Français les conclusions dudit rapport. Ainsi les Français ignorent-ils pour la plupart que l’ONG indépendante, qui défend les droits de l’homme dans le monde, a identifié les assassinats collectifs perpétrés par les Palestiniens comme des crimes contre l’humanité.



Il ne s’agit pas d’une réponse à des actes dont les Israéliens seraient la "source", comme le prétend le texte de l’initiative, pas du fait "d’une résistance désespérée" comme elle l’alibise, mais de crimes contre l’humanité ! Et ce terme implique philologiquement – confondant les lâches de la non pensée – que, s’agissant de crimes contre l’humanité, ils partent d’une démarche construite d’inspiration génocidaire, ils sont prémédités et ils s’inscrivent dans une dialectique ordonnée et certainement pas dans une réaction spontanée et émotive.



La France politique et la France médiatique s’emploient en outre à une déchronologisation des événements de Palestine, ce qui constitue l’unique moyen d’en faire supporter la responsabilité par les juifs. On retrouve ici l’élément fascisant de l’accusation mensongère des "juifs qui ont incendié le Reichstag !"



Il suffit pourtant, pour faire voler en éclats cette déchronologisation – les théories racistes volent facilement en éclats parce qu’elles sont, par essence, toujours grossières, mensongères et simplistes – de rappeler aux Français et aux vauriens qui supportent l’initiative de boycott, que c’est l’Intifada qui a amené Sharon au pouvoir et pas Sharon qui a engendré l’Intifada et d’ajouter que plus de six mois ont séparé les premiers crimes palestiniens contre l’humanité de l’élection d’Ariel Sharon au poste de Premier ministre de l’Etat d’Israël.



Ainsi, l’hypothèse selon laquelle l’Intifada serait la conséquence d’une pseudo politique de Sharon ne supporte pas l’épreuve du comptage du temps, qui en écarte toute vraisemblance. Sharon n’était pas aux affaires lorsque Yasser Arafat a déclenché sa guerre. Sharon était dans l’opposition. Lors, la "répression, l’humiliation des populations palestiniennes, la destruction de toutes ses infrastructures" que décrivent les boycotteurs, n’est pas seulement hyper excessive et mensongère, elle est aussi la conséquence de crimes contre l’humanité et pas du tout sa cause !



Il fallait toute l’inculture d’un journaliste de FR2, pour affirmer lundi, dans un reportage du JT consacré aux hommes politiques assassinés et pas du tout au Proche-Orient, pour, parlant d’Itzkhak Rabin ajouter : "l’assassinat lequel allait également tuer le processus de paix entre Israéliens et Palestiniens" ! Ce que FR2 et les néo-pourfendeurs des juifs responsables de l’incendie du Reichstag feignent d’oublier, c’est qu’à l’époque du déclenchement de l’Intifada, c’est Ehud Barak qui est très confortablement installé dans le siège du Président du conseil israélien. Et Ehud Barak est prêt à aller beaucoup plus loin, notamment à propos du re-partage de Jérusalem, que Rabin dans le sens du compromis historique, n’en déplaise à Charles Enderlin, à Hubert Védrine et à leurs abracadabrantesques corrections de la vérité historique. C’est ici et dans l’usage militant qui en est fait par les vauriens-boycotteurs, que l’on saisit tout l’impact que peut avoir la désinformation factuelle, doublée de malhonnêteté intellectuelle extrême du correspondant de FR2 à Jérusalem, appuyé dans sa démarche par l’ex-ministre, ainsi que le sens et la portée de l’incitation à la haine ethnique qu’ils ont véhiculé.



Par ailleurs, la justification de crimes de guerre contre l’humanité – dans tous les cas ontologiquement injustifiables ! - ne peut reposer sur l’exploitation sans fin du prétexte de la colonisation des territoires palestiniens et de l’affirmation supplémentaire et ubuesque des boycotteurs, selon laquelle les Israéliens emprisonnent tout le peuple palestinien et que cet emprisonnement "prélude à sa déportation pure et simple !" Cette justification n’a pas lieu d’être, parce qu’il est établi par le témoignage de tous les négociateurs de Camp David, qu’ils soient américains, israéliens ET palestiniens, que la question de l’avenir des colonies avait été résolue par consensus durant les pourparlers et que, par conséquence, c’est le déclenchement de l’Intifada par les Palestiniens – et lui seul – qui prolonge la possibilité de colonisation des territoires arabes. Par quel prodige les boycotteurs expliquent-ils que le gouvernement israélien, qui avait donné à Camp David – six ans après l’assassinat de Rabin et un mois avant le déclenchement de l’Intifada - son accord formel à la création d’un Etat palestinien ainsi qu’à l’attribution, à ces mêmes Palestiniens, de 98% des territoires pris sur la Jordanie en conclusion de la Guerre des Six Jours, envisageait-il leur déportation pure et simple, c’est une chose que dans leur discours simpliste, orienté vers le procès d’intention raciste, ils ne nous disent bien évidemment pas !



Aucun des griefs énoncés par l’Association pour une paix juste en Palestine et par ses supporters ne soutient la moindre analyse sensée, encore faut-il avoir la volonté et le sérieux de procéder à cette analyse. Reste leur acte de boycottage, tondu de tout justifiant objectif, qui s’affirme alors dans toute son extraordinaire violence. Reste cet acte, qui veut sanctionner les victimes des crimes palestiniens contre l’humanité, en les affublant, eux qui avaient élu Ehud Barak pour faire une paix de compromis douloureux en février 2000, des accusations les plus fantaisistes. Revient alors la volonté de punir à nouveau les juifs, de nouveau pour des crimes qu’ils n’ont pas commis. L’outil de la punition est semblable à ce qu’il avait été il y a soixante-dix ans, la sanction économique, exprimant la volonté de rendre intenable l’équilibre financier des familles israéliennes, déjà malmené par les répliques de la guerre et par l’insécurité et la douleur générées par les assassinats collectifs.



Je ne demande rien à personne, je ne pétitionne pas, je ne lobbyse pas. Je suis un analyste, pas un militant mais justement à cause de cela, grâce plutôt à la perspective que me permet la juxtaposition de l’histoire à la compréhension des événements du présent, j’entends faire comprendre aux instigateurs du boycott que leur initiative n’est pas anodine. Elle est au contraire le début de la dynamique qui permet à Alain Lipietz, au lendemain d’avoir signé l’appel au boycott, de prétendre que les Israéliens violent les enfants palestiniens, dans une accusation tout à fait parallèle, en mensonge et en infamie, à celle qui était faite aux juifs russes de boire le sang des enfants chrétiens. Cet assassinat de crime par atavisme de méchanceté – quelqu’un verrait-il une autre raison qu’auraient des soldats straight de violer des garçonnets palestiniens ? – devrait mettre un point final à l’épopée des Verts français. Il ne suffit pas, en effet, de prétendre qu’on protège les trèfles à quatre feuilles – l’Allemagne ! – afin d’être immunisé contre la peste brune, surtout lorsqu’on a été élu par cette bande d’opportunistes pour être leur candidat à la présidence de la république.



La volonté des boycotteurs de punir toute une nation, de paupériser par sanction une population, qui n’est certes pas constituée que de soldats ou de politiciens, est inadmissible lorsque remise dans la perspective de l’histoire de l’Europe et du passé collaborationniste de la France. Pour que l’arme – c’est en effet une arme en toutes choses - de la ségrégation économique contre les juifs ait été moralement justifiable, il aurait fallu que ses utilisateurs puissent se prévaloir d’une conscience morale de Supermen, de Supermensch et que le doute de comportement raciste ait quitté la France depuis dix mille générations ! Il aurait fallu qu’elle s’établisse sur des faits indiscutables, non sur des rumeurs de pissotières d’attitudes de méchanceté atavique, qui n’existent auprès d’aucun peuple. De telles accusations sont toujours l’expédiant d’un réflexe raciste, les monstres qui tuent ou qui violent systématiquement les enfants par plaisir, ça n’existe nulle part. Il aurait encore été nécessaire, que les soi-disant victimes des Israéliens aient été véritablement des victimes et qu’il ne pèse pas sur leurs dirigeants des présomptions accablantes d’intentions génocidaires. Il aurait aussi fallu que les Palestiniens ne soient pas surpris chaque semaine à mettre en scène des massacres imaginaires afin justement de susciter des sanctions contre Israël. Il aurait fallu que ce ne soit pas eux qui interrompent par la violence le processus de paix, que ce ne soit pas eux qui entament et qui perpétuent cette guerre ! Il aurait été nécessaire, enfin, pour justifier moralement de la punition de civils, mais alors absolument nécessaire, si les administrateurs de cette sanction ne voulaient pas devenir des complices de crimes, qu’ils ne prissent pas parti pour le parti qui commet de façon quotidienne des crimes contre l’humanité !



Même si tout ce qui précède n’existait pas, si ceux que les boycotteurs prennent pour des victimes n’étaient pas des bourreaux de fait, s’ils ne confondaient pas ceux qui avaient élu Barak pour faire la paix et ceux qui poursuivent et qui clament – voyez simplement leurs chartes ! – la suprématie religieusée des valeurs de leur civilisation et l’extinction de toutes les autres, un démocrate équilibré rejettera encore l’idée d’affamer une population civile comme instrument de poursuite d’une finalité politique. Le démocrate véritable rejettera ce recours, non seulement parce qu’il est inique, frappant majoritairement des personnes dénuées de tout lien volontaire avec les événements qu’ils entendent condamner, mais aussi parce que la sanction du boycott constitue toujours une vengeance et que la vengeance n’est pas l’outil du démocrate, qui lui préférera l’engagement personnel en vue d’aplanir les différends et de rapprocher les points de vue difficilement conciliables.



Je ne comprends pas, comment des professeurs de droit, des acteurs au talent exceptionnel comme Juliette Binoche, des Guy Bedos – je ne ris plus, papi – et des vrais hommes de science (juifs !) comme le professeur Schwartzenberg trempent leurs mains dans cette mélasse brune. Je vais leurs laisser une chance, qu’ils n’ont pas laissé aux familles d’Israël, en les invitant à prendre conscience de la monstruosité de leur acte et d’évacuer leur signature de cette initiative sans gloire. Puis j’établirai une barrière absolue entre moi et les gens qui restent sur cette liste, parce qu’il m’est insupportable de respirer le même air qu’eux, parce qu’il faut être dément, sachant ce que l’on sait de la dynamique de ce genre d’initiatives, pour accepter de prendre le risque de composer avec elles. Je boycotterai les boycotteurs, je ne verrai pas leurs films, je n’écouterai pas leurs chansons et je ne les saluerai plus.



Un dernier point de détail, pour ceux qui ne l’auraient pas compris : Je fais partie de ces Israéliens qui n’ont jamais envisagé un lien quelconque entre la boucherie que mon peuple a subi durant le génocide nazi et notre différend avec les Palestiniens et le monde arabe. Les Palestiniens sont (presque) entièrement étrangers à l’épopée fasciste et, par conséquent, les maltraitances des Allemands ne nous confèrent aucune immunité dans la façon que nous devons résoudre nos problèmes avec les Arabes. Je parle aujourd’hui d’un problème essentiellement judéo-européen. Je discute la résurgence de l’incapacité de certains Européens de cesser de haïr les juifs pour rien ! 


 

        

 

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