26/08/02
J'ai le plaisir de vous annoncer la naissance du site Prettylook sur l'adresse suivante:
www.prettylook.com
Avec une animation sur la ville et la région d'Agadir (Maroc).
Le site est aussi disponible sur CD-Rom pour une navigation plus fluide.
Yves Moulart
moulart@iam.net.ma
26/08/02
Bonjour,
je suis marocain musulman ( quoi qu'au maroc il n y a pas de juifs ou de musulmans il n y a que des marocains).
Je souhaite vous manifester ma grande reconnaissance pour les emotions que
j'ai ressenti en parcourant votre merveilleux site.
En meme temps je suis un peu amer car beaucoup de mes compatriotes de confession juive ont quitte notre terre benie pour d'autre cieux.
Je prie dieu qu'ils maintiennent allumee la flame du judaisme marocain....qui
atteste de notre diversite, de notre richesse culturelle et qui nous rend si
fiers NOUS MAROCAINS!
Rachid.Rhalmi@irl.xerox.com
26/08/02
Please inform
me, they all are my family, I live in Murcia,Spain.I am excited.See my web
www.semiticroots.com and https://usuarios.lycos.es/pardoinfo/crising.htm
Thanks.Wait urgent news.Shalom.Prof.Jose Pardo.Writer. I write a novel historic on Inquisition,Pardo family, prize 6000 euros 10 September, and edition free of charge.i am writing until 4 a.m.Shalom.Wait soon news,...do not forget my friend.Shalom.Prof.Yosef Pardo.
pardoinfo@ono.com
26/08/02
La génération désert Du mellah aux rives du Jourdain
Un hommage au courage et à la tenacité de ces pionniers venus du Maroc après pres de 3 000 ans d'absence. Je suis sur que vous sere interesss d'apprendre qu'on peut desormais se le procurer sur amazon.fr. Cordialement à vous ./. bcb
Bertrand C. Bellaigue
Découvrez ce livre sur amazon.fr
Du mellah aux rives du jourdain
de Bertrand Bellaigue
Notre prix : EUR 14,25 / 93,47 FF
Economisez : EUR 0,75 / 4,92 FF (5%)
Disponibilité : Sur commande
(Prix et disponibilité donnés à titre indicatif.)
Ce message vous est envoyé par amazon.fr à la demande de cremutius@aol.com
Pour toute question, contactez-nous à info@amazon.fr
26/08/02
club vtt oujda
https://oujdavtt.multimania.com
ramdane@wanadoo.net.ma
26/08/02
Dear Sir,
I am interested in the sources of my family name "Benbassat". I found it among the names of Jews from Marroco, and I would like to explore this
further. Could you direct me to an appropriate reference?
Sincerely
J Benbassat MD
benbasat@jdc.org.il
26/08/02
L’ambassadeur de France à Londres qui avait critiqué Israël, va être remplacé
Correspondant de Maariv à Paris
Le gouvernement français doit rappeler son ambassadeur à Londres, Daniel Bernard, qui a déclenché une tempête politique il y a huit mois en qualifiant Israël de “petit pays de merde”, précisant que les problèmes dans le monde étaient liés à Israël. “ Pourquoi le monde devrait-il craindre la troisième Guerre mondiale à cause de ces gens ? ”, s’interrogeait à l’époque Bernard, lors d’un repas chez Conrad Blake, l’éditeur de nombreux journaux dans le monde, dont le “ Jerusalem Post ”.
Dans un article publié dans les journaux londoniens, il était précisé que le changement d’ambassadeur représente une victoire pour Israël, et ce, après les élections en France qui ont été suivies par la mise en place d’un gouvernement plus favorable à Israël. On notera qu’au ministère français des Affaires étrangères, Londres est considéré comme un poste important, et le fait que Bernard soit muté en Algérie, poste qualifié de “difficile”, est perçu comme une punition pour un ambassadeur qui n’a pas su tenir sa langue.
Toujours à Paris, il s’avère que le nouvel ambassadeur à Londres est Loïc Hennekine, jusque-là Secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, et un proche du président Jacques Chirac.
26/08/02
Bonjour,
je souhaiterai connaître l'origine de mon nom
"TOUAT"
Avec tous mes remerciements
Max TOUAT
touatm@aol.com
26/08/02
Le nom de famille TOUAT provient d'une région sur le sud -est du maroc et occupé actuelement par l'algerie.
Ce territoire se constitue par un ensemble de ouasis et une population juive importante à vecu aux TOUAT mais toujours ont gardé LA BAIAA au sultan du MAROC.
Parmis ces familles on peux siter la famille ZINOU qui a quité la règion pour FEGUIG.
La famille AZZARE sui s'est instalée à demnat.
azeroual70@hotmail.com
26/08/02
I`M A BRITISH MOROCCAN,AS MUCH AS I`M PROUD TO BE BRITISH,I FOUD OUT THAT MOROCCO IS THE MOST WELCOMING COUNTRY IN THE WORLD WICH MADE ME FEEL MORE PROUD TO BE MOROCCAN,MY LAST VISIT TO ESSAOUIRA MADE ME FEEL MORE PROUD TO SEE HOW THE JEWS AND THE MUSLIM LIVE TOGATHER IN HARMONY,AND EVERYBODY FEEL MOROCCAN FIRST BEFORE BEING JEW,MUSLIM,BERBER OR ANYTHINGELES, I FOUND OUT THAT MOROCCO HAS DONE A LOTS FOR THE JEWS MORE THAN ANY COUNTRY IN THE WORLD,BUT SADDLY I COULD NOT FIND WHAT THE JEWS HAS DONE FOR MOROCCO, THE LAST NEWS I HEARD WAS THAT ISRAEL IS EXPORTING CONTAMINATED GRAINS TO MOROCCO, PLEASE HELP ME SEE THE POSITIVE SIDE OF THE JEWS IN MOROCCO
rachid
26/08/02
NOMS JUIFS
MAROCAINS A RAJOUTER
ben
shetrit/ ben denan/ gedziz
Dreah1@msn.com
26/08/02
salut
je m'interesse al culture juifs, je sius marocain.c'est tu
connu un site en ce sujet aussi .c'est tu connu un
site ,dans laquelle je peux apprendre la langue des juifs
(hybrop)
peut etre vous trouvez ça etrange mais dernierement je
decouvre que je sius un juif. ma mere et mon pere sont
devenu musulmans.
bay
nous sommes de dieu et à lui nous retournons
wir sind vom gottunda n den gehen wir zurük
holly52@caramail.com
26/08/02
La banquise se referme autour de Saddam Hussein ! (info # 010709/2)
Par Stéphane Juffa © Metula News Agency
La banquise est en train de se refermer autour du régime de Saddam Hussein. Tous les responsables militaires américains, ainsi que la plupart des politiciens de Washington, sont désormais d’accord sur la nécessité d’en finir avec le dictateur de Bagdad. Autour du Président Bush, se cristallise une alliance restreinte mais solide. Elle compte d’abord, cette coalition, sur un très large soutien populaire aux USA, ainsi que sur les alliés traditionnels de l’Amérique, que sont le Royaume-Uni et Israël.
Sur le plan stratégique, la réflexion est extrêmement simple ; elle tient sur deux éléments, l’un de type négatif et l’autre positif :
a) Saddam Hussein est très actif dans le soutien au terrorisme. Il envoie notamment ses commandos afin de déséquilibrer les régimes régionaux qui sont favorables à l’occident, tels que les Etats du Golfe, la Jordanie et Israël. Il supporte les éléments les plus radicaux du monde arabe, politiquement, logistiquement et financièrement, torpillant ainsi toute chance réelle de pacifier le Moyen-Orient. Mais surtout, le président iraquien développe frénétiquement des armes de destruction massive, menaçant ainsi et de plus en plus les populations civiles de la région.
b) La réflexion positive, maintenant. La Maison Blanche est persuadée que l’Iraq est géopolitiquement le nœud autour duquel s’articule l’anti-occidentalisme arabe. Pour les experts des rives du Potomac, suivis en cela par ceux de la Ména, si un système démocratique s’instaurait sur les bords de l’Euphrate, les menaces iranienne, syrienne et palestinienne seraient instantanément isolées et neutralisées et ça ne serait plus qu’une question de (peu de) temps, avant que ces foyers terroristes ne s’effondrassent à leur tour. On pourrait alors rêver d’un Moyen-Orient positif, qui tournerait le dos aux thèses extrémistes et au jusqu’auboutisme.
Dans l’Administration américaine, on prépare donc un plan de bataille en vue de la prochaine fenêtre météorologique d’intervention possible, à savoir septembre-octobre prochains. Et si on n’est pas prêt pour septembre, on attendra février mais pas au-delà. Au-delà, la menace représentée par les armes non conventionnelles détenues par Bagdad deviendrait exagérée, non gérable. Aussi, dans l’entourage de George Bush, on compte ses amis et ses adversaires et à ce titre, les deux pays qui suscitent le plus d’exaspération sont la France et l’Arabie saoudite.
La France, parce qu’on la juge très mauvaise copine, à la Maison Blanche, et qu’on est dégoûté par l’attitude de Jacques Chirac, qui tonitruait ses déclarations de guerre au terrorisme mais qui n’a, dans les faits, cessé d’avoir à son égard la position la plus débonnaire de tous les dirigeants du G8. Le tribut affirmé, payé par Chirac aux "œuvres sociales" du Hezbollah, son refus actif de classer ce mouvement parmi les organisations terroristes et l’investissement très lourd auquel procède Paris afin d’organiser, à l’automne, (dans la conjoncture actuelle on trouve ici ce projet parfaitement dément !) le sommet de la Francophonie dans le Liban occupé militairement par un régime soutenant le terrorisme arabe et islamique indispose Washington.
Parallèlement aux sentiments exacerbés, qui s’expriment dans la presse et dans les couloirs des institutions gouvernementales, contre la classe politique française, ainsi que ceux qu’on appelle en Amérique et en Angleterre the silly French intellectuals, lisez "les intellectuels français irresponsables", on s’emploie à redéfinir les relations des USA avec le royaume saoudien. Et cette redéfinition ne se fait pas sans crocs-en-jambe et autres grincements de dents.
C’est le 10 juillet dernier, au cours d'une réunion secrète organisée par le Defense Policy Board DPB (organe consultatif des preneurs de décisions), qu’un analyste de la Rand Corporation, Laurent Murawiec, mettait les points sur les i. "L’Arabie saoudite est l’ennemie des USA", s’exprimait-il, au cours d’une analyse fondamentale des relations entre Washington et Riad, qui n’aura surpris aucun des lecteurs de la Ména, puisqu’elle apparaissait déjà sur nos pages dans une argumentation exactement similaire, le 20 juin, sous la plume de Yohanan B. Zakai, dans l’article " Bush, le cul entre deux thèses ! "
Nous ne reviendrons pas sur cet argumentaire, parce qu’il est inutile de se répéter, mais sur les conditions de l’ébruitement du compte-rendu de Murawiec. Car, c’est bien ce rapportage qui irrite l’Administration US et pas le contenu de la présentation faite par notre confrère analyste. Celui qui a mouchardé les termes de l’analyse de Murawiec entendait certainement réveiller le lobby pro-saoudien qui existe encore à Washington et mettre le bâton dans les roues de ceux qui voudraient s’en débarrasser.
Aux USA, comme ailleurs, pour pouvoir gouverner efficacement, il doit exister une barrière infranchissable entre les évaluations stratégiques nécessaires, faites par les dirigeants sécuritaires et politiques, d’une part, et les choix de l’expression diplomatique du pays, qui dépendent du ministère des affaires étrangères (Département d’Etat), de l’autre. Nul doute, que Laurent Murawiec n’avait aucunement l’intention d’initier une guerre diplomatique contre l’Arabie saoudite. Il entendait seulement, entre les battants clos d’une réunion de stratèges, donner un éclairage précis sur les choix politiques récents des rois d’Arabie et sur la signification induite de ces choix au niveau d’une réévaluation indiquée des relations entre les deux pays.
Au fond, lors de la réunion du DPB, lorsque Murawiec a établi que "L'Arabie Saoudite appuie nos ennemis et attaque nos alliés. L'Arabie Saoudite est la graine du terrorisme, le premier auteur, l'adversaire le plus dangereux au Proche-Orient", toute l’assistance, à part un ex-secrétaire d’Etat d’origine hambourgeoise, a partagé l’observation de l’analyste.
On comprend dès lors que l’ire de Donald Rumsfeld soit exclusivement dirigée contre les mouchards et pas contre le conseiller de Rand : "Manifestement, quelqu'un a décidé que c'était une bonne idée de choisir une source de controverse potentielle et de la livrer à un journal, même s'il s'agissait d'une rencontre classée secrète et non publique". Le Secrétaire à la Défense d’ajouter, dans sa déclaration, des éléments conjoncturels et historiques connus mais qui ne contredisent en aucun cas les observations de Murawiec : "Il s'agit néanmoins d'un pays où nous avons de nombreuses forces stationnées, et avec lequel nous avons eu une longue relation", a indiqué dans ce sens M. Rumsfeld".
Pour revenir aux préparatifs de la campagne contre l’Iraq, en plus des considérations strictement stratégiques, on a entendu cette semaine un haut responsable de l’Administration américaine reprendre à son compte l’évaluation selon laquelle Saddam Hussein aurait participé aux assassinats collectifs du 11 septembre 2001. Ce responsable rejoint ainsi l’observation générale que nous avions publiée voici un an, le jour même des attaques terroristes (Conclusions intermédiaires (info # 011209)) :
"(…) on peut d'ores et déjà exclure, que ce soit une organisation non gouvernementale, qui ait organisé ces attaques. On est ici en présence d'une organisation énorme, ainsi que d'une tâche de synchronisation, qui dépasse les capacités de toutes les organisations terroristes, que nous connaissons bien. Même pour n'importe quel État du Moyen Orient, les moyens engagés, sont considérables et ils ont nécessité aussi bien des structures, que des ressources humaines mais encore, une centralisation des données, qui dépasse de très loin les capacités de toutes les organisations islamiques et de la plupart des États du Proche Orient.
(…) L'Irak est en effet le seul composant, qui dispose des moyens nécessaires afin de réaliser une telle entreprise. Il détient tous les éléments requis, afin de préparer une telle action : les infrastructures, les hommes, la profondeur territoriale, les bases d'entraînement, les simulateurs de vol pour les pilotes kamikazes, les accès aux bases de données internationales, ainsi qu'aux sites physiques, qu'impliquent les paramètres connus des attaques."
Par-delà ces considérations globales régionales de première importance, les services de renseignement américain se concentrent activement sur les deux rencontres qui ont réuni, dans la capitale tchèque peu avant les assassinats collectifs, celui qui est considéré comme le leader des pilotes-suicide du 11 septembre, Mohammad Atta, ainsi que l’un des chefs principaux de l’espionnage de Saddam Hussein, Ahmed Khalil Ibrahim Samir al-Ani. Comme nous, les responsables du FBI et de la CIA remarquent sans doute l’extraordinaire cloisonnement qui existe entre tous les intervenants des attaques terroristes contre New York et Washington. Comme nous, ils sont vraisemblablement arrivés à la conclusion supplémentaire qu’une ONG du type d’Al Quaïda ne pouvait, en aucun cas, établir et maintenir un pareil cloisonnement.
De notre rocher, nous observons que c’est simultanément à la publication de ces soupçons contre l’Irak, dans certains médias américains, que Saddam Hussein a lancé son invitation au chef des observateurs du désarmement de l’ONU. En Israël, on conçoit cette invitation comme une tentative supplémentaire de la part du tyran de Bagdad, afin de gagner du temps. Ici, on a aussi noté la mauvaise mine du despote babylonien, lors des cérémonies commémoratrices de la victoire sur l’Iran et on fait deux plus deux font quatre !
On se dit ainsi, qu’il n’existe de doute dans l’esprit de personne, que si une opération militaire a lieu, elle aura pour finalité l’élimination physique (positivement observable) de Saddam Hussein. Ceci posé, il est dès lors évident que le président iraquien, s’il est attaqué, n’aura plus rien à perdre (surtout si, en plus, sa santé est véritablement chancelante) et qu’il balancera sur ses ennemis l’ensemble de ses capacités destructrices. C’est pour cela que les préparatifs battent leur plein au pays des Hébreux et qu’on prépare, entre autres, des vaccinations massives de civils contre le virus de la peste bubonique.
Les décideurs des pays occidentaux responsables se retrouvent pris dans une équation cruelle et inconfortable. Celle-ci consiste à devoir déclencher une attaque préventive contre un despote irrationnel (s’il était rationnel, il accepterait sans conditions le retour des observateurs de l’ONU et il sauverait ainsi sa peau et celle de son régime), sachant qu’ils vont ainsi mettre en péril l’existence de nombreux civils. En fait, ils vont mettre en péril maintenant la santé de ces civils, de façon à empêcher qu’à l’avenir, des populations plus nombreuses encore, soient sujettes aux menaces de cet hystérique. On est ici en présence d’un dilemme d’anthologie entre l’évaluation d’un risque stratégique et la préoccupation humanitaire. Il s’agit d’un dilemme extrêmement douloureux – surtout parce qu’on fait partie des populations menacées par l’arsenal chimico-biologique de Saddam Hussein – mais c’est aussi, pour les analystes que nous sommes, un événement ultimement intéressant !