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12/08/02

NOMS JUIFS MAROCAINS

Ouazana...Juges de l'arabe Mizen =Balance

cnxlo@email.msn.com 


12/08/02

To whom it may concern,
I am a pianist / composer in New York City and would like to contact  Morrocan Jewish musicians in New york City. Or Americans with that influence.
I am currently doing a CD for Tzadik Records (John Zorn).
My e mail: BorahCW8@aol.com  tel: 212 874 6943
I have recorded extensively with jazz companies primarily.
Sincerely,
Borah Bergman
BORAH BERGMAN Discography
LPs

Discovery, Bursts of Joy (Chiaroscuro Records 1975 and 1977, respectively)
New Frontier and Upside Down Visions (Black Saint/Soul Note, 1983 and 1985, 
reissued on CD in 1996 and 1997, respectively)

CDs
"Inversions" - Muworks Records - 1992 (Duo with Thomas Chapin)
"The Human Factor" - Black Saint/Soul Note Records - 1993 (Duo with Andrew 
Cyrille)
"The Fire Tale" - Black Saint/Soul Note Records - 1994 (Duo with Evan Parker)
"First Meeting" - Knitting Factory Records - l995 (Duo with Roscoe Mitchell)
"Ride into the Blue" - Konnex Records - 1995 (Trio with Peter 
Brotzmann/Thomas 

Borgmann)
"Reflections on (Ornette Coleman and the Stone House" - Black Saint/Soul Note

Records -1995 (Duo with Hamid Drake)
"New Frontier" - Black Saint/Soul Note Records 1996 (reissue to CD - Solo 
Piano) 
"The October Revolution" - Evidence Records - 1996 - (Quartet with Rashid 
Ali, Joe 

McPhee, Wilber Morris) 


"Blue Zoo" - Konnex Records - 1997 - (Trio with Peter Brotzmann/Thomas 
Borgmann)
"Eight by Three" - Mixtery Records - 1997 (Trio with Anthony Braxton/ Peter 

Brotzmann)
"Vision Vol.1" - Aum Fidelity - 1997 (Trio - Roy Campbell/ Dennis Charles)
"Exhilaration" - Black Saint/Soul Note Records - 1997 (Trio - Peter Brotzmann

/Andrew Cyrille) 

"Upside Down Visions" - Black Saint/Soul Note Records - 1997 (reissue to CD 
-Solo

Piano)
"John Cage - Works for Piano and Prepared Piano Vol. 4 - Virgo Records - 1997
"Ikosa Mura" - Cadence Records - 1998 - (Quartet with Frode Gjerstad, Bobby 


Bradford, Pheeroan Ak Laff)
"Geometry" - Leo Records - 1998 - (Duo with Ivo Perelman)
"Blind Pursuits" - Einstein Records - 1998 (Duo with Jim Staley)
"A New Organization" - Black Saint/Soul Note Records - 1999 (Duo with Oliver 
Lake)
The River of Sounds" - Boxholder Records - 2001 (Trio with Conny Bauer, Mat 
Maneri)
"The Italian Concert" - Black Saint/Soul Note Records - 2002 (Duo with 
Roscoe 

Mitchell)
to be released - duo with Thomas Chapin - Boxholder Records - 2002
- solo piano - Boxholder Records - 2002


12/08/02

NOMS DES JUIFS DU MAROC

GUIGUI, ZBILI, BENHAMRON 

fmd.dahan@wanadoo.fr 


12/08/02

La banquise se referme autour de Saddam Hussein ! (info # 010709/2)

Par Stéphane Juffa © Metula News Agency



La banquise est en train de se refermer autour du régime de Saddam Hussein. Tous les responsables militaires américains, ainsi que la plupart des politiciens de Washington, sont désormais d’accord sur la nécessité d’en finir avec le dictateur de Bagdad. Autour du Président Bush, se cristallise une alliance restreinte mais solide. Elle compte d’abord, cette coalition, sur un très large soutien populaire aux USA, ainsi que sur les alliés traditionnels de l’Amérique, que sont le Royaume-Uni et Israël.



Sur le plan stratégique, la réflexion est extrêmement simple ; elle tient sur deux éléments, l’un de type négatif et l’autre positif :



a) Saddam Hussein est très actif dans le soutien au terrorisme. Il envoie notamment ses commandos afin de déséquilibrer les régimes régionaux qui sont favorables à l’occident, tels que les Etats du Golfe, la Jordanie et Israël. Il supporte les éléments les plus radicaux du monde arabe, politiquement, logistiquement et financièrement, torpillant ainsi toute chance réelle de pacifier le Moyen-Orient. Mais surtout, le président iraquien développe frénétiquement des armes de destruction massive, menaçant ainsi et de plus en plus les populations civiles de la région.

b) La réflexion positive, maintenant. La Maison Blanche est persuadée que l’Iraq est géopolitiquement le nœud autour duquel s’articule l’anti-occidentalisme arabe. Pour les experts des rives du Potomac, suivis en cela par ceux de la Ména, si un système démocratique s’instaurait sur les bords de l’Euphrate, les menaces iranienne, syrienne et palestinienne seraient instantanément isolées et neutralisées et ça ne serait plus qu’une question de (peu de) temps, avant que ces foyers terroristes ne s’effondrassent à leur tour. On pourrait alors rêver d’un Moyen-Orient positif, qui tournerait le dos aux thèses extrémistes et au jusqu’auboutisme.



Dans l’Administration américaine, on prépare donc un plan de bataille en vue de la prochaine fenêtre météorologique d’intervention possible, à savoir septembre-octobre prochains. Et si on n’est pas prêt pour septembre, on attendra février mais pas au-delà. Au-delà, la menace représentée par les armes non conventionnelles détenues par Bagdad deviendrait exagérée, non gérable. Aussi, dans l’entourage de George Bush, on compte ses amis et ses adversaires et à ce titre, les deux pays qui suscitent le plus d’exaspération sont la France et l’Arabie saoudite.



La France, parce qu’on la juge très mauvaise copine, à la Maison Blanche, et qu’on est dégoûté par l’attitude de Jacques Chirac, qui tonitruait ses déclarations de guerre au terrorisme mais qui n’a, dans les faits, cessé d’avoir à son égard la position la plus débonnaire de tous les dirigeants du G8. Le tribut affirmé, payé par Chirac aux "œuvres sociales" du Hezbollah, son refus actif de classer ce mouvement parmi les organisations terroristes et l’investissement très lourd auquel procède Paris afin d’organiser, à l’automne, (dans la conjoncture actuelle on trouve ici ce projet parfaitement dément !) le sommet de la Francophonie dans le Liban occupé militairement par un régime soutenant le terrorisme arabe et islamique indispose Washington.



Parallèlement aux sentiments exacerbés, qui s’expriment dans la presse et dans les couloirs des institutions gouvernementales, contre la classe politique française, ainsi que ceux qu’on appelle en Amérique et en Angleterre the silly French intellectuals, lisez "les intellectuels français irresponsables", on s’emploie à redéfinir les relations des USA avec le royaume saoudien. Et cette redéfinition ne se fait pas sans crocs-en-jambe et autres grincements de dents.



C’est le 10 juillet dernier, au cours d'une réunion secrète organisée par le Defense Policy Board DPB (organe consultatif des preneurs de décisions), qu’un analyste de la Rand Corporation, Laurent Murawiec, mettait les points sur les i. "L’Arabie saoudite est l’ennemie des USA", s’exprimait-il, au cours d’une analyse fondamentale des relations entre Washington et Riad, qui n’aura surpris aucun des lecteurs de la Ména, puisqu’elle apparaissait déjà sur nos pages dans une argumentation exactement similaire, le 20 juin, sous la plume de Yohanan B. Zakai, dans l’article " Bush, le cul entre deux thèses ! "



Nous ne reviendrons pas sur cet argumentaire, parce qu’il est inutile de se répéter, mais sur les conditions de l’ébruitement du compte-rendu de Murawiec. Car, c’est bien ce rapportage qui irrite l’Administration US et pas le contenu de la présentation faite par notre confrère analyste. Celui qui a mouchardé les termes de l’analyse de Murawiec entendait certainement réveiller le lobby pro-saoudien qui existe encore à Washington et mettre le bâton dans les roues de ceux qui voudraient s’en débarrasser.



Aux USA, comme ailleurs, pour pouvoir gouverner efficacement, il doit exister une barrière infranchissable entre les évaluations stratégiques nécessaires, faites par les dirigeants sécuritaires et politiques, d’une part, et les choix de l’expression diplomatique du pays, qui dépendent du ministère des affaires étrangères (Département d’Etat), de l’autre. Nul doute, que Laurent Murawiec n’avait aucunement l’intention d’initier une guerre diplomatique contre l’Arabie saoudite. Il entendait seulement, entre les battants clos d’une réunion de stratèges, donner un éclairage précis sur les choix politiques récents des rois d’Arabie et sur la signification induite de ces choix au niveau d’une réévaluation indiquée des relations entre les deux pays.



Au fond, lors de la réunion du DPB, lorsque Murawiec a établi que "L'Arabie Saoudite appuie nos ennemis et attaque nos alliés. L'Arabie Saoudite est la graine du terrorisme, le premier auteur, l'adversaire le plus dangereux au Proche-Orient", toute l’assistance, à part un ex-secrétaire d’Etat d’origine hambourgeoise, a partagé l’observation de l’analyste.



On comprend dès lors que l’ire de Donald Rumsfeld soit exclusivement dirigée contre les mouchards et pas contre le conseiller de Rand : "Manifestement, quelqu'un a décidé que c'était une bonne idée de choisir une source de controverse potentielle et de la livrer à un journal, même s'il s'agissait d'une rencontre classée secrète et non publique". Le Secrétaire à la Défense d’ajouter, dans sa déclaration, des éléments conjoncturels et historiques connus mais qui ne contredisent en aucun cas les observations de Murawiec : "Il s'agit néanmoins d'un pays où nous avons de nombreuses forces stationnées, et avec lequel nous avons eu une longue relation", a indiqué dans ce sens M. Rumsfeld".



Pour revenir aux préparatifs de la campagne contre l’Iraq, en plus des considérations strictement stratégiques, on a entendu cette semaine un haut responsable de l’Administration américaine reprendre à son compte l’évaluation selon laquelle Saddam Hussein aurait participé aux assassinats collectifs du 11 septembre 2001. Ce responsable rejoint ainsi l’observation générale que nous avions publiée voici un an, le jour même des attaques terroristes (Conclusions intermédiaires (info # 011209)) :



"(…) on peut d'ores et déjà exclure, que ce soit une organisation non gouvernementale, qui ait organisé ces attaques. On est ici en présence d'une organisation énorme, ainsi que d'une tâche de synchronisation, qui dépasse les capacités de toutes les organisations terroristes, que nous connaissons bien. Même pour n'importe quel État du Moyen Orient, les moyens engagés, sont considérables et ils ont nécessité aussi bien des structures, que des ressources humaines mais encore, une centralisation des données, qui dépasse de très loin les capacités de toutes les organisations islamiques et de la plupart des États du Proche Orient.



(…) L'Irak est en effet le seul composant, qui dispose des moyens nécessaires afin de réaliser une telle entreprise. Il détient tous les éléments requis, afin de préparer une telle action : les infrastructures, les hommes, la profondeur territoriale, les bases d'entraînement, les simulateurs de vol pour les pilotes kamikazes, les accès aux bases de données internationales, ainsi qu'aux sites physiques, qu'impliquent les paramètres connus des attaques."



Par-delà ces considérations globales régionales de première importance, les services de renseignement américain se concentrent activement sur les deux rencontres qui ont réuni, dans la capitale tchèque peu avant les assassinats collectifs, celui qui est considéré comme le leader des pilotes-suicide du 11 septembre, Mohammad Atta, ainsi que l’un des chefs principaux de l’espionnage de Saddam Hussein, Ahmed Khalil Ibrahim Samir al-Ani. Comme nous, les responsables du FBI et de la CIA remarquent sans doute l’extraordinaire cloisonnement qui existe entre tous les intervenants des attaques terroristes contre New York et Washington. Comme nous, ils sont vraisemblablement arrivés à la conclusion supplémentaire qu’une ONG du type d’Al Quaïda ne pouvait, en aucun cas, établir et maintenir un pareil cloisonnement.



De notre rocher, nous observons que c’est simultanément à la publication de ces soupçons contre l’Irak, dans certains médias américains, que Saddam Hussein a lancé son invitation au chef des observateurs du désarmement de l’ONU. En Israël, on conçoit cette invitation comme une tentative supplémentaire de la part du tyran de Bagdad, afin de gagner du temps. Ici, on a aussi noté la mauvaise mine du despote babylonien, lors des cérémonies commémoratrices de la victoire sur l’Iran et on fait deux plus deux font quatre !



On se dit ainsi, qu’il n’existe de doute dans l’esprit de personne, que si une opération militaire a lieu, elle aura pour finalité l’élimination physique (positivement observable) de Saddam Hussein. Ceci posé, il est dès lors évident que le président iraquien, s’il est attaqué, n’aura plus rien à perdre (surtout si, en plus, sa santé est véritablement chancelante) et qu’il balancera sur ses ennemis l’ensemble de ses capacités destructrices. C’est pour cela que les préparatifs battent leur plein au pays des Hébreux et qu’on prépare, entre autres, des vaccinations massives de civils contre le virus de la peste bubonique.



Les décideurs des pays occidentaux responsables se retrouvent pris dans une équation cruelle et inconfortable. Celle-ci consiste à devoir déclencher une attaque préventive contre un despote irrationnel (s’il était rationnel, il accepterait sans conditions le retour des observateurs de l’ONU et il sauverait ainsi sa peau et celle de son régime), sachant qu’ils vont ainsi mettre en péril l’existence de nombreux civils. En fait, ils vont mettre en péril maintenant la santé de ces civils, de façon à empêcher qu’à l’avenir, des populations plus nombreuses encore, soient sujettes aux menaces de cet hystérique. On est ici en présence d’un dilemme d’anthologie entre l’évaluation d’un risque stratégique et la préoccupation humanitaire. Il s’agit d’un dilemme extrêmement douloureux – surtout parce qu’on fait partie des populations menacées par l’arsenal chimico-biologique de Saddam Hussein – mais c’est aussi, pour les analystes que nous sommes, un événement ultimement intéressant ! 


12/08/02

NOMS MAROCAINS MANQUANTS

le nom yagoubi

johanna@aceinformatique.com 


12/08/02

Dear Sir,
My surname is RIZZOLO, riz means Rice in French and Zolo is solo ( just ) in Ladino.
My ancestor were from a city named Fez in Marroco, most of my family live in France.
Please , add on your list.
See
www.angelfire.com/la3/rizzolo 


12/08/02

La BNP et les bons de l'Etat iranien 

Voici un résumé de notre échange de courrier avec Michel PEBEREAU, PDG
du Groupe BNP PARIBAS - 16, Bd des Italiens - 75009 Paris. Vous pouvez,
à votre tour protester.

Rappelons que l'Iran est ouvertement impliquée dans le soutien du Terrorisme International : Argentine (corruption de l'ex-président Menem) - les bandes à Y. Arafat - le Hezbollah libanais - le professeur Sami Al-Arian de Tampa, Floride - le navire Karine A, etc....

En Juin, la presse nous apprend que la BNP est chef de file des banques Européennes du placement de bons IRAN, faisant fi de l'avertissement des Américains concernant l'IRAN, pays soutenant et finançant le TERRORISME.

A ma lettre indignée, M. PEBEREAU me répond minimisant cette action. Je lui réponds à nouveau en ces termes :...." Vous optez pour l'attitude de l'autruche quant aux pratiques de terreur poursuivies par le Régime Iranien affirmant que vous avez mis en place des procédures de lutte anti-terrorise auprès de vos collaborateurs. Mais pourquoi mettre en parallèle la prévention du BLANCHIMENT D'ARGENT avec la LUTTE anti-TERRORISTE ?....."

Je poursuis en citant l'article du International Herald Tribune du 22.07.02 concernant le sanglant attentat de 1994 contre le centre culturel Juif à Buenos Aires, exemple de ce que font les "TERRORISTE d'IRAN que la BNP vient de FINANCER.... Seriez-vous du nombre des élites européennes dont le manque de discernement est grave (même accabit qu'en 38 - entente à Munich avec A. Hitler) puisqu'il donne licence à tous ces dictateurs et autres corrompus de TROUVER REFUGE en EUROPE, gênant les efforts AMERICAINS dans leur lutte contre le terrorisme ?

En conclusion : "Tant que le monde judéo-chrétien sera désuni pour lutter contre ces agressions meurtrières d'un nouveau type, les élites dont vous faites partie, livreront ce monde entre leurs mains. Ne pensez pas qu'en Europe nous ne soyons pas vulnérables ! Dans votre lettre vous affirmez douceureusement que l'IRAN NE FAIT L'OBJET D'AUCUNE RESTRICTION DE LA PART DE L'O.N.U. ! Et bien, ces terroristes, soutenus et financés par des Etats au régime corrompu, n'hésiteront pas à frapper chez nous - Vos enfants prennent-ils le métro ?".....

En Ps : Seule est à combattre la CORRUPTION des DICTATEURS de ce monde, pas la MONDIALISATION.


12/08/02

  • Sujet: PATRONIME

Bonjour, je souhaiterai connaître l'origine de mon nom "TOUAT" Avec tous mes remerciements Max TOUAT

 touatm@aol.com 


 

        

 

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 DAFINA 

Repas traditionel du chabbat, ce mets a base de ble, pois chiches et viande etait cuit toute la nuit dans un four ferme a basse temperature. Le mot vient de l'Arabe dafina/adafina qui veut dire "couvert, etouffe".

 

 


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