Dafina.net Le Net des Juifs du Maroc

  

 

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28/07/03

  • Sujet: DEGAGER LES RACISTES DU FORUM

Ca suffit !!! Comment sur ce forum peut on voir tant de messages de haine à l'encontre des arabes et des musulmans. Surtout quand on voit que ces messages viennent souvent de juifs !!! je suis juif et ne pourrais jamais comprendre ni accepter le racisme envers quiconque. Pour rappel, nous sommes sur le forum de Dafina dont l'objet est "le net des juifs du Maroc" pour parler de la vie passée et de la vie actuelle au Maroc. L'objet de ce forum n'est pas une tribune contre les palestiniens, pour Israel, contre les arabes francais ou quoique ce soit d'autres de ce genre ! Comment pouvez vous être raciste franchement ? Comment pouvez vous accepter en étant juif de proférer tant de propos raciste. Quand ces derniers temps je viens lire le forum, la majorité des messages (et bien sur les plus longs et les moins interessants) ce sont ceux là. Laissez un peu la parole aux gens qui veulent parler de l'algérie, de la vie là bas, des traditions, des recettes de cuisines, de l'amitié, de la nostalgie et ARRETER DE VENIR NOUS EMMERDER TOUS AVEC VOS PROPOS RACISTES. Et je le répète, OUI, je suis juif, OUI j'aime ma religion, mais aussi OUI je hais les racistes ( qu'il soit juifs, musulmans ou autres) A bon entendeur.... PS : Je viens de laisser le meme message sur Zlabia puisque visiblement les Racistes polluent aussi ce forum...

Un combattant de la paix


28/07/03

  • Sujet: izlan oudayen imazighen: les proverbes judeo-

Imik s imik a s ikcem uràem agdur : C'est morceau par morceau que le dromadaire est mis dans la jarre. imik simik asaykchem aram aghdoure : we all know that the camel is soo big in its figure and aghdoure is a small pot where we cook our food..even the camel is soo big it will fit into aghdour alittle by little" we learn to be patient and that everything is possible". Iqqan-d ungâz yan iran ad yaru : Il n'y a pas moyen d'échapper aux souffrances de l'accouchement pour celle qui veut avoir des enfants. Tafullust nna ur isguttîn f teglay, ur rad tnurzûm ikeyyawen : La poule qui ne couve pas les oeufs, n'aura pas de poussins. Turawt n tizzewa tuf acwariy n izan : Vaut mieux une poignée d'abeilles qu'un grand panier de mouches. Udm ituchrakn ur sard yarud : Un visage partagé, ne sera jamais lavé. Ur illi kra bla kra : Il n'y a rien sans rien. Wen wa yteggen ca wa ytîf ca : Celui qui ne fait rien, n'aura rien. Youf amane lisse tsirte rouéli tsouite : Mieux vaut l'eau avec laquelle tu t'es lavé que celle que t'as bu. Yuf yan ak-imlan yan ak-ifkan : Vaut mieux celui qui te montre que celui qui te donne. Azrou Ntmazirt'nss Asaybna Yan : Qui construit une maison le fait avec les pierres de sa région. Adrim su drim, asa itmuna el mal !: C'est ecu par ecu que se constitue la fortune !!! Aourtoute tamazirte n'k tinek atgua : "N'oublies pas d'où tu viens". Arzeq n bnadm g waddud-ennes. Gha d-iqqim ad iqqim arzeq-ennes : Le succés de l'être humain dépend du temps qu'il passe debout. Sitôt qu'il s'assied, le succés disparaît. Assi aoual n'ouali kissalane aour tassite ouine ouana kisstssan : Prend en compte les paroles de celui qui t'as fé pleurer et non pas celles de celui qui t'as fé rire. Ay-nna tekrezt, temgert-t : Tout ce que tu laboures, tu le moissonnes. Dunit tga assta guin issan ifalan ! : Le monde est un metier à tisser et les jours des fils. Fkass ifkak, i7 aki na ar sba7, ichak ! : Donnes lui il te donne, si il te dis à demain il t'arnaque.

azeroual70@hotmail.com


28/07/03

  • Sujet: Benmoussa

Est que Benmoussa est d'origine juif? Merci pour une reponse

Benmoussa


28/07/03

  • Sujec: les tabous de notre communauté

L'érotisme et la sexualité constituent un sujet plutôt occulté dans le judaïsme actuel. Pruderie, gêne, inconfort contribuent à l'évitement d'une dimension importante de l'existence. Pourtant, récemment, sociologues, historiens et anthropologues se sont interrogés sur cette question. Ils ont investigué en profondeur ce thème, explorant à travers documents historiques, romans et autobiographies, les enjeux de la sexualité et ses contradictions dans le judaïsme et la judéité. Le livre de David Biale, Eros and the Jews, from Biblical Israel to Contemporary America ( Basic Books, 1992), constitue à cet égard une recherche passionnée et passionnante de l'évolution de l'érotisme. Résumons en les lignes de force principales. Cette histoire commence avec la Bible, un texte qu'il est possible de lire de plusieurs façons: soit comme une affirmation de la signification positive de la sexualité, soit comme au contraire l'expression de sa répression. Le thème des intermariages, de l'adultère et de l'inceste constituent des problèmatiques importantes tout comme la procréation et les codes de pureté. La métaphorisation des relations entre Israël et D. n'hésite pas à employer un vocabulaire érotique, comme le démontre clairement le Cantique des Cantiques. Le Talmud, qui comprend des textes littéraires et légaux composés sur plusieurs siècles, exprime aussi différents points de vue. Alors que dans la Bible, les préoccupations tournent autour des composantes corporelles et de leurs implications sur le culte, pour les rabbins, le problème se déplace sur la question du désir et de son contrôle sur le corps. Le désir constitue certes une pulsion nécessaire et bonne, mais il peut aussi une force destructrice et négative. Il s'agit alors de trouver une façon de canaliser cette pulsion afin de la mettre au service de l'étude de la Torah et de la procréation, deux valeurs essentielles. Ces perspectives semblent être influencées par des perspectives philosophiques extérieures au judaïsme, qu'elles soient grecques ou même romaines. Dans le contexte rabbinique, le mariage, à un âge précoce, constitue le cadre le plus valorisé pour canaliser l'expression sexuelle qui, bien contrôlée, permet la présence divine. Le plaisir féminin, clairement reconnu, constitue l'une des originalités du code érotique rabbinique. Cette littérature est aussi encline à discuter des activités sexuelles et à les permettre tant qu'elles ont ont pour objectif la reproduction, mais toujours de façon pudique et avec tempérance. Entre le XI et le XVIIIe siècles, la sexualité fait l'objet de nouveaux développements liés à l'évaluation des environnements dans lesquels les communautés juives sont amenées à vivre, en particulier le monde achkenaze et sépharade. Plusieurs courants s'y retrouvent. Dans le monde achkenaze, un premier axe de préoccupations porte sur le contrôle du mariage. Les conflits entre parents et enfants quant au choix du conjoint et les relations sexuelles hors mariage, de même que les mécanismes de maintien de la ségrégation entre hommes et femmes font l'objet de nombreux débats. La culture érotique populaire n'hésite pas non plus à s'éloigner des codes rabbiniques. Le thème des tentations sexuelles et de l'adultère est aussi prévalent, en particulier dans le cadre des relations avec les femmes chrétiennes. Pour contrer ces tendances, les autorités relgieuses achkenazes mettent l'accent sur l'importance du plaisir sexuel, en particulier celui de l'homme, dans le cadre du mariage. Dans le monde sépharade, la convivialité culturelle affirmée entre Juifs, chrétiens et musulmans, colore de façon particulièrement originale l'expression érotique qui se manifeste dans une poésie non religieuse qui n'hésitera pas à traiter de thèmes comme l'homosexualité et la sensualité. Par contre, les philosophes, influencés par la pensée grecque transmise par les sources arabes favorisent une perspective ascétique poussée qui s'accompagne d'une perception négative du corps et de la sexualité. Le mouvement mystique, tout aussi ambivalent, est néanmoins enclin à bâtir une vision du monde théologique qui emprunte ses référents au lexique érotique. On retrouve dans des textes théosophiques une perspective valorisant le plaisir sexuel pour des raisons eugéniques, mais cette pensée considère surtout la relation sexuelle comme un mécanisme par lequel les émanations divines se conjuguent. Ceci explique l'importance de l'activité sexuelle lors du Chabbat qui représente, au plan cabbalistique, la dixième séphirah permettant la jonction entre le monde surnaturel et les plans inférieurs. L'abstinence est ainsi prônée pour les autres jours de la semaine. Une autre tendance, plus pratique ou extatique, tend au contraire, à considérer la sexualité comme une métaphore essentielle pour exprimer la relation entre le mystique et D. et à rejeter cette activité dans la vie quotidienne. Suite à l'expulsion des Juifs d'Espagne, l'ascétisme et le renoncement sexuel tendent à se généraliser dans les cercles cabbalistiques, tout comme le recours à des sanctions et à des pénitences en cas de transgressions. À l'inverse, l'hérésie liée au mouvement du faux messie Chabbétai Tsvi, à la fin du XVIIe siècle, mettra de l'avant la thèse de "la rédemption par le péché", ce qui s'accompagna de la déségregation entre hommes et femmes et de la valorisation du libertinage sexuel. Le mouvement hassidique à ses origines, quant à lui, réaffirme l'importance de la sexualité mais elle est située dans le contexte de la relation entre l'homme et D.. De ce fait les tendances ascétiques des traditions antérieures mais aussi les valeurs antiérotiques semblables à celles que l'on retrouve dans le christianisme sont privilégiées. À l'orée de la modernité, l'Ére des Lumières entraîne une critique fondamentale des pratiques maritales juives avec la remise en question des mariages arrangés, le rejet des mariages précoces et la reconnaissance du sentiment amoureux. Si la majorité des maskilim maintiennent une perspective conservatrice, d'autres comme Judah Leib Ben-Ze'ev, un poète, reprennent les procédés narratifs du Cantique des Cantiques pour y chanter le plaisir érotique. Des romanciers décrivent aussi les formes de névroses et les insatisfactions sexuelles de leurs personnages. Plusieurs penseurs du sionisme, préoccupés par l'état physique et affectif des Juifs, associent dans un même mouvement le retour à la nature et la réintégration des fonctions corporelles, sexuelles et sensibles, nécessaire à la création d'un nouvel homme juif extrait des contraintes de l'Exil. Néanmoins, on retrouve aussi les thèmes liés à la sublimation du désir sexuel et au puritanisme qui permettent la construction de la nation moderne. Dans la culture juive américaine, les tensions et les contradictions dans la sphère sexuelle s'organisent autour des thèmes de l'omniprésence de la mère juive et de la névrose érotique, symbolisée par le personnage d'Alexandre Portnoy dans le roman de Philip Roth ou ceux de Woody Allen traités de façon satirique et humoristique. Le stéréotype de la femme juive, la Jewish American Princess (JAP), exigeante mais érotiquement asthénique, s'inscrit dans un courant mysogyne. Parallélement à la création artistique, la réflexion éthique provenant des milieux religieux et féministes se situe par rapport à l'éthos sexuel dominant qui tend à faire éclater les normes de la tradition, pour proposer, comme l'écrit Biale (p.215), une doctrine " dans laquelle l'esprit et le corps, D. et les être humains, le judaïsme historique et le désir moderne sont finalement réconciliés.[...] Pour tous ces penseurs, l'objectif est profondément américain: réconcilier le Judaïsme avec les courants contemporains dans la culture américaine en atteignant "l'extase innocente" de la sexualité sans culpabilité. " La richesse de l'analyse de Biale-, à laquelle ces quelques pages ne rendent pas justice -et la multiplicité de ses références, montre combien, malgré les apparences, la sexualité a occupé une place importante dans la pensée juive, suscitant polémiques et discussions, expression d'une réflexion vivante inscrite dans l'histoire et les cultures diverses qui ont influencées les communautés juives.

 azeroual70@hotmail.com


28/07/03

  • Sujet: correspondre avec des femmes de 40 a 50 ans

je suis un marocain et je vis en israel depuis 40 ans deja ne au maroc je cherche des filles du maroc espagnol comme moi . je suis ne a tanger j'ai 55 ans. si tu est au venezuela au mexique au canada ou en espagne ecris moi ,je suis divorce ,si tu es veuve ou divorce si tu as des enfants si tu aimes les enfants si tu es gentille si tu es douce ecris moi j'attend ta lettre et je te promet une reponse. merci pour le site mais je ne suis pas connecter sur internet alors voici mon adresse.J je suis divorce

Jacky box:3085 ezor vav ashdod 77133 israel


28/07/03

Bonjour,

J’ai longtemps vécu à Taroudant et j’ai eu l’occasion de fréquenter des amis du nom de Cohen moïse (dit mouchi) il a été directeur de la Compagnie marocaine de crédit et de banque à Taroudant puis a été nommé dans le nord du Maroc ensuite a fini comme directeur à Marrakech.

J’ai su qu’il est décédé mais que son épouse devait résider à Strasbourg ou dans sa région il a un fils qui se prénomme David et qui doit vivre en Angleterre.

Mon nom est : Santoro jean Michel je serais heureux de savoir ce qu’est devenue cette famille.

Merci pour votre collaboration.

Jean Michel Santorio

jean_michel.santoro@tiscali.fr


28/07/03

Cher Jean-Pierre,

Je pense vous avoir déjà parlé de ce crétin de Mouloud AOUNIT, sans pouvoir le nommer  alors (j’ai une propension à oublier les nom en général mais alors quand il s’agit d’inconscients historique, c’est radical !), dans un email antérieur. Je pense qu’il s’agissait d’une interview qu’il avait accordée (et lamentablement assuré) à un journaliste en face à face avec un fonctionnaire d’un ministère ou de l’ambassade israëlien.  Ici Mr Victor Perez (dont je n’ai pas l’adresse email, mais qui, je l’espère, aura cette missive) me donne l’occasion de revenir sur ce thème qui m’est bien cher : l’ARABISME, père de tous nos maux.

Vous devez savoir que plus AMAZIGH que ces noms et prénoms, on meure !  « Mouloud » est un prénom exclusivement Kabyle et « Aounit » plus Amazigh que ça on ne peut pas. Voici donc un pur sous-produit de la communauté Amazighe telle qu’elle est soumise aujourd’hui (et déjà de puis bien longtemps) à l’arabêtisation des médias et des politiques d’ « éducation » des beurs en France (Voir l’article : https://www.primo-europe.org/documents.php?numdoc=Do-308839457 ).  

De deux choses l’une où bien on s’acharne à s’attaquer au symptôme (et je ne pense pas que c’est tout à fait inutile) en répondant du tac au tac à des intervention très émotionnelles comme les siennes, où bien on se concentre sur la cause même de la création de ce genre de poupée gonflable (et vite dégonflable : il n’y a qu’à lui rappeler que ses frères se trouvent non pas en Palestine contestée mais en Israël, que l’ossature même de l’arabêtisation à laquelle il est soumis le mène droit vers ce genre de conflits et pas sur ceux de Kabylie, etc….) c'est-à-dire sur les mécanismes même de production de cette attitude mentale (très proche de la maladie mentale car totalement irrationnelle).  Le nec plus ultra, serait bien entendu, de ne même pas s’adresser à lui mais à la canaille politicienne de France (et d’ailleurs) pour les informer qu’ils font fausse route en les arabêtisant. Là, on peut arriver à mobiliser, rien qu’en France, 2 millions (au moins) d’Imazighen contre ce bêtisier géant !  Pour çà il faut jeter un petit coup d’œil sur :         https://www.primo-europe.org/documents.php?numdoc=Do-214448139  et penser à des alternatives idéologiques (les cultures minorisées du « Monde Arabe ») comme nous ne cessons de le répéter.

Voilà, bonne lecture et bonnes vacances.

Stan


 

        

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Repas traditionel du chabbat, ce mets a base de ble, pois chiches et viande etait cuit toute la nuit dans un four ferme a basse temperature. Le mot vient de l'Arabe dafina/adafina qui veut dire "couvert, etouffe".

 

 


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