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INFOS D'ISRAEL 6
Envoyé par marylou
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 22 février 2010, 23:27 |
Membre depuis : 18 ans Messages: 604 |
Toue ces mises en scène subventionnées officiellement par l'union européenne ne sont organisées que pour entretenir
la polémique sur le droit inaliénable d'Israel de se protéger en limitant les possibilités d'infiltration de terroristes.Les manifestants dont le "pacifisme" se traduit en jets de blocs de pierre sont manipulés pour tenter de provoquer une réaction entrainant la mort d'un enfant .Et alors les clameurs se transformeraient en films et en discours comme ce qui a suivi le suicide de cette malheureuse illuminée de Corrie,suicide qui a fait la fortune mediatique de ses parents.
la polémique sur le droit inaliénable d'Israel de se protéger en limitant les possibilités d'infiltration de terroristes.Les manifestants dont le "pacifisme" se traduit en jets de blocs de pierre sont manipulés pour tenter de provoquer une réaction entrainant la mort d'un enfant .Et alors les clameurs se transformeraient en films et en discours comme ce qui a suivi le suicide de cette malheureuse illuminée de Corrie,suicide qui a fait la fortune mediatique de ses parents.
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 23 février 2010, 06:01 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 401 |
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 23 février 2010, 12:30 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 1 739 |
le petit haitien ramene pour subir une intervention chirurgicale cardiaque etait aux dernieres nouvelles dans un etat crtique... ce soir aux infos que vous ne verrez nulle part.. il va beaucoup mieux.
et encore..
[www.businesswire.com]
de quoi etre vert.. non ? ou bleu?
et encore..
[www.businesswire.com]
de quoi etre vert.. non ? ou bleu?
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 25 février 2010, 16:52 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 1 757 |
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 03 mars 2010, 10:54 |
Membre depuis : 18 ans Messages: 2 054 |
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TENTATIVE DE SPOLIATION DES BIENS CULTURELS JUIFS .... 04 mars 2010, 01:16 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 852 |
Tentative de Spoliation des biens culturels juifs Par Ftouh Souhail
La police israélienne vient de déjouer une grave tentative de pillage de trésors archéologiques. Elle a arrêté en flagrant délit deux palestiniens habitants à Jérusalem-Est. Les voleurs se sont introduits sur un terrain fermé au public et ont procédé à des recherches, munis d’un matériel électronique de pointe.
Les deux suspects, âgés de 45 et de 53 ans, ont été présentés à la justice. Ils ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire. Ils doivent prochainement faire l’objet d’un verdict sévère. Les enquêteurs poursuivent leurs recherches pour mettre la main sur d’autres pillards qui, semble-t-il, font partie d’un groupe palestinien organisé comprenant les deux malfaiteurs appréhendés.
Le pillage s’est considérablement développé depuis quelques années. L’exaspération des archéologues israéliens est montée face aux pilleurs de sites, surtout avec l’essor du marché des détecteurs de métaux. Le pillage du patrimoine archéologique et historique menace les sites juifs , qui se trouvent un peu partout sur l’étendue du territoire de Judée. De très nombreux objets anciens sont pillés et vendus aux enchères dans différents pays . Rappelant que l’Autorité Palestinienne n’est pas signataire de la Convention sur les biens culturels volés ou illicitement exportés.
La législation israélienne est déjà stricte. Elle interdit l’utilisation de détecteurs de métaux en vue de rechercher des objets pouvant intéresser la préhistoire, l’histoire, l’art, l’archéologie sans avoir au préalable obtenu une autorisation administrative délivrée en fonction de la qualification du demandeur. Y compris pour sonder son propre jardin.
En France Les pillards de sites archéologiques risquent jusqu’à sept ans d’emprisonnement et 100.000 euros d’amende. S’ils agissent en bande, la peine peut aller jusqu’à dix ans de prison et 150.000 euros d’amende.
L’Etat Hébreu est invité à lutter avec détermination contre les pillards de sites archéologiques.
Ftouh Souhail
La police israélienne vient de déjouer une grave tentative de pillage de trésors archéologiques. Elle a arrêté en flagrant délit deux palestiniens habitants à Jérusalem-Est. Les voleurs se sont introduits sur un terrain fermé au public et ont procédé à des recherches, munis d’un matériel électronique de pointe.
Les deux suspects, âgés de 45 et de 53 ans, ont été présentés à la justice. Ils ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire. Ils doivent prochainement faire l’objet d’un verdict sévère. Les enquêteurs poursuivent leurs recherches pour mettre la main sur d’autres pillards qui, semble-t-il, font partie d’un groupe palestinien organisé comprenant les deux malfaiteurs appréhendés.
Le pillage s’est considérablement développé depuis quelques années. L’exaspération des archéologues israéliens est montée face aux pilleurs de sites, surtout avec l’essor du marché des détecteurs de métaux. Le pillage du patrimoine archéologique et historique menace les sites juifs , qui se trouvent un peu partout sur l’étendue du territoire de Judée. De très nombreux objets anciens sont pillés et vendus aux enchères dans différents pays . Rappelant que l’Autorité Palestinienne n’est pas signataire de la Convention sur les biens culturels volés ou illicitement exportés.
La législation israélienne est déjà stricte. Elle interdit l’utilisation de détecteurs de métaux en vue de rechercher des objets pouvant intéresser la préhistoire, l’histoire, l’art, l’archéologie sans avoir au préalable obtenu une autorisation administrative délivrée en fonction de la qualification du demandeur. Y compris pour sonder son propre jardin.
En France Les pillards de sites archéologiques risquent jusqu’à sept ans d’emprisonnement et 100.000 euros d’amende. S’ils agissent en bande, la peine peut aller jusqu’à dix ans de prison et 150.000 euros d’amende.
L’Etat Hébreu est invité à lutter avec détermination contre les pillards de sites archéologiques.
Ftouh Souhail
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Ceci nous concerne : la K?n?sseth officialise la compensation arabe aux r?fugi?s juifs . 04 mars 2010, 06:05 |
Membre depuis : 14 ans Messages: 106 |
23
La Knesset officialise la compensation arabe aux réfugiés juifs Par Ftouh Souhail
La Knesset a adopté ce Lundi 22 février 2010 un texte de loi prévoyant qu’un accord de paix ne pourra être signé avec un pays arabe que s’il inclut des compensations aux réfugiés juifs originaires de ce pays.
Est considéré comme réfugié juif, un citoyen israélien ayant quitté un pays arabe ou l’Iran en raison de discriminations religieuses.
Les gouvernements israéliens seront ainsi tenus par la loi d’inclure ce sujet dans toute négociation de paix. Le projet a été déposé par le député Nissim Zeev de Shass.
Cette décision est historique en plein sens du mot. Nous parlons souvent des réfugiés palestiniens, sans jamais parler d’un véritable drame qui s’est produit pour les juifs des pays arabo-musulmans depuis la création d’Israël, celui de l’exil de près de 900 000 israélites issus de communautés parfois plus de deux fois millénaire, mais qui ne vivent en aucun aujourd’hui de l’aumône internationale.
Loin d’être innocents, les pays arabes sont, au contraire, coupables d’un péché congénital, pour avoir chassé, exclu et dépouillé plus de 900.000 Juifs établis dans les contrées arabes depuis plus d’un millénaire et maintenu comme un abcès ouvert 540.000 réfugiés palestiniens dans des camps pour les transformer en bombe à retardement contre Israël. C’est le seul problème de réfugiés de l’Histoire contemporaine qui n’a pas trouvé de solution dans une époque où l’on en a dénombré 60 millions de réfugiés
On comptait en 1948, 900.000 Juifs dans les pays arabes du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord. Une génération plus tard, en 1976, la plupart des communautés juives de ces pays avaient disparu, ne laissant rien derrière elles que quelques milliers de Juifs dispersés dans un certain nombre de villes de ces régions. La disparition d’une des plus anciennes communautés juives du monde a été provoquée, en grande partie, par l’intolérance, les discriminations, les lois vexatoires et les persécutions violentes qu’elle a dû subir.
Depuis 1947, le centre des préoccupations de l’Assemblée Générale des Nations Unies a été les réfugiés palestiniens. Les griefs formulés par plusieurs centaines de milliers de réfugiés juifs originaires des pays arabes contraints à l’exil ont été jusqu’ici totalement ignorés par les instances onusiennes et les organismes chargés de gérer le problème des réfugiés du Moyen-Orient.
Nous n’avons jamais entendu une initiative pour la compensation d’un réfugié juif de pays arabe, à travers le monde, bien que près de 900 000 aient été expulsés ou obligés de partir entre 1948 et 1967.Plus des 2/3 de ces réfugiés juifs arabes ont été absorbés par le minuscule état d’Israël.
Tous les pays arabes confondus, tous les pays musulmans alignés, tous les Etats qui ont glorifié Abdel Nasser et qui ont vu le départ de « leurs juifs » vers des horizons plus cléments comme la France, le Canada, les Iles ou Israël, vont devoir maintenant revoir leurs tablettes et dévoiler les chiffres des juifs « expulsés » et prévoir une compensation. Faute de quoi la question des réfugiés palestiniens n’avancera pas.
La décision du Knesset , qui a adopté ce Lundi 22 février 2010 un texte de loi prévoyant qu’un accord de paix ne pourra être signé avec un pays arabe que s’il inclut des compensations aux réfugiés juifs originaires de ce pays , a rétablie une justice toujours occultée jusqu’ici .Le monde doit comprendre que ce ne sont pas seulement les Arabes, que ce ne sont pas seulement les Palestiniens au Moyen Orient, mais aussi les Juifs eux-mêmes qui ont été dépossédés de leurs biens et de leurs maisons et qui ont été victimes d’actes terroristes.
Aujourd’hui, avec la question des « Réfugiés juifs » jusqu’ici éclipsée et quelque peu enfermée dans une enveloppe opaque, va probablement être soulevée avec justesse, de sorte que forcément le son de cloche va changer de ton.
Les données du problème vont, par une sorte de logique implacable, probablement changer le cheminement de la négociation car il va de soi désormais que cet argumentaire nouveau va peser de tout son poids sur la suite des évènements.
Ftouh Souhail, Tunis
La Knesset officialise la compensation arabe aux réfugiés juifs Par Ftouh Souhail
La Knesset a adopté ce Lundi 22 février 2010 un texte de loi prévoyant qu’un accord de paix ne pourra être signé avec un pays arabe que s’il inclut des compensations aux réfugiés juifs originaires de ce pays.
Est considéré comme réfugié juif, un citoyen israélien ayant quitté un pays arabe ou l’Iran en raison de discriminations religieuses.
Les gouvernements israéliens seront ainsi tenus par la loi d’inclure ce sujet dans toute négociation de paix. Le projet a été déposé par le député Nissim Zeev de Shass.
Cette décision est historique en plein sens du mot. Nous parlons souvent des réfugiés palestiniens, sans jamais parler d’un véritable drame qui s’est produit pour les juifs des pays arabo-musulmans depuis la création d’Israël, celui de l’exil de près de 900 000 israélites issus de communautés parfois plus de deux fois millénaire, mais qui ne vivent en aucun aujourd’hui de l’aumône internationale.
Loin d’être innocents, les pays arabes sont, au contraire, coupables d’un péché congénital, pour avoir chassé, exclu et dépouillé plus de 900.000 Juifs établis dans les contrées arabes depuis plus d’un millénaire et maintenu comme un abcès ouvert 540.000 réfugiés palestiniens dans des camps pour les transformer en bombe à retardement contre Israël. C’est le seul problème de réfugiés de l’Histoire contemporaine qui n’a pas trouvé de solution dans une époque où l’on en a dénombré 60 millions de réfugiés
On comptait en 1948, 900.000 Juifs dans les pays arabes du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord. Une génération plus tard, en 1976, la plupart des communautés juives de ces pays avaient disparu, ne laissant rien derrière elles que quelques milliers de Juifs dispersés dans un certain nombre de villes de ces régions. La disparition d’une des plus anciennes communautés juives du monde a été provoquée, en grande partie, par l’intolérance, les discriminations, les lois vexatoires et les persécutions violentes qu’elle a dû subir.
Depuis 1947, le centre des préoccupations de l’Assemblée Générale des Nations Unies a été les réfugiés palestiniens. Les griefs formulés par plusieurs centaines de milliers de réfugiés juifs originaires des pays arabes contraints à l’exil ont été jusqu’ici totalement ignorés par les instances onusiennes et les organismes chargés de gérer le problème des réfugiés du Moyen-Orient.
Nous n’avons jamais entendu une initiative pour la compensation d’un réfugié juif de pays arabe, à travers le monde, bien que près de 900 000 aient été expulsés ou obligés de partir entre 1948 et 1967.Plus des 2/3 de ces réfugiés juifs arabes ont été absorbés par le minuscule état d’Israël.
Tous les pays arabes confondus, tous les pays musulmans alignés, tous les Etats qui ont glorifié Abdel Nasser et qui ont vu le départ de « leurs juifs » vers des horizons plus cléments comme la France, le Canada, les Iles ou Israël, vont devoir maintenant revoir leurs tablettes et dévoiler les chiffres des juifs « expulsés » et prévoir une compensation. Faute de quoi la question des réfugiés palestiniens n’avancera pas.
La décision du Knesset , qui a adopté ce Lundi 22 février 2010 un texte de loi prévoyant qu’un accord de paix ne pourra être signé avec un pays arabe que s’il inclut des compensations aux réfugiés juifs originaires de ce pays , a rétablie une justice toujours occultée jusqu’ici .Le monde doit comprendre que ce ne sont pas seulement les Arabes, que ce ne sont pas seulement les Palestiniens au Moyen Orient, mais aussi les Juifs eux-mêmes qui ont été dépossédés de leurs biens et de leurs maisons et qui ont été victimes d’actes terroristes.
Aujourd’hui, avec la question des « Réfugiés juifs » jusqu’ici éclipsée et quelque peu enfermée dans une enveloppe opaque, va probablement être soulevée avec justesse, de sorte que forcément le son de cloche va changer de ton.
Les données du problème vont, par une sorte de logique implacable, probablement changer le cheminement de la négociation car il va de soi désormais que cet argumentaire nouveau va peser de tout son poids sur la suite des évènements.
Ftouh Souhail, Tunis
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 04 mars 2010, 08:57 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 1 757 |
Tsahal annule une opération après une fuite sur Facebook
Tsahal, l'armée israélienne, a annulé une opération en Cisjordanie après une "fuite" sur Internet via le réseau social Facebook, rapporte, mercredi 3 mars, la radio de l'armée israélienne.
Un soldat d'artillerie, qui devait participer à cette opération – l'arrestation de suspects palestiniens –, avait annoncé sur Facebook l'imminence de celle-ci. "Mercredi, nous faisons le ménage à Katana, et jeudi, si Dieu le veut, nous retournerons à la maison", avait écrit le soldat sur sa page Facebook, faisant référence à un village situé près de Ramallah.
SANCTION DISCIPLINAIRE
Selon le quotidien Haaretz, le soldat avait aussi donné le nom de l'unité de combat, la date et le lieu précis de l'opération. Dénoncé par ses contacts sur le réseau social, l'homme a depuis été retiré de son unité de combat, ajoute la radio.
"Si les fuites d'informations classifiées se produisent régulièrement sur Internet, ce cas fait figure d'exception, note le site de la radio de l'armée. L'armée israélienne utilise des systèmes de surveillance internes et externes, explique aussi un porte-parole de l'armée, afin d'éviter d'avoir sur les réseaux sociaux des images de soldats en opération, des fonds de cartes classées ou des tableaux avec des mots codés."
[www.lemonde.fr]
Tsahal, l'armée israélienne, a annulé une opération en Cisjordanie après une "fuite" sur Internet via le réseau social Facebook, rapporte, mercredi 3 mars, la radio de l'armée israélienne.
Un soldat d'artillerie, qui devait participer à cette opération – l'arrestation de suspects palestiniens –, avait annoncé sur Facebook l'imminence de celle-ci. "Mercredi, nous faisons le ménage à Katana, et jeudi, si Dieu le veut, nous retournerons à la maison", avait écrit le soldat sur sa page Facebook, faisant référence à un village situé près de Ramallah.
SANCTION DISCIPLINAIRE
Selon le quotidien Haaretz, le soldat avait aussi donné le nom de l'unité de combat, la date et le lieu précis de l'opération. Dénoncé par ses contacts sur le réseau social, l'homme a depuis été retiré de son unité de combat, ajoute la radio.
"Si les fuites d'informations classifiées se produisent régulièrement sur Internet, ce cas fait figure d'exception, note le site de la radio de l'armée. L'armée israélienne utilise des systèmes de surveillance internes et externes, explique aussi un porte-parole de l'armée, afin d'éviter d'avoir sur les réseaux sociaux des images de soldats en opération, des fonds de cartes classées ou des tableaux avec des mots codés."
[www.lemonde.fr]
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 10 mars 2010, 18:36 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 1 757 |
Décès de David Kimche , ex-numéro deux du Mossad
par Simon Saadoun
David Kimche, ex-numéro deux du Mossad, diplomate et connu pour son expertise du renseignement, est décédé mardi à l'âge de 82 ans...
Né en Grande-Bretagne, Kimche avait immigré en Israël en 1948 et combattu dans les rangs de l'armée lors de la première guerre israélo-arabe.
Correspondant en France du "Jerusalem Post", il était entré au Mossad en 1953, où il s'était notamment occupé des contacts et de l'émigration au Maroc. Numéro deux du Mossad entre 1976 et 1980, il l'avait quitté en raison de désaccords sur les questions libanaises.
Il avait ensuite été directeur général du ministère des Affaires étrangères de 1980 à 1986.
Après sa retraite, Kimche a oeuvré pour un règlement de paix avec les Palestiniens, signant "l'initiative de Genève" (2003) en faveur d'un retrait israélien des territoires occupés et la création d'un État palestinien aux côtés d'Israël.
Il est l'auteur de nombreux articles et livres sur le conflit israélo-arabe, prônant ces dernières années un compromis avec les Palestiniens.
[www.israel-infos.net]
par Simon Saadoun
David Kimche, ex-numéro deux du Mossad, diplomate et connu pour son expertise du renseignement, est décédé mardi à l'âge de 82 ans...
Né en Grande-Bretagne, Kimche avait immigré en Israël en 1948 et combattu dans les rangs de l'armée lors de la première guerre israélo-arabe.
Correspondant en France du "Jerusalem Post", il était entré au Mossad en 1953, où il s'était notamment occupé des contacts et de l'émigration au Maroc. Numéro deux du Mossad entre 1976 et 1980, il l'avait quitté en raison de désaccords sur les questions libanaises.
Il avait ensuite été directeur général du ministère des Affaires étrangères de 1980 à 1986.
Après sa retraite, Kimche a oeuvré pour un règlement de paix avec les Palestiniens, signant "l'initiative de Genève" (2003) en faveur d'un retrait israélien des territoires occupés et la création d'un État palestinien aux côtés d'Israël.
Il est l'auteur de nombreux articles et livres sur le conflit israélo-arabe, prônant ces dernières années un compromis avec les Palestiniens.
[www.israel-infos.net]
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 10 mars 2010, 22:45 |
Membre depuis : 18 ans Messages: 2 054 |
Ca confirme...
eh oui !
Le congrès mondial des téléphones Mobiles et Apps 2010 organisé par la
GSM Association – (les téléphones portables et leur applications sont
considérés comme l’industrie la plus prometteuse de la décennie qui
commence), va commencer sa cérémonie annuelle dans quelques jours à
Barcelone.
A cette occasion, plusieurs compétitions sont organisées pour
récompenser les entreprises innovantes dans le secteur.
L’une de ces compétitions, le “Grand Prix de l’innovation”, concerne
les start up et les entreprises de petite et taille moyenne qui
conçoivent des produits ou services mobiles particulièrement créatifs,
et qui cherchent le soutien d’industriels (opérateurs, fabricants,
capitaux risqueurs) pour leur développement.
Cette compétition diffère des Global Mobile Awards en cela qu’elle
s’étale sur toute l’année, avec des phases intermédiaires ou les
membres du jury sont invités aux présentations et conférences des
participants.
Afin de donner une chance égale à tous, la GSM association a découpé le
monde en quatre régions, deux entreprises étant choisies dans chaque
région.
Les régions en question sont :
la région Asie Pacifique
la région EMEA (Europe, Moyen Orient, Afrique)
Les Amériques
Israël
Vous avez bien lu.
Israël représente une région à lui tout seul, il a le même poids que
toute l’Europe + le Moyen Orient + l’Afrique, ou encore que l’Amérique
du Nord et l’Amérique du Sud réunis.
Ceci pour donner à chacun l’égalité des chances, ce qui veut dire
qu’Israël a lui tout seul regorge d’autant d’entreprises et de start-up
que les autres régions du monde.
Quand je vous disais qu’Israël est loin de se résumer au conflit avec
son voisin, je voulais insister sur le fait que, pour qu’un pays
minuscule de 7.4 millions d’habitants arrive à se hisser au premier
rang de la compétition mondiale, c’est qu’il y règne forcément une
dynamique dont les médias ne se font jamais l’écho. Le fond de commerce
des médias, c’est de ne parler que d’Israël en conflit.
:
eh oui !
Le congrès mondial des téléphones Mobiles et Apps 2010 organisé par la
GSM Association – (les téléphones portables et leur applications sont
considérés comme l’industrie la plus prometteuse de la décennie qui
commence), va commencer sa cérémonie annuelle dans quelques jours à
Barcelone.
A cette occasion, plusieurs compétitions sont organisées pour
récompenser les entreprises innovantes dans le secteur.
L’une de ces compétitions, le “Grand Prix de l’innovation”, concerne
les start up et les entreprises de petite et taille moyenne qui
conçoivent des produits ou services mobiles particulièrement créatifs,
et qui cherchent le soutien d’industriels (opérateurs, fabricants,
capitaux risqueurs) pour leur développement.
Cette compétition diffère des Global Mobile Awards en cela qu’elle
s’étale sur toute l’année, avec des phases intermédiaires ou les
membres du jury sont invités aux présentations et conférences des
participants.
Afin de donner une chance égale à tous, la GSM association a découpé le
monde en quatre régions, deux entreprises étant choisies dans chaque
région.
Les régions en question sont :
la région Asie Pacifique
la région EMEA (Europe, Moyen Orient, Afrique)
Les Amériques
Israël
Vous avez bien lu.
Israël représente une région à lui tout seul, il a le même poids que
toute l’Europe + le Moyen Orient + l’Afrique, ou encore que l’Amérique
du Nord et l’Amérique du Sud réunis.
Ceci pour donner à chacun l’égalité des chances, ce qui veut dire
qu’Israël a lui tout seul regorge d’autant d’entreprises et de start-up
que les autres régions du monde.
Quand je vous disais qu’Israël est loin de se résumer au conflit avec
son voisin, je voulais insister sur le fait que, pour qu’un pays
minuscule de 7.4 millions d’habitants arrive à se hisser au premier
rang de la compétition mondiale, c’est qu’il y règne forcément une
dynamique dont les médias ne se font jamais l’écho. Le fond de commerce
des médias, c’est de ne parler que d’Israël en conflit.
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 12 mars 2010, 01:19 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 1 757 |
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 12 mars 2010, 03:34 |
Membre depuis : 18 ans Messages: 2 054 |
J'ai fais un tour sur wikipedia, PaloAlto technologies -
Wolfy, je peux t'assurer que si "on" nous laissait tranquille, le regard du juif sur ses "genies" serait bien plus discret. anyway, c'est pour une cause universelle et bienfaitrice, n'est-ce pas ?.
le nom des chercheurs : bien sur ça ne veut rien dire........... et bien sur ils sont certainement Americains.
Other influential PARC figures
Stuart Card
Lynn Conway
L Peter Deutsch
Charles Geschke
Adele Goldberg
Bruce Horn
Dan Ingalls
Robert Metcalfe
Thomas P. Moran
Randy Pausch
George G. Robertson
Charles Simonyi
John Warnock
[edit] PARC legacy
The neutrality of this article is disputed. Please see the discussion on the talk page. Please do not remove this message until the dispute is resolved. (November 2009)
PARC's developments in information technology have had great long-term impact. Once the merits of interfaces and technology pioneered by PARC became widely known they evolved into standards for much of the computing industry. Many advances were not equalled or surpassed for two decades, enormous timespans in the fast-paced high tech world.
While there is some truth that Xerox management failed to see the potential of many of PARC's inventions, it is an over-simplification to generalize. The larger reality is that computing research was a relatively small part of PARC's operation. Its materials scientists pioneered LCD and optical disc technologies, others invented laser printing, each of which proved great successes when introduced to the business and consumer marketplaces.
While not of the same order, the oft-overlooked work at PARC since the early 1980s includes some noteworthy advances in ubiquitous computing, aspect-oriented programming, and IPv6.
Wolfy, je peux t'assurer que si "on" nous laissait tranquille, le regard du juif sur ses "genies" serait bien plus discret. anyway, c'est pour une cause universelle et bienfaitrice, n'est-ce pas ?.
le nom des chercheurs : bien sur ça ne veut rien dire........... et bien sur ils sont certainement Americains.
Other influential PARC figures
Stuart Card
Lynn Conway
L Peter Deutsch
Charles Geschke
Adele Goldberg
Bruce Horn
Dan Ingalls
Robert Metcalfe
Thomas P. Moran
Randy Pausch
George G. Robertson
Charles Simonyi
John Warnock
[edit] PARC legacy
The neutrality of this article is disputed. Please see the discussion on the talk page. Please do not remove this message until the dispute is resolved. (November 2009)
PARC's developments in information technology have had great long-term impact. Once the merits of interfaces and technology pioneered by PARC became widely known they evolved into standards for much of the computing industry. Many advances were not equalled or surpassed for two decades, enormous timespans in the fast-paced high tech world.
While there is some truth that Xerox management failed to see the potential of many of PARC's inventions, it is an over-simplification to generalize. The larger reality is that computing research was a relatively small part of PARC's operation. Its materials scientists pioneered LCD and optical disc technologies, others invented laser printing, each of which proved great successes when introduced to the business and consumer marketplaces.
While not of the same order, the oft-overlooked work at PARC since the early 1980s includes some noteworthy advances in ubiquitous computing, aspect-oriented programming, and IPv6.
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 12 mars 2010, 23:13 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 1 298 |
Bonjour Lison
Pourquoi Palo Alto en particulier ? Je suppose que tu veux dire Silicon Valley ? Je ne pense pas que les grands de l'informatique soient à Palo Alto. En tous cas, Microsoft, Apple, Intel, Cisco, Adobe ne sont pas à Palo Alto.
!??? ???? ??? ????
Surfeuse
Pourquoi Palo Alto en particulier ? Je suppose que tu veux dire Silicon Valley ? Je ne pense pas que les grands de l'informatique soient à Palo Alto. En tous cas, Microsoft, Apple, Intel, Cisco, Adobe ne sont pas à Palo Alto.
!??? ???? ??? ????
Surfeuse
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 12 mars 2010, 23:27 |
Membre depuis : 18 ans Messages: 2 054 |
ma chère Surfeuse,
je n'ai pas pondu Palo-alto toute seule, c'est wolfy qui en a parlé le premier, Comme toi, je ne connais que la Silicon Valley.
"le 12 mars à 11H19 - wolfy
"Palo Alto tout seul fait 10x Israël en terme de technologie !! Faut arrêter de rêver aussi !! Si c'est pas de la mégalomanie ça !!
je n'ai pas pondu Palo-alto toute seule, c'est wolfy qui en a parlé le premier, Comme toi, je ne connais que la Silicon Valley.
"le 12 mars à 11H19 - wolfy
"Palo Alto tout seul fait 10x Israël en terme de technologie !! Faut arrêter de rêver aussi !! Si c'est pas de la mégalomanie ça !!
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 15 mars 2010, 13:08 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 1 739 |
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 15 mars 2010, 17:45 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 1 757 |
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 17 mars 2010, 15:40 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 1 757 |
Bon, comme il faut bien que quelqu'un prenne le relai, me voici :
Quand Eli Yishaï, le ministre de l¹Intérieur, a annoncé la semaine dernière alors que Joe Biden, le vice-Président américain, se trouvait en Israël pour apporter le soutien de « la Maison Blanche » à la reprise de négociations indirectes avec les Palestiniens, la décision de construire 1 600 appartements dans un quartier religieux à l¹Est de Jérusalem, la seule excuse que Netanyahou ait pu donner était que cette annonce n¹était pas prévue. De deux choses l¹une, soit cela est vrai et cela prouve que Netanyahou ne maîtrise pas ses ministres et n¹est pas capable de gérer son gouvernement, soit cela est faux et cela montre qu¹il choisit de soutenir les positions de son extrême droite, même au prix de compromettre les relations d¹Israël avec son principal allié. Nahum Barnea, un des principaux éditorialistes du principal quotidien israélien, Yediot Aharonot, semble penser que c¹est plutôt le premier cas. Et si c¹est vrai, cela met en doute la capacité de Netanyahou d¹occuper le poste qui est le sien dans un pays où, sans doute plus qu¹ailleurs, il est nécessaire d¹avoir à sa tête un dirigeant capable de prendre des décisions et de les faire appliquer.
Yediot Aharonot, 14 mars 2010
[www.ynetnews.com]
L¹odeur de la peur
Nahum Barnea
Trad. : Gérard pour La Paix Maintenant
Dimanche, le gouvernement s¹apprêtait à approuver une décision que la plupart des ministres s¹accordent à considérer comme honteuse, inutile et comme une perte de temps. Et une majorité écrasante de l¹opinion pense de même. Néanmoins, cette décision allait être prise.
En apparence, une histoire sans importance. L¹hôpital Barzilaï d¹Ashkelon a besoin d¹une salle pour les urgences. Or, des tombes anciennes, probablement de non-juifs, avaient été découvertes sur le site prévu pour la construction de cette salle. Les deux rabbins en chef étaient d¹accord pour transférer ces tombes, mais c¹était sans compter avec les rabbins ultra-orthodoxes, opposés à l¹avis des rabbins en chef. Et Yaakov Litzman, vice-ministre de la santé, suit l¹avis de ces rabbins-là.
Résultat : le gouvernement va dépenser quelque 25 millions de $ sur le budget de la santé pour construire la salle des urgences à quelques centaines de mètres de l¹hôpital. De plus, il n¹y aucune certitude que d¹anciennes tombes ne soient pas découvertes sur le nouveau site, ce qui déclencherait une re-délocalisation, pour une troisième fois.
Le lecteur peut hausser les épaules et se dire qu¹il ne s¹agit que d¹encore une histoire, parmi de nombreuses autres, sur les ultra-orthodoxes extrémistes. Car il y a une limite à la révolte ou au choc. Pourtant, elle ne traite pas seulement des ultra-orthodoxes, mais plutôt de la manière dont Netannyahou conduit son gouvernement. La partie émergée de l¹iceberg. Une allégorie.
Après une année en fonction, essentiellement consacrée à sa survie politique, il y a lieu de se poser des questions sur la personnalité de Netannyahou. Est-il le Premier Ministre ou un invité ? En possède-t-il les capacités nécessaires de décision, quelle est sa vision du monde, quelles sont ses priorités ? Que veut cet homme, se demande-t-on en ce moment dans toutes les capitales mondiales ? Veut-il même quelque chose, à part retourner tous les soirs à sa résidence de Premier Ministre, entourée par une armée de gardes du corps ?
Ce problème de tombes de l¹hôpital d¹Ashkelon aurait pu être résolu à l¹israélienne. Il y a quinze mois, Ashkelon connaissait la guerre. L¹armée israélienne avait frappé Gaza et Ashkelon, y compris l¹hôpital, subissait tous les jours des tirs de roquettes. Quelqu¹un (le directeur de l¹hôpital ou l¹un de ses collaborateurs) aurait dû demander alors que des bulldozers évacuent les tombes, puis expliquer cette regrettable erreur en invoquant le besoin de l¹hôpital de se fortifier.
La peur est mauvaise conseillère
C¹est ainsi que depuis 61 ans, les problèmes de tombes sont résolus. Tour le monde aurait remercié le directeur du fond du c¦ur, même les politiciens ultra-orthodoxes. Mais malheureusement l¹occasion a été manquée.
Maintenant, Netannyahou est face à ce dilemme. Le problème est qu¹il a peur de secouer le bateau. Il a peur quand c¹est Avigdor Lieberman qui cause des dommages colossaux à la position d¹Israël dans le monde. Il a peur quand Eli Yishaï (dirigeant du Shass, ndt) met à mal nos relations avec l¹administration américaine, ou quand les ultra-orthodoxes préfèrent la paix des morts à la santé des vivants.
"Ils ont peur !" Netanyahou a dit cela un jour, une veille d¹élection perdue. Mais à la vérité, c¹est lui qui a peur.
La peur est mauvaise conseillère. L¹affaire de Jérusalem en offre un exemple aussi frappant que celle de l¹hôpital. Depuis des mois, l¹avocat de Netanyahou, Itzhak Molcho, était engagé dans de discrètes négociations sur Jérusalem avec le sénateur George Mitchell, émissaire d¹Obama. Mais Netanyahou avait peur de fâcher la droite. Molcho affirma donc à Mitchell que le Premier Ministre était dans l¹incapacité de déclarer un gel de la construction à Jérusalem-Est.
Eh même temps, Netanyahou avait peur de fâcher les Américains. Molcho promit donc à Mitchell qu¹il n¹y aurait pas d¹annonce de constructions nouvelles à Jérusalem-Est. La semaine dernière, le résultat explosa à la figure du vice-président, Jo Biden.
Résultat : en ne voulant se fâcher avec personne, Netanyahou a fâché tout le monde : les Américains, la gauche, la droite et, pour finir, les ultra-orthodoxes. Tout le monde peut sentir sa peur. Or, il n¹y a rien de plus dangereux pour un Premier Ministre, que cette odeur : l¹odeur de la peur.
Quand Eli Yishaï, le ministre de l¹Intérieur, a annoncé la semaine dernière alors que Joe Biden, le vice-Président américain, se trouvait en Israël pour apporter le soutien de « la Maison Blanche » à la reprise de négociations indirectes avec les Palestiniens, la décision de construire 1 600 appartements dans un quartier religieux à l¹Est de Jérusalem, la seule excuse que Netanyahou ait pu donner était que cette annonce n¹était pas prévue. De deux choses l¹une, soit cela est vrai et cela prouve que Netanyahou ne maîtrise pas ses ministres et n¹est pas capable de gérer son gouvernement, soit cela est faux et cela montre qu¹il choisit de soutenir les positions de son extrême droite, même au prix de compromettre les relations d¹Israël avec son principal allié. Nahum Barnea, un des principaux éditorialistes du principal quotidien israélien, Yediot Aharonot, semble penser que c¹est plutôt le premier cas. Et si c¹est vrai, cela met en doute la capacité de Netanyahou d¹occuper le poste qui est le sien dans un pays où, sans doute plus qu¹ailleurs, il est nécessaire d¹avoir à sa tête un dirigeant capable de prendre des décisions et de les faire appliquer.
Yediot Aharonot, 14 mars 2010
[www.ynetnews.com]
L¹odeur de la peur
Nahum Barnea
Trad. : Gérard pour La Paix Maintenant
Dimanche, le gouvernement s¹apprêtait à approuver une décision que la plupart des ministres s¹accordent à considérer comme honteuse, inutile et comme une perte de temps. Et une majorité écrasante de l¹opinion pense de même. Néanmoins, cette décision allait être prise.
En apparence, une histoire sans importance. L¹hôpital Barzilaï d¹Ashkelon a besoin d¹une salle pour les urgences. Or, des tombes anciennes, probablement de non-juifs, avaient été découvertes sur le site prévu pour la construction de cette salle. Les deux rabbins en chef étaient d¹accord pour transférer ces tombes, mais c¹était sans compter avec les rabbins ultra-orthodoxes, opposés à l¹avis des rabbins en chef. Et Yaakov Litzman, vice-ministre de la santé, suit l¹avis de ces rabbins-là.
Résultat : le gouvernement va dépenser quelque 25 millions de $ sur le budget de la santé pour construire la salle des urgences à quelques centaines de mètres de l¹hôpital. De plus, il n¹y aucune certitude que d¹anciennes tombes ne soient pas découvertes sur le nouveau site, ce qui déclencherait une re-délocalisation, pour une troisième fois.
Le lecteur peut hausser les épaules et se dire qu¹il ne s¹agit que d¹encore une histoire, parmi de nombreuses autres, sur les ultra-orthodoxes extrémistes. Car il y a une limite à la révolte ou au choc. Pourtant, elle ne traite pas seulement des ultra-orthodoxes, mais plutôt de la manière dont Netannyahou conduit son gouvernement. La partie émergée de l¹iceberg. Une allégorie.
Après une année en fonction, essentiellement consacrée à sa survie politique, il y a lieu de se poser des questions sur la personnalité de Netannyahou. Est-il le Premier Ministre ou un invité ? En possède-t-il les capacités nécessaires de décision, quelle est sa vision du monde, quelles sont ses priorités ? Que veut cet homme, se demande-t-on en ce moment dans toutes les capitales mondiales ? Veut-il même quelque chose, à part retourner tous les soirs à sa résidence de Premier Ministre, entourée par une armée de gardes du corps ?
Ce problème de tombes de l¹hôpital d¹Ashkelon aurait pu être résolu à l¹israélienne. Il y a quinze mois, Ashkelon connaissait la guerre. L¹armée israélienne avait frappé Gaza et Ashkelon, y compris l¹hôpital, subissait tous les jours des tirs de roquettes. Quelqu¹un (le directeur de l¹hôpital ou l¹un de ses collaborateurs) aurait dû demander alors que des bulldozers évacuent les tombes, puis expliquer cette regrettable erreur en invoquant le besoin de l¹hôpital de se fortifier.
La peur est mauvaise conseillère
C¹est ainsi que depuis 61 ans, les problèmes de tombes sont résolus. Tour le monde aurait remercié le directeur du fond du c¦ur, même les politiciens ultra-orthodoxes. Mais malheureusement l¹occasion a été manquée.
Maintenant, Netannyahou est face à ce dilemme. Le problème est qu¹il a peur de secouer le bateau. Il a peur quand c¹est Avigdor Lieberman qui cause des dommages colossaux à la position d¹Israël dans le monde. Il a peur quand Eli Yishaï (dirigeant du Shass, ndt) met à mal nos relations avec l¹administration américaine, ou quand les ultra-orthodoxes préfèrent la paix des morts à la santé des vivants.
"Ils ont peur !" Netanyahou a dit cela un jour, une veille d¹élection perdue. Mais à la vérité, c¹est lui qui a peur.
La peur est mauvaise conseillère. L¹affaire de Jérusalem en offre un exemple aussi frappant que celle de l¹hôpital. Depuis des mois, l¹avocat de Netanyahou, Itzhak Molcho, était engagé dans de discrètes négociations sur Jérusalem avec le sénateur George Mitchell, émissaire d¹Obama. Mais Netanyahou avait peur de fâcher la droite. Molcho affirma donc à Mitchell que le Premier Ministre était dans l¹incapacité de déclarer un gel de la construction à Jérusalem-Est.
Eh même temps, Netanyahou avait peur de fâcher les Américains. Molcho promit donc à Mitchell qu¹il n¹y aurait pas d¹annonce de constructions nouvelles à Jérusalem-Est. La semaine dernière, le résultat explosa à la figure du vice-président, Jo Biden.
Résultat : en ne voulant se fâcher avec personne, Netanyahou a fâché tout le monde : les Américains, la gauche, la droite et, pour finir, les ultra-orthodoxes. Tout le monde peut sentir sa peur. Or, il n¹y a rien de plus dangereux pour un Premier Ministre, que cette odeur : l¹odeur de la peur.
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 20 mars 2010, 00:36 |
Membre depuis : 15 ans Messages: 1 757 |
C'est pas moi qui le dis, c'est le rabbin :
[www.haaretz.com]
Top U.S. Reform rabbi to Israel: Freeze East Jerusalem building
The leading Reform rabbi in the United States on Thursday urged Israel to cease construction in East Jerusalem, saying the diplomatic row between Israel and the United States has made this a difficult time for American Jewry.
Rabbi Eric Yoffie, president of the Union for Reform Judaism, issued the call for a construction freeze during remarks to rabbis and members of URJ's board of trustees.
"This has been a difficult and complicated time for us as American Jews," said Yoffie. "We have a number of mandates at the moment: We proclaim our love for Israel in unmistakable terms, and we work to prevent the current situation from spiraling out of control and causing a deep rift between Israel and the United States.
Advertisement
"Current tensions are not about a two-state solution, which is accepted by Israel," said Yoffie. "Nor are they simply about diplomatic courtesy. There is also a substantive question of great importance that needs to be addressed: Should Israel continue to build now in East Jerusalem? I believe that it should not."
Yoffie went on to say that compromise is needed to reach a peace agreement with the Palestinians, and that Israel will likely hold on to some settlement blocs in a final-status agreement.
He also said that the Union for Reform Judaism, like most American Jewish organizations, supports a united Jerusalem under Israeli sovereignty.
"This means that we believe housing units constructed in Jerusalem by Israel are not settlements and they are not illegal," Yoffie said. "But a great many things that are legal are not prudent or wise - and building in Arab sections of Jerusalem in the current political climate is one of those things."
Yoffie asserted that Israel should not renounce the claim to all of Jerusalem as Israel's eternal capital, or Israel's right to build anywhere within Jerusalem's borders.
But he said a temporary moratorium on construction in East Jerusalem would strengthen Israel's relations with the U.S. and be greeted with enthusiasm by other allies angered by Israel's plan, such as Canada.
A freeze "would demonstrate a firm commitment on Israel's part to the American-sponsored peace negotiations; and it would, potentially, breathe life into those negotiations and turn the attention back to where it is most needed ? moving forward to a lasting, meaningful peace," said Yoffie. "Nothing should divert us from this goal."
Israel said it would be willing to carry out trust-building moves in the West Bank in order to facilitate peace talks with the Palestinian Authority, Prime Minister Benjamin Netanyahu reportedly told U.S. Secretary of State Hillary Clinton on Thursday.
In a phone call between Netanyahu and Clinton, the premier reportedly conveyed a detailed list of gestures Jerusalem was willing to perform in order to restart negotiations with the Palestinians.
The Prime Minister's Office stated following the conversation between Netanyahu and Clinton that there was "a real effort by Israel to aid the U.S. administration in renewing negotiations though trust-building measures with the Palestinian Authority."
However, the Washington Post reported that Netanyahu is expected to tell the Obama administration that he cannot revoke the Ramat Shlomo expansion plan both for legal reasons and as a result of wide public support in continued building in Jerusalem.
[www.haaretz.com]
Top U.S. Reform rabbi to Israel: Freeze East Jerusalem building
The leading Reform rabbi in the United States on Thursday urged Israel to cease construction in East Jerusalem, saying the diplomatic row between Israel and the United States has made this a difficult time for American Jewry.
Rabbi Eric Yoffie, president of the Union for Reform Judaism, issued the call for a construction freeze during remarks to rabbis and members of URJ's board of trustees.
"This has been a difficult and complicated time for us as American Jews," said Yoffie. "We have a number of mandates at the moment: We proclaim our love for Israel in unmistakable terms, and we work to prevent the current situation from spiraling out of control and causing a deep rift between Israel and the United States.
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"Current tensions are not about a two-state solution, which is accepted by Israel," said Yoffie. "Nor are they simply about diplomatic courtesy. There is also a substantive question of great importance that needs to be addressed: Should Israel continue to build now in East Jerusalem? I believe that it should not."
Yoffie went on to say that compromise is needed to reach a peace agreement with the Palestinians, and that Israel will likely hold on to some settlement blocs in a final-status agreement.
He also said that the Union for Reform Judaism, like most American Jewish organizations, supports a united Jerusalem under Israeli sovereignty.
"This means that we believe housing units constructed in Jerusalem by Israel are not settlements and they are not illegal," Yoffie said. "But a great many things that are legal are not prudent or wise - and building in Arab sections of Jerusalem in the current political climate is one of those things."
Yoffie asserted that Israel should not renounce the claim to all of Jerusalem as Israel's eternal capital, or Israel's right to build anywhere within Jerusalem's borders.
But he said a temporary moratorium on construction in East Jerusalem would strengthen Israel's relations with the U.S. and be greeted with enthusiasm by other allies angered by Israel's plan, such as Canada.
A freeze "would demonstrate a firm commitment on Israel's part to the American-sponsored peace negotiations; and it would, potentially, breathe life into those negotiations and turn the attention back to where it is most needed ? moving forward to a lasting, meaningful peace," said Yoffie. "Nothing should divert us from this goal."
Israel said it would be willing to carry out trust-building moves in the West Bank in order to facilitate peace talks with the Palestinian Authority, Prime Minister Benjamin Netanyahu reportedly told U.S. Secretary of State Hillary Clinton on Thursday.
In a phone call between Netanyahu and Clinton, the premier reportedly conveyed a detailed list of gestures Jerusalem was willing to perform in order to restart negotiations with the Palestinians.
The Prime Minister's Office stated following the conversation between Netanyahu and Clinton that there was "a real effort by Israel to aid the U.S. administration in renewing negotiations though trust-building measures with the Palestinian Authority."
However, the Washington Post reported that Netanyahu is expected to tell the Obama administration that he cannot revoke the Ramat Shlomo expansion plan both for legal reasons and as a result of wide public support in continued building in Jerusalem.
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 20 mars 2010, 01:50 |
Membre depuis : 18 ans Messages: 604 |
Certains vont chercher dans la presse ultra gauchiste,les opinions juives plus soucieuses de defendre les interets à court terme de certains groupes,plus attachees à defendre les droits de ceux qui veulent leur disparition,voici une analyse exhaustive de ce que nous anticipions de la politique de l'administration americaine alignee sur la volonté d'Obama.Sa genuflexion devant Saoud et son discours en Egypte ne trompait personne.
Jerusalem Post: Obama’s war on Israel
By CAROLINE GLICK
19/03/2010 15:56
Obama claims he's launched a political war against Israel in the interest of promoting peace. But this claim, too, does not stand up to scrutiny.
Why has President Barak Obama decided to foment a crisis in US relations with Israel?
Some commentators have claimed that it is Israel’s fault. As they tell it, the news that Israel has not banned Jewish construction in Jerusalem – after repeatedly refusing to ban such construction – drove Obama into a fit of uncontrolled rage from which he has yet to recover.
While popular, this claim makes no sense. Obama didn’t come to be called “No drama Obama” for nothing. It is not credible to argue thatJerusalem ’s local planning board’s decision to approve the construction of 1,600 housing units in Ramat Shlomo drove cool Obama into a fit of wild rage at Prime Minister Binyamin Netanyahu.
Obama himself claims that he has launched a political war against Israel in the interest of promoting peace. But this claim, too, does not stand up to scrutiny.
On Friday, Obama ordered Secretary of State Hillary Clinton to present Netanyahu with a four-part ultimatum.
First, Israel must cancel the approval of the housing units in Ramat Shlomo.
Second, Israel must prohibit all construction for Jews in Jerusalem neighborhoods built since 1967.
Third, Israel must make a gesture to the Palestinians to show them we want peace. The US suggests releasing hundreds of Palestinian terrorists from Israeli prisons.
Fourth, Israel must agree to negotiate all substantive issues, including the partition of Jerusalem (including the Jewish neighborhoods constructed since 1967 that are now home to more than a half million Israelis) and the immigration of millions of hostile foreign Arabs toIsrael under the rubric of the so-called “right of return,” in the course of indirect, Obama administration-mediated negotiations with the Palestinians. To date,Israel has maintained that substantive discussions can only be conducted in direct negotiations between Israeli and Palestinian officials.
If Israel does not accept all four US demands, then the Obama administration will boycott Netanyahu and his senior ministers. In the first instance, this means that if Netanyahu comes to Washington next week for the AIPAC conference, no senior administration official will meet with him.
Obama’s ultimatum makes clear that mediating peace between Israel and the Palestinians is not a goal he is interested in achieving.
Obama’s new demands follow the months of American pressure that eventually coerced Netanyahu into announcing both his support for a Palestinian state and a 10-month ban on Jewish construction in Judea and Samaria. No previous Israeli government had ever been asked to make the latter concession.
Netanyahu was led to believe that in return for these concessions Obama would begin behaving like the credible mediator his predecessors were. But instead of acting like his predecessors, Obama has behaved like the Palestinians. Rather than reward Netanyahu for taking a risk for peace, Obama has, in the model of Yasser Arafat and Mahmoud Abbas, pocketed Netanyahu’s concessions and escalated his demands. This is not the behavior of a mediator. This is the behavior of an adversary.
With the US president treating Israel like an enemy, the Palestinians have no reason to agree to sit down and negotiate. Indeed, they have no choice but to declare war.
And so, in the wake of Obama’s onslaught on Israel’s right to Jerusalem, Palestinian incitement against Israel and Jews has risen to levels not seen since the outbreak of the last terror war in September 2000. And just as night follows day, that incitement has led to violence. This week’s Arab riots fromJerusalem to Jaffa, and the renewed rocket offensive from Gaza are directly related to Obama’s malicious attacks on Israel.
But if his campaign against Israel wasn’t driven by a presidential temper tantrum, and it isn’t aimed at promoting peace, what explains it? What is Obama trying to accomplish?
There are five explanations for Obama’s behavior. And they are not mutually exclusive.
First, Obama’s assault on Israel is likely related to the failure of his Iran policy. Over the past week, senior administration officials including Gen. David Petraeus have made viciously defamatory attacks onIsrael, insinuating that the construction of homes for Jews in Jerusalem is a primary cause for bad behavior on the part of Iran and its proxies in Iraq, Afghanistan, Lebanon, Syria and Gaza. By this line of thinking, ifIsrael simply returned to the indefensible 1949 armistice lines, Iran’s centrifuges would stop spinning, and Syria, al-Qaida, the Taliban, Hizbullah, Hamas and the Iranian Revolutionary Guards would all beat their swords into plowshares.
Second, even more important than its usefulness as a tool to divert the public’s attention away from the failure of his Iran policy, Obama’s assault againstIsrael may well be aimed at maintaining that failed policy. Specifically, he may be attacking Israel in a bid to coerce Netanyahu into agreeing to give Obama veto power over any Israeli strike against Iran’s nuclear installations. That is, the anti-Israel campaign may be a means to force Israel to stand by as Obama allows Iran to build a nuclear arsenal.
For the past several months, an endless line of senior administration officials have descended on Jerusalem with the expressed aim of convincing Netanyahu to relinquish Israel’s right to independently strike Iran’s nuclear installations. All of these officials have returned to Washington empty-handed. Perhaps Obama has decided that since quiet pressure has failed to cow Netanyahu, it is time to launch a frontal attack against him.
This brings us to the third explanation for why Obama has decided to go to war with the democratically elected Israeli government. Obama’s advisers told friendly reporters that Obama wants to bring down Netanyahu’s government. By making demands Netanyahu and his coalition partners cannot accept, Obama hopes to either bring down the government and replace Netanyahu and Likud with the far-leftist Tzipi Livni and Kadima, or forceIsrael Beiteinu and Shas to bolt the coalition and compel Netanyahu to accept Livni as a co-prime minister. Livni, of course, won Obama’s heart when in 2008 she opted for an election rather than accept Shas’s demand that she protect the unity ofJerusalem.
The fourth explanation for Obama’s behavior is that he seeks to realign US foreign policy away from Israel. Obama’s constant attempts to cultivate relations with Iran’s unelected president Mahmoud Ahmadinejad, Ahmadinejad’s Arab lackey Syrian dictator Bashar Assad, and Turkey’s Islamist Prime Minister Recep Tayyip Erdogan make clear that he views developing USrelations with these anti-American regimes as a primary foreign policy goal.
Given that all of these leaders have demanded that in exchange for better relations Obama abandon Israel as a US ally, and in light of the professed anti-Israel positions of several of his senior foreign policy advisers, it is possible that Obama is seeking to downgrade US relations with Israel. His consistent castigation of Israel as obstructionist and defiant has led some surveys to claim that over the past year US popular support for Israel has dropped from 77 to 58 percent.
The more Obama fills newspaper headlines with allegations that Israel is responsible for everything from US combat deaths in Iraq and Afghanistan to Iran’s nuclear program, the lower those numbers can be expected to fall. And the more popular American support forIsrael falls, the easier it will be for Obama to engineer an open breach with the Jewish state.
The final explanation for Obama’s behavior is that he is using his manufactured crisis to justify adopting an overtly anti-Israel position vis-à-vis the Palestinians. On Thursday, The New York Times reported that administration officials are considering having Obama present his own “peace plan.” Given the administration’s denial ofIsrael’s right to Jerusalem, an “Obama plan,” would doubtless require Israel to withdraw to the indefensible 1949 armistice lines and expel some 700,000 Jews from their homes.
Likewise, the crisis Obama has manufactured with Israel could pave the way for him to recognize a Palestinian state if the Palestinians follow through on their threat to unilaterally declare statehood next year regardless of the status of negotiations with Israel. Such a US move could in turn lead to the deployment of US forces in Judea and Samaria to “protect” the unilaterally declared Palestinian state from Israel.
Both Obama’s behavior and the policy goals it indicates make it clear that Netanyahu’s current policy of trying to appease Obama by making concrete concessions is no longer justified. Obama is not interested in being won over. The question is, what should Netanyahu do?
One front in the war Obama has started is at home. Netanyahu must ensure that he maintains popular domestic support for his government to scuttle Obama’s plan to overthrow his government. So far, in large part due to Obama’s unprecedented nastiness, Netanyahu’s domestic support has held steady. A poll conducted for IMRA news service this week by Maagar Mohot shows that fully 75% of Israeli Jews believe Obama’s behavior toward Israel is unjustified. As for Netanyahu, 71% of Israeli Jews believe his refusal to accept Obama’s demand to ban Jewish building in Jerusalem proves he is a strong leader. Similarly, a Shvakim Panorama poll for Israel Radio shows public support for Kadima has dropped by more than 30% since last year’s election.
The other front in Obama’s war is the American public. By blaming Israel for the state of the Middle East and launching personal barbs against Netanyahu, Obama seeks to drive down popular American support for Israel. In building a strategy to counter Obama’s moves, Netanyahu has to keep two issues in mind.
First, no foreign leader can win a popularity contest against a sitting US president. Therefore, Netanyahu must continue to avoid any personal attacks on Obama. He must limit his counter-offensive to a defense of Israel’s interests and his government’s policies.
Second, Netanyahu must remember that Obama’s hostility toward Israel is not shared by the majority of Americans. Netanyahu’s goal must be to strengthen and increase the majority of Americans who support Israel. To this end, Netanyahu must go to Washington next week and speak at the annual AIPAC conference as planned, despite the administration’s threat to boycott him.
While in Washington, Netanyahu should meet with every Congressman and Senator who wishes to meet with him as well as every administration member who seeks him out. Moreover, he should give interviews to as many television networks, newspapers and major radio programs as possible in order to bring his message directly to the American people.
Obama has made clear that he is not Israel’s ally. And for the remainder of his term, he will do everything he can to downgrade US relations with Israel while maintaining his constant genuflection to the likes of Iran, Syria, the Palestinians and Turkey.
But like Israel, the US is a free country. And as long as popular support for Israel holds steady, Obama’s options will be limited. Netanyahu’s task is to maintain that support in the face of administration hostility as he implements policies toward Iran and the Arabs alike that are necessary to ensure Israel’s long-term survival and prosperity.
Jerusalem Post: Obama’s war on Israel
By CAROLINE GLICK
19/03/2010 15:56
Obama claims he's launched a political war against Israel in the interest of promoting peace. But this claim, too, does not stand up to scrutiny.
Why has President Barak Obama decided to foment a crisis in US relations with Israel?
Some commentators have claimed that it is Israel’s fault. As they tell it, the news that Israel has not banned Jewish construction in Jerusalem – after repeatedly refusing to ban such construction – drove Obama into a fit of uncontrolled rage from which he has yet to recover.
While popular, this claim makes no sense. Obama didn’t come to be called “No drama Obama” for nothing. It is not credible to argue thatJerusalem ’s local planning board’s decision to approve the construction of 1,600 housing units in Ramat Shlomo drove cool Obama into a fit of wild rage at Prime Minister Binyamin Netanyahu.
Obama himself claims that he has launched a political war against Israel in the interest of promoting peace. But this claim, too, does not stand up to scrutiny.
On Friday, Obama ordered Secretary of State Hillary Clinton to present Netanyahu with a four-part ultimatum.
First, Israel must cancel the approval of the housing units in Ramat Shlomo.
Second, Israel must prohibit all construction for Jews in Jerusalem neighborhoods built since 1967.
Third, Israel must make a gesture to the Palestinians to show them we want peace. The US suggests releasing hundreds of Palestinian terrorists from Israeli prisons.
Fourth, Israel must agree to negotiate all substantive issues, including the partition of Jerusalem (including the Jewish neighborhoods constructed since 1967 that are now home to more than a half million Israelis) and the immigration of millions of hostile foreign Arabs toIsrael under the rubric of the so-called “right of return,” in the course of indirect, Obama administration-mediated negotiations with the Palestinians. To date,Israel has maintained that substantive discussions can only be conducted in direct negotiations between Israeli and Palestinian officials.
If Israel does not accept all four US demands, then the Obama administration will boycott Netanyahu and his senior ministers. In the first instance, this means that if Netanyahu comes to Washington next week for the AIPAC conference, no senior administration official will meet with him.
Obama’s ultimatum makes clear that mediating peace between Israel and the Palestinians is not a goal he is interested in achieving.
Obama’s new demands follow the months of American pressure that eventually coerced Netanyahu into announcing both his support for a Palestinian state and a 10-month ban on Jewish construction in Judea and Samaria. No previous Israeli government had ever been asked to make the latter concession.
Netanyahu was led to believe that in return for these concessions Obama would begin behaving like the credible mediator his predecessors were. But instead of acting like his predecessors, Obama has behaved like the Palestinians. Rather than reward Netanyahu for taking a risk for peace, Obama has, in the model of Yasser Arafat and Mahmoud Abbas, pocketed Netanyahu’s concessions and escalated his demands. This is not the behavior of a mediator. This is the behavior of an adversary.
With the US president treating Israel like an enemy, the Palestinians have no reason to agree to sit down and negotiate. Indeed, they have no choice but to declare war.
And so, in the wake of Obama’s onslaught on Israel’s right to Jerusalem, Palestinian incitement against Israel and Jews has risen to levels not seen since the outbreak of the last terror war in September 2000. And just as night follows day, that incitement has led to violence. This week’s Arab riots fromJerusalem to Jaffa, and the renewed rocket offensive from Gaza are directly related to Obama’s malicious attacks on Israel.
But if his campaign against Israel wasn’t driven by a presidential temper tantrum, and it isn’t aimed at promoting peace, what explains it? What is Obama trying to accomplish?
There are five explanations for Obama’s behavior. And they are not mutually exclusive.
First, Obama’s assault on Israel is likely related to the failure of his Iran policy. Over the past week, senior administration officials including Gen. David Petraeus have made viciously defamatory attacks onIsrael, insinuating that the construction of homes for Jews in Jerusalem is a primary cause for bad behavior on the part of Iran and its proxies in Iraq, Afghanistan, Lebanon, Syria and Gaza. By this line of thinking, ifIsrael simply returned to the indefensible 1949 armistice lines, Iran’s centrifuges would stop spinning, and Syria, al-Qaida, the Taliban, Hizbullah, Hamas and the Iranian Revolutionary Guards would all beat their swords into plowshares.
Second, even more important than its usefulness as a tool to divert the public’s attention away from the failure of his Iran policy, Obama’s assault againstIsrael may well be aimed at maintaining that failed policy. Specifically, he may be attacking Israel in a bid to coerce Netanyahu into agreeing to give Obama veto power over any Israeli strike against Iran’s nuclear installations. That is, the anti-Israel campaign may be a means to force Israel to stand by as Obama allows Iran to build a nuclear arsenal.
For the past several months, an endless line of senior administration officials have descended on Jerusalem with the expressed aim of convincing Netanyahu to relinquish Israel’s right to independently strike Iran’s nuclear installations. All of these officials have returned to Washington empty-handed. Perhaps Obama has decided that since quiet pressure has failed to cow Netanyahu, it is time to launch a frontal attack against him.
This brings us to the third explanation for why Obama has decided to go to war with the democratically elected Israeli government. Obama’s advisers told friendly reporters that Obama wants to bring down Netanyahu’s government. By making demands Netanyahu and his coalition partners cannot accept, Obama hopes to either bring down the government and replace Netanyahu and Likud with the far-leftist Tzipi Livni and Kadima, or forceIsrael Beiteinu and Shas to bolt the coalition and compel Netanyahu to accept Livni as a co-prime minister. Livni, of course, won Obama’s heart when in 2008 she opted for an election rather than accept Shas’s demand that she protect the unity ofJerusalem.
The fourth explanation for Obama’s behavior is that he seeks to realign US foreign policy away from Israel. Obama’s constant attempts to cultivate relations with Iran’s unelected president Mahmoud Ahmadinejad, Ahmadinejad’s Arab lackey Syrian dictator Bashar Assad, and Turkey’s Islamist Prime Minister Recep Tayyip Erdogan make clear that he views developing USrelations with these anti-American regimes as a primary foreign policy goal.
Given that all of these leaders have demanded that in exchange for better relations Obama abandon Israel as a US ally, and in light of the professed anti-Israel positions of several of his senior foreign policy advisers, it is possible that Obama is seeking to downgrade US relations with Israel. His consistent castigation of Israel as obstructionist and defiant has led some surveys to claim that over the past year US popular support for Israel has dropped from 77 to 58 percent.
The more Obama fills newspaper headlines with allegations that Israel is responsible for everything from US combat deaths in Iraq and Afghanistan to Iran’s nuclear program, the lower those numbers can be expected to fall. And the more popular American support forIsrael falls, the easier it will be for Obama to engineer an open breach with the Jewish state.
The final explanation for Obama’s behavior is that he is using his manufactured crisis to justify adopting an overtly anti-Israel position vis-à-vis the Palestinians. On Thursday, The New York Times reported that administration officials are considering having Obama present his own “peace plan.” Given the administration’s denial ofIsrael’s right to Jerusalem, an “Obama plan,” would doubtless require Israel to withdraw to the indefensible 1949 armistice lines and expel some 700,000 Jews from their homes.
Likewise, the crisis Obama has manufactured with Israel could pave the way for him to recognize a Palestinian state if the Palestinians follow through on their threat to unilaterally declare statehood next year regardless of the status of negotiations with Israel. Such a US move could in turn lead to the deployment of US forces in Judea and Samaria to “protect” the unilaterally declared Palestinian state from Israel.
Both Obama’s behavior and the policy goals it indicates make it clear that Netanyahu’s current policy of trying to appease Obama by making concrete concessions is no longer justified. Obama is not interested in being won over. The question is, what should Netanyahu do?
One front in the war Obama has started is at home. Netanyahu must ensure that he maintains popular domestic support for his government to scuttle Obama’s plan to overthrow his government. So far, in large part due to Obama’s unprecedented nastiness, Netanyahu’s domestic support has held steady. A poll conducted for IMRA news service this week by Maagar Mohot shows that fully 75% of Israeli Jews believe Obama’s behavior toward Israel is unjustified. As for Netanyahu, 71% of Israeli Jews believe his refusal to accept Obama’s demand to ban Jewish building in Jerusalem proves he is a strong leader. Similarly, a Shvakim Panorama poll for Israel Radio shows public support for Kadima has dropped by more than 30% since last year’s election.
The other front in Obama’s war is the American public. By blaming Israel for the state of the Middle East and launching personal barbs against Netanyahu, Obama seeks to drive down popular American support for Israel. In building a strategy to counter Obama’s moves, Netanyahu has to keep two issues in mind.
First, no foreign leader can win a popularity contest against a sitting US president. Therefore, Netanyahu must continue to avoid any personal attacks on Obama. He must limit his counter-offensive to a defense of Israel’s interests and his government’s policies.
Second, Netanyahu must remember that Obama’s hostility toward Israel is not shared by the majority of Americans. Netanyahu’s goal must be to strengthen and increase the majority of Americans who support Israel. To this end, Netanyahu must go to Washington next week and speak at the annual AIPAC conference as planned, despite the administration’s threat to boycott him.
While in Washington, Netanyahu should meet with every Congressman and Senator who wishes to meet with him as well as every administration member who seeks him out. Moreover, he should give interviews to as many television networks, newspapers and major radio programs as possible in order to bring his message directly to the American people.
Obama has made clear that he is not Israel’s ally. And for the remainder of his term, he will do everything he can to downgrade US relations with Israel while maintaining his constant genuflection to the likes of Iran, Syria, the Palestinians and Turkey.
But like Israel, the US is a free country. And as long as popular support for Israel holds steady, Obama’s options will be limited. Netanyahu’s task is to maintain that support in the face of administration hostility as he implements policies toward Iran and the Arabs alike that are necessary to ensure Israel’s long-term survival and prosperity.
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Re: INFOS D'ISRAEL 6 20 mars 2010, 03:29 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 1 739 |
obama dans sa course folle de leche savates ( pour etre polie ) aux arabes adresse a l iran des mollahs ses voeux de bonheur et une derniere supplique de dialogue a l occasion du nouvel an iranien...
les opposants a ahmanidjad voient leurs espoirs s ecrouler quand le chef supreme americain en quete de victoire politique exterieure a defaut de victoire interieure... les lache, les jette aux lions, en abandonant les valeurs de defense et de justice qui ont fait la grandeur des etats unis d amerique.
nous il nous ordonne d arreter la construction a jerusalem comme s il allait de soi que cette ville sainte pour les juifs avant d etre sainte pour quiconque n appartenait deja plus aux israeliens, donnant ainsi legitimation aux extremistes de lancer des pierres puis des kassams sur des innocents dont personne n en a rien a battre puisque israeliens...
le sort a voulu que la seule victime de ce lancer de kassam soit un travailleur agricole thailandais... venu fuir sa misere sous notre ciel bleu et notre civilisation.
et hilary clinton qui passe un savon a netanyahu pendant 40 minutes... lui qui etait occuppe a celebrer la victoire d un de ses fils au concours de la bible , ce prix est considere comme l un des plus prestigieux et il oppose des adolescents juifs du monde entier sur la connaissance du tanakh ...
et a doha on entame un colloque ou seule la haine d israel est acceptee a la tribune... les palestiniens sont devenus le theme prefere des arabes du monde entier qui apres les avoir laisse aux chiens en on fait leur sujet de debat prefere expliquant et justifiant la misere du monde et leur mediocres dictatures par ce conflit qu ils n arrivent pas a resoudre...
les opposants a ahmanidjad voient leurs espoirs s ecrouler quand le chef supreme americain en quete de victoire politique exterieure a defaut de victoire interieure... les lache, les jette aux lions, en abandonant les valeurs de defense et de justice qui ont fait la grandeur des etats unis d amerique.
nous il nous ordonne d arreter la construction a jerusalem comme s il allait de soi que cette ville sainte pour les juifs avant d etre sainte pour quiconque n appartenait deja plus aux israeliens, donnant ainsi legitimation aux extremistes de lancer des pierres puis des kassams sur des innocents dont personne n en a rien a battre puisque israeliens...
le sort a voulu que la seule victime de ce lancer de kassam soit un travailleur agricole thailandais... venu fuir sa misere sous notre ciel bleu et notre civilisation.
et hilary clinton qui passe un savon a netanyahu pendant 40 minutes... lui qui etait occuppe a celebrer la victoire d un de ses fils au concours de la bible , ce prix est considere comme l un des plus prestigieux et il oppose des adolescents juifs du monde entier sur la connaissance du tanakh ...
et a doha on entame un colloque ou seule la haine d israel est acceptee a la tribune... les palestiniens sont devenus le theme prefere des arabes du monde entier qui apres les avoir laisse aux chiens en on fait leur sujet de debat prefere expliquant et justifiant la misere du monde et leur mediocres dictatures par ce conflit qu ils n arrivent pas a resoudre...
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