Ils vivent jusqu’à 120 ans, accouchent à 65 ans et n’ont pas de cancer ! Voici comment !
Les membres du peuple Hunza sont toujours souriants, ils sont vifs et forts. Les Hunzas ont une apparence physique si jeune que beaucoup de gens sont choqués lorsqu’ils connaissent leur âge. Ces gens mangent beaucoup d’abricots. Ils semblent être d’une autre planète, mais ce n’est pas le cas. Ils sont grands, ont la peau claire et l’aspect physique des anciens Grecs. Leur nom signifie « Ils sont unis comme des flèches dans un carquois ». Les Hunzas vivent dans les montagnes du nord du Pakistan, ils sont environ 87 000 et sont exceptionnels parce qu’ils vivent en moyenne une centaine d’années. Beaucoup d’entre eux vivent 120 ans sans problèmes de santé. Certains ont vécu 160 ans. Ils sont rarement malades, ne savent pas ce que sont les tumeurs, ils ont une apparence très jeune et leurs femmes accouchent à 65 ans.
Ils sont la preuve vivante de la façon dont l’alimentation et le mode de vie influent sur les humains. Les Hunzas prennent des bains dans l’eau glacée, même si la température extérieure est inférieure à 0°C. Ils ne mangent que les aliments qu’ils cultivent. Ils mangent des fruits et des légumes crus, des oléagineux, beaucoup d’abricots secs, une variété de céréales (principalement du millet, du sarrasin et de l’orge), des légumineuses et peu de fromage, de lait et d’œufs.
Ils marchent beaucoup mais mangent peu
Ils ont des repas frugaux. Un petit-déjeuner constitué d’un bol d’abricots frais ou bouillis avec des céréales et des chapatis, un pain indien. Vers 10 heures, même régime auquel s’ajoutent des légumes frais ou bouillis. Entre 13 heures et 14 heures, autre repas d’abricots secs attendris dans de l’eau, l’hiver, ou d’abricots frais l’été. Et enfin, entre 17 et 19 heures, un repas plus substantiel comprend, outre des chapatis, des légumes, et en saison, des fruits variés, prunes, pêches, poires, pommes ou abricots frais. Ils marchent beaucoup, jusqu’à 15 à 20 kilomètres par jour et ne connaissent pas la fatigue. Ils consomment rarement de la viande, peut-être deux fois par an et dans ce cas, c’est un peu d’agneau ou un peu de poulet. Ils rient aussi beaucoup et leur joie de vivre est également l’un de leurs précieux atouts.
Un spécialiste des Hunzas, Ralph Bircher, dans son livre « Les Hunzas : un peuple qui ignore la maladie », a synthétisé un nombre important d’informations sur l’alimentation de ce peuple :
Pendant une période de deux à quatre mois, ils ne mangent rien, mais boivent seulement du jus d’abricots secs. C’est leur tradition qu’ils respectent depuis les temps anciens et cela a lieu à une période de l’année où le fruit n’est pas encore mûr. Les médecins conviennent que leurs habitudes alimentaires ainsi que les périodes de jeûne ont contribué à leur excellente santé et longévité.
Le docteur McCarrison, britannique, a établi une liste des maladies dont ils étaient exempts : « cancer, ulcère gastrique, appendicite, colique, pas de sensibilité de l’abdomen aux impressions des nerfs, à la fatigue, à l’anxiété, au froid ». Le Dr Tobe, allemand, a complété cette liste et n’avait relevé « aucun cas de calculs biliaires, ou rénaux, de maladies coronariennes, d’hypertension, de lésions valvulaires, de déficience mentale, de polio, d’arthrite, d’obésité, de diabète et d’insuffisance thyroïdienne. » Il n’a jamais rencontré non plus de personne handicapée dans les villages visités.
Leur habitude de consommer de grandes quantités d’abricots contribue probablement au fait qu’ils sont protégés des tumeurs. Les noyaux d’abricots sont riches en vitamine B-17 qui a des propriétés anticancéreuses, et à partir des noyaux, ils font de l’huile. Mais ce sont des faibles doses car sinon cela pourrait être dangereux. C’est une sorte de prestige pour une famille, d’avoir beaucoup d’abricotiers sur leurs terres. Malheureusement, aujourd’hui, des aliments industriels malsains atteignent leur peuple, et le résultat est l’apparition de caries et de problèmes gastro-intestinaux qu’ils ne connaissaient pas auparavant.
Chez ce peuple vigoureux et rustique, sobre, respectueux de leur sol et heureux, les habitants disent eux-mêmes qu’ils sont les descendants d’Alexandre le Grand et son armée. A l’époque de la conquête, certains d’entre eux étaient restés dans leurs villages et s’étaient mariés. En 1984, les médias ont rapporté une anecdote incroyable. Un Hunza du nom de Said Abdul Mobudu, lors de son arrivée à l’aéroport d’Heathrow à Londres, a provoqué la stupéfaction des services de douane. Sur son passeport, c’était écrit qu’il était né en 1823.
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