De nombreuses versions plus farfelues les unes que les autres circulent sur les circonstances du décès de Monsieur Marco Rebibo.
Pour la mémoire du défunt et par devoir d'information envers nos membres, nous publions les précisions suivantes :
Ce qui est certain à l'heure où l'on écrit ces lignes est que son meurtrier, âgé de 36 ans, était effectivement un repris de justice, qui avait déjà été incarcéré pour des délits divers.
Il se rendait régulièrement au Cercle de l'Alliance où, contre de petits services (courses, etc), il se restaurait et buvait gratuitement.
Mais cela ne lui suffisait plus. Il insistait lourdement pour travailler comme salarié au sein dudit restaurant. Le jour du drame, Monsieur Rebibo lui signifia de nouveau qu'il n'avait pas de poste permanent pour lui.
L'assassin est alors entré dans une furie noire et inexpliquée, accrue probablement par l'alcool, s'est saisi d'un couteau puis s'est attaqué à sa victime. Pris d'une hystérie incontrôlable, le criminel a tenu des propos racistes et contre les Juifs durant son méfait. Il a ensuite tenté de fuir par le bâtiment voisin mais a été arrêté dans sa course par des policiers.
Touché notamment au cou et aux reins, Monsieur Rebibo a succombé quelques instants plus tard à ses blessures.
L'assassin est-il atteint d'une maladie psychiatrique ou a-t-il été pris d'une crise de folie passagère? En tous les cas, des propos antisémites ont bien été tenus par le meurtrier.
Quoiqu'il en soit, la justice tranchera. Espérons qu'elle sera intransigeante et que sera bientôt votée une loi stricte qui punit tous les discours racistes fondés sur la religion, la nationalité ou l'ethnie de la personne, car c'est bien cet endocrinement idéologique qui mène aux actes de haine comme celui dont a été victime Marco Rebibo.
Amender les lois, c'est ce qui manque pour que tous les citoyens marocains ou visiteurs étrangers se sentent en parfaite sécurité dans notre pays.
De nombreuses versions plus farfelues les unes que les autres circulent sur les circonstances du décès de Monsieur Marco Rebibo.
Pour la mémoire du défunt et par devoir d'information envers nos membres, nous publions les précisions suivantes :
Ce qui est certain à l'heure où l'on écrit ces lignes est que son meurtrier, âgé de 36 ans, était effectivement un repris de justice, qui avait déjà été incarcéré pour des délits divers.
Il se rendait régulièrement au Cercle de l'Alliance où, contre de petits services (courses, etc), il se restaurait et buvait gratuitement.
Mais cela ne lui suffisait plus. Il insistait lourdement pour travailler comme salarié au sein dudit restaurant. Le jour du drame, Monsieur Rebibo lui signifia de nouveau qu'il n'avait pas de poste permanent pour lui.
L'assassin est alors entré dans une furie noire et inexpliquée, accrue probablement par l'alcool, s'est saisi d'un couteau puis s'est attaqué à sa victime. Pris d'une hystérie incontrôlable, le criminel a tenu des propos racistes et contre les Juifs durant son méfait. Il a ensuite tenté de fuir par le bâtiment voisin mais a été arrêté dans sa course par des policiers.
Touché notamment au cou et aux reins, Monsieur Rebibo a succombé quelques instants plus tard à ses blessures.
L'assassin est-il atteint d'une maladie psychiatrique ou a-t-il été pris d'une crise de folie passagère? En tous les cas, des propos antisémites ont bien été tenus par le meurtrier.
Quoiqu'il en soit, la justice tranchera. Espérons qu'elle sera intransigeante et que sera bientôt votée une loi stricte qui punit tous les discours racistes fondés sur la religion, la nationalité ou l'ethnie de la personne, car c'est bien cet endocrinement idéologique qui mène aux actes de haine comme celui dont a été victime Marco Rebibo.
Amender les lois, c'est ce qui manque pour que tous les citoyens marocains ou visiteurs étrangers se sentent en parfaite sécurité dans notre pays.
Mouna Izzdine