La Communauté israélite de Casablanca dément l'instauration d'une taxe sur le Label Cacher Maroc
La Communauté israélite de Casablanca a démenti l'instauration d'une taxe par personne et par nuitée en contrepartie de la délivrance du "Label Cacher Maroc".
"Il n'a jamais été objet d'instituer une taxe par personne et par nuitée en contrepartie de la délivrance du "Label Cacher Maroc" dont les honoraires ne peuvent en aucun cas s'apparenter à une quelconque taxe dont l'établissement demeure du ressort de la loi", indique une mise au point de la commission de la cacheroute de Casablanca.
Certains médias ont rapporté que la Communauté Israélite de Casablanca avait institué une "taxe" aux opérateurs touristiques et touristes de confession juive désirant bénéficier de prestations Cacher, en percevant des honoraires qui rémunèrent le service de délivrance du Label Cacher Maroc, indique le document.
D'après cette mise au point, la perception de ces contributions a été sujette à de mauvaises interprétations allant jusqu'à considérer que la Commission de la cacheroute soit à la limite de la pratique du racket à l'encontre des organisateurs de ce type de séjours.
La commission de la cacheroute affirme d'ailleurs être en phase de mettre en place une organisation de ses instances, afin de répondre aux missions dont elle a été investie par les autorités publiques, conformément à la circulaire interministérielle conjointe du 23 juillet 2021, relative aux conditions de délivrance des prestations "Cachère". L'écosystème instauré ne concernera pas les individus, qui sont libres d’agir à leur guise, précise le communiqué.
Conformément à la circulaire précitée, les établissements ne peuvent délivrer des prestations réputées "Cachère", qu'après l'obtention d'une autorisation "Téoudah" délivrée par la commission de la cacheroute. La perception de ces redevances a toujours servi et servira, selon ce document, à couvrir les charges induites par la délivrance du "Label Cacher Maroc", pour contribuer au financement du culte israélite et garantir la certification "Cachère" des prestations servies.
La documentation et les formulaires relatifs à la délivrance du "Label Cacher-Maroc" seront publiés prochainement sur le site cacheroutemaroc.com, précise le communiqué.
Enfin, il y a lieu de rappeler que la création du "Label Cacher Maroc" et l'organisation qui en découle, notamment l'exclusivité de son octroi par la commission cacheroute de Casablanca, a pour objectif de mettre fin à l'anarchie qui régnait dans le secteur de la fourniture de prestations "Cacher" et qui portait préjudice aux touristes concernés, dans un contexte marqué par de belles perspectives pour le développement du tourisme Cacher au Maroc, conclut cette mise au point.
La Communauté israélite de Casablanca dément l'instauration d'une taxe sur le Label Cacher Maroc
La Communauté israélite de Casablanca a démenti l'instauration d'une taxe par personne et par nuitée en contrepartie de la délivrance du "Label Cacher Maroc".
"Il n'a jamais été objet d'instituer une taxe par personne et par nuitée en contrepartie de la délivrance du "Label Cacher Maroc" dont les honoraires ne peuvent en aucun cas s'apparenter à une quelconque taxe dont l'établissement demeure du ressort de la loi", indique une mise au point de la commission de la cacheroute de Casablanca.
Certains médias ont rapporté que la Communauté Israélite de Casablanca avait institué une "taxe" aux opérateurs touristiques et touristes de confession juive désirant bénéficier de prestations Cacher, en percevant des honoraires qui rémunèrent le service de délivrance du Label Cacher Maroc, indique le document.
D'après cette mise au point, la perception de ces contributions a été sujette à de mauvaises interprétations allant jusqu'à considérer que la Commission de la cacheroute soit à la limite de la pratique du racket à l'encontre des organisateurs de ce type de séjours.
La commission de la cacheroute affirme d'ailleurs être en phase de mettre en place une organisation de ses instances, afin de répondre aux missions dont elle a été investie par les autorités publiques, conformément à la circulaire interministérielle conjointe du 23 juillet 2021, relative aux conditions de délivrance des prestations "Cachère". L'écosystème instauré ne concernera pas les individus, qui sont libres d’agir à leur guise, précise le communiqué.
Conformément à la circulaire précitée, les établissements ne peuvent délivrer des prestations réputées "Cachère", qu'après l'obtention d'une autorisation "Téoudah" délivrée par la commission de la cacheroute. La perception de ces redevances a toujours servi et servira, selon ce document, à couvrir les charges induites par la délivrance du "Label Cacher Maroc", pour contribuer au financement du culte israélite et garantir la certification "Cachère" des prestations servies.
La documentation et les formulaires relatifs à la délivrance du "Label Cacher-Maroc" seront publiés prochainement sur le site cacheroutemaroc.com, précise le communiqué.
Enfin, il y a lieu de rappeler que la création du "Label Cacher Maroc" et l'organisation qui en découle, notamment l'exclusivité de son octroi par la commission cacheroute de Casablanca, a pour objectif de mettre fin à l'anarchie qui régnait dans le secteur de la fourniture de prestations "Cacher" et qui portait préjudice aux touristes concernés, dans un contexte marqué par de belles perspectives pour le développement du tourisme Cacher au Maroc, conclut cette mise au point.
Par Le360 (avec MAP)