Ne faut-il pas voir également le problème de la place de la femme dans le judaïsme ?
A la synagogue, elle est reléguée au fond, derrière un rideau qui est devenu ces dernières années bien opaque, elle ne peut élever la voix, ne peut même plus toucher la Tora, spectatrice honteuse.
A Kippour, j'ai entendu le rabbin de la communauté interdire aux femmes de rejoindre les hommes à la prière finale, sinon "toutes les prières de ce jour sont annulées" par leur seule présence.
Au cimetière, certaines restent à la porte, les autres ne comptent pas, "même si tout le cimetière était rempli de femmes, le kaddish (prière pour les morts) ne pourra pas se faire, il faut aller héler des hommes qui seuls peuvent le réciter.
En Israël, il existe des bus où les femmes doivent s'asseoir au fond.
"Mais ce n'est pas pareil !" vous allez me dire, et m'expliquer parce que je n'ai rien compris, on veut toujours m'expliquer, mais je n'ai pas le droit de dire que je me sens humiliée d'être femme au sein du judaïsme.
Ne faut-il pas voir également le problème de la place de la femme dans le judaïsme ?
A la synagogue, elle est reléguée au fond, derrière un rideau qui est devenu ces dernières années bien opaque, elle ne peut élever la voix, ne peut même plus toucher la Tora, spectatrice honteuse.
A Kippour, j'ai entendu le rabbin de la communauté interdire aux femmes de rejoindre les hommes à la prière finale, sinon "toutes les prières de ce jour sont annulées" par leur seule présence.
Au cimetière, certaines restent à la porte, les autres ne comptent pas, "même si tout le cimetière était rempli de femmes, le kaddish (prière pour les morts) ne pourra pas se faire, il faut aller héler des hommes qui seuls peuvent le réciter.
En Israël, il existe des bus où les femmes doivent s'asseoir au fond.
"Mais ce n'est pas pareil !" vous allez me dire, et m'expliquer parce que je n'ai rien compris, on veut toujours m'expliquer, mais je n'ai pas le droit de dire que je me sens humiliée d'être femme au sein du judaïsme.