Share |

Répondre au commentaire

Triste constat ! La littérature des vaincus sur tous les plans: intellectuel, spirituel,idéologique etc...

Les derniers nostalgiques d'une idéologie désenchantée,le panarabisme. De toute façon ce salon est un échec.

L'arabisation de l'enseignement au Maroc a généré l'intégrisme religieux et a fermé les horizons de la pensée critique et de la pensée des lumières.

Le livre amazigh (Berbère) a été marginalisé dans ce salon parce qu'il dérange la politique des responsables de ce salon qui n'a aucun écho sur la culture des marocains.

Heureusement ce courant s'amenuise et avec le temps il déposera ses dernières armes.

Moha Oustouh
Ingénieur agronome
Délégué de l'APJM au Maroc

Répondre

Le contenu de ce champ sera maintenu privé et ne sera pas affiché publiquement.
CAPTCHA
Cette question permet de s'assurer que vous êtes un utilisateur humain et non un logiciel automatisé de pollupostage (spam).
Image CAPTCHA
Saisir les caractères affichés dans l'image.

Contenu Correspondant