Shalit n’a pas bonne mine, c’est le moins que l’on puisse en dire ; sa pâleur tend vers la transparence, et il est presque aussi épais qu’une tranche de saucisson dans un sandwich SNCF. De plus, il marche avec difficulté, preuve que, pendant les cinq ans durant lesquels il a été détenu par le Hamas, il n’a pas non plus eu droit à une promenade quotidienne.