Ces images de son cadavre. Ce visage, encore vivant, mais en sang, sur lequel il semble que l’on s’acharne. Cette tête nue, étrangement et soudainement nue – je m’aperçois qu’on ne l’avait jamais vue que coquettement enturbannée et il y a là quelque chose de poignant qui rend ce criminel pitoyable.