« La vie devant soi », proclamait, en 1975, Émile Ajar, alias Romain Gary. Plus tard, en 1997, le cinéaste italien Roberto Benigni, nos offrait « La vie est belle ». Toujours au cinéma, Nils Tavernier, en 2024, lançait « La vie devant moi ». Et c’est le scénario de ce film que Guy Birenbaum nous propose sous forme livresque.