Cette nouvelle va faire l’effet d’une bombe parmi les milliers de Juifs de France qui ont acheté des appartements en Israël au cours des dernières années. En effet, les investisseurs français qui ont placé leurs économies dans l’immobilier à Tel Aviv, à Jérusalem, à Ashdod ou à Netanya, sont devenus la cible du fisc israélien. En échange des noms des français qui ont investi en Israël, l’Administration fiscale française pourrait transmettre à Israël les noms des Israéliens détenant des comptes bancaires en Suisse.