Un ton est apparu qui, sans même parler de la xénophobie, du racisme, de l’antisémitisme, qui s’exhalent sitôt que ces gens se lâchent, est fait d’une vulgarité, d’une haine, d’une violence sociale et rhétorique qui, si on ne les stoppe pas, détruiront, de proche en proche, l’entièreté de l’espace public.