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25/02/02
Nom Oublie : Joseph DEVICO (ou DAVICO) de FEZ
grandpère maternel de ma
femme Irène KOCH née ATTIAS
Pierre KOCH
pierre koch [pierre.koch@wanadoo.fr] 25/02/02 Bonjour, J'ai découvert par hasard votre site Internet en "surfant". Ma mère est née au Maroc, à Casa (nom : Benhaim) en 1932 et a des problèmes aujourd'hui, 70 ans plus tard (!) pour renouveller sa carte d'identité française. Elle aurait donc besoin de contacter le Tribunal rabinnique de Casablanca. Pourriez-vous nous aider à trouver ses coordonnées ?Bravo pour votre site et merci d'avance. Sophie 25/02/02
To Ms Anne Meire Mazagão (and to anybody interested by Mazagan, Morocco). I was myself born in Mazagan (Morocco) and I am fond of everything related to this little town. I have got some data about Mazagão, Macapa, Brazil. You have forgot to give your email. Mine is maitkaci@yahoo.fr Will you contact me? 25/02/02 Je fais une recherche genealogique, et m'interesse a mes racines: Assayag, Assaraf, Azuelos, Ben-Shitrit, Ben-Lolo, Elbaz, Hadida et Laredo. J'ai poste mon arbre familial a www.geocities.com/michelassayag ..et me ferais un plaisir d'ajouter vos informations familiales, si reliees a ces familles... Merci, Michel Assayag, Jerusalem, Israel 25/02/02 Noms de famille a rajouter : CABALO MAUDY cécile Maudy [cecile.maudy@chello.fr] 25/02/02 Nager ou voler, telle est la question ! (info # 012202) Par Stéphane Juffa ã Metula News Agency A la mi-semaine, le Premier ministre Ariel Sharon a réitéré ses préoccupations face à "l'antisémitisme de la France", jugeant par ailleurs que les 700.000 juifs français faisaient désormais face à un réel danger existentiel. M. Sharon ponctuant son intervention en faisant état de préparatifs israéliens afin d'accueillir les juifs français. Hubert Védrine a fait écho à cette déclaration du chef du Conseil, en jugeant "odieuse" l'éventualité de considérer la France comme un pays antisémite. C'est la seconde fois que le Quai utilise l'adjectif odieux pour qualifier ce genre d'accusations, à croire qu'il manque de vocabulaire. L'occasion précédente, ce fut pour répondre aux reproches du rabbin Melchior, notre vice-ministre de l'assimilation des nouveaux émigrants. Les bureaux de M. Védrine avaient alors cru bon de préciser, que Melchior justifiait ainsi ses gages ou quelque chose de similairement intelligent. A la Ména, on accueille avec circonspection les déclarations des uns et des autres, en déplorant peut-être, que des deux côtés de la Méditerranée on transforme un sujet aussi grave en prétexte de polémique populiste. Nous préférerions, quant à nous, que les protagonistes se choisissent des supports plus futiles afin de se dire dans les yeux combien ils ne s'aiment pas. Au fond, nous sommes ici persuadés que Sharon et Védrine se trompent tous les deux. Ce n'est pas la France qui est antisémite, aussi notre Premier ministre fait-il fausse route lorsqu'il procède par de pareils amalgames. Même si la société française n'a pas fait le ménage de ses relents d'antijuivisme, on ne peut décemment conclure que la France entière est coupable d'un sentiment raciste monolithique et exacerbé. Deux oiseaux malades ne font pas une épisotie et nous voulons relever l'iniquité de condamner un pays tout entier pour la faute de quelques-uns uns (fussent-ils en nombre non négligeable). Laissez-moi dire à Monsieur Sharon, qu'il y a aussi des Français admirables de courage et de lucidité. Finkelkraut et Bernard Henri Lévy sont au nombre de ceux-ci mais j'en ai rencontré, au sein même du Ministère français des affaires étrangères, qui partagent les préoccupations fondamentales de la Ména et qui, dans l'antre même du dragon, trouvent les ressources d'exprimer leur point de vue à haute voix. Sharon à tort, car la situation pourrait être plus périlleuse que ce qu'il ne se figure ! Dans un espace responsable, les errances racistes se font jour au sein de la société plurielle et l'autorité politique n'a de cesse que de les corriger, voire de les réprimander. A Paris, c'est tout le contraire ! La France n'est pas antijuive, Monsieur le Premier ministre mais Monsieur le ministre des affaires étrangères l'est assurément. Pas besoin d'être grand druide pour asseoir cette affirmation déroutante ; pas besoin non plus d'une enquête approfondie de la Ména, tant les évidences de la déviance coupable d'Hubert Védrine sont patentes. Et l'antijuivisme du ministre français est révélé par la terminologie émanant des communiqués issus de ses bureaux. L'antijuivisme, c'est d'appeler l'élimination d'un assassin de juifs un "assassinat ciblé" et d'encourager ainsi, dans la presse de France que ses excès de langage déboussolent, les journalistes qui l'écoutent à reprendre ses erreurs. C'est de dire "colonie", lorsqu'il sait que ce sont des implantations. C'est de parler de "bombardements de camps de réfugiés", en réveillant la mémoire ensommeillée des dizaines de milliers de victimes de Coventry et de Dresde, alors que l'armé d'Israël ne détruit qu'une fabrique de bombes qui était située "à l'intérieur dudit camp de réfugiés" et que l'opération n'a pas fait de victimes. L'antijuivisme de Védrine, c'est lorsqu'il annonce que Sharon va éliminer physiquement Yasser Arafat et qu'il transforme son intuition égarée en position d'Etat ! Pour diffuser tous les doutes, je veux dire, dans cet article, que je suis prêt à démontrer sur n'importe quelle chaîne française de télévision qu'Hubert Védrine est un antijuif caractérisé et qu'il s'agit malheureusement d'un exercice facile. Et je rejoins pourtant Sharon sur un point de son raisonnement au moins : La profession de la haine raciste ou ethnique est d'autant plus dangereuse en France, qu'elle est l'instrument de l'option politique de son gouvernement. Cette haine est méthodique et elle se déverse du sommet du volcan en dévastant tout jusqu'au contreforts de la montagne. Depuis les époques terribles, c'est la première fois que l'on observe en Occident un gouvernement agir sans précautions, dans le sens de l'attisement du fléau antijuif, que ses prédécesseurs avaient eu tellement de mal à contenir. Védrine présente jour après jour des Israéliens massacrant sans raison des Palestiniens sans défenses. Cette présentation n'est pas simplement fallacieuse au niveau de ces massacres, qui n'existent que dans la rhétorique du Quai d'Orsay, elle est surtout périlleuse, car les communiqués des AE omettent toute relation de causalité dans leur transcription des événements du Proche Orient. Lorsqu'ils parlent d'un assassinat ciblé, par exemple, ils se contentent de mentionner que les Israéliens ont "assassiné" un leader local palestinien. Ils omettent donc la relation causale, qui les obligerait à parler des états de service de la personne éliminée, ainsi que d'établir qu'icelle était à la tête d'un groupe armé, qui a revendiqué les assassinats collectifs de dizaines d'Israéliens innocents. Védrine omet de mentionner que les attentats commis par les personnes ainsi éliminées par les Israéliens, ont assassiné de simples passants dénués d'importance tactique, par seul motif de haine ethnique et religieuse et dans le but indubitable de faire en sorte que la violence ne s'arrête jamais. En omettant systématiquement de mentionner les raisons des Israéliens, qui sont à la base de leurs opérations militaires, les services du Quai ne font pas que priver les citoyens français des moyens de juger par eux-mêmes de la justesse des décisions israéliennes. Ils font bien pire que cela ! Ils présentent les Israéliens comme des êtres vilains, qui tueraient par délectation et dans le dessein de supprimer les autres races. Ce faisant, la diplomatie française réinvente un caractère pernicieusement profond et atavique, par manque d'aucune autre option, qu'elle attribue aux juifs. Ce faisant, et avec les moyens de communication dont dispose un Etat moderne au XXIème siècle, Védrine réédite une version mise à jour du Protocole des Sages de Sion. Si cela n'est pas du racisme et si cela n'est pas extraordinairement dangereux, je veux bien qu'on me prenne pour un poisson volant !
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