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17/06/02

NOMS du MAROC

Keslassy

yoel2@wanadoo.fr 


17/06/02

Bonjour. Je ne sais si ma question est pertinente, mais je ne sais où me diriger pour trouver une adresse, un site d'une association juive marocaine en France. Merci.

LeaVigoda@aol.com 


17/06/02

Do you have info on how the Jews got to Morocco and maybe how Jewish cuisine has influenced Moroccan or the other way around???

Thanks!

Jaimie Adler 

bayleafcomm@rcn.com 


17/06/02

Cette Shoah qui ne passe pas
par Françoise Giroud


* LE MONDE | 12.06.02 | 11h50

Même si ce vieux brigand d'Arafat débloque en déclarant qu'il n'y a jamais eu de temple juif à Jérusalem, la cause palestinienne est excellente. Un Etat palestinien doit enfin pouvoir naître et se développer dans le respect et la paix, on ne dira jamais le contraire. Avec une réserve cependant :
assassiner tous les jours des civils, des femmes, des enfants par paquets au moyen d'hommes-suicide éduqués dans cette perspective ne stimule pas la sympathie, même si cela semble ne déranger personne parmi ceux, nombreux, qui ne connaissent de cet horrible conflit qu'un responsable : Israël.

Mon propos n'est pas de chercher à exonérer les Israéliens d'un long aveuglement, d'une longue arrogance envers leurs voisins de palier, mais d'essayer de comprendre comment ils sont devenus aux yeux de Français, en particulier d'intellectuels qui ont la réputation de réfléchir avant d'écrire, des cibles exclusives pour la réprobation sinon pour la haine (dans Le Mondedu 4 juin, Danièle Sallenave, Edgar Morin et Sami Naïr).

Je crois que l'ensemble des peuples chrétiens n'a jamais avalé la Shoah. Que sa révélation, relativement tardive, son ampleur, sa méticulosité hallucinantes et avant tout le caractère d'anéantissement systématique et gratuit d'un peuple entier ont causé un choc beaucoup plus profond qu'on ne le croît. Non par sympathie particulière pour les victimes mais parce que "la solution finale" a obligé le plus étourdi à découvrir que l'homme était peut-être intrinsèquement mauvais, et Dieu intrinsèquement distrait.

L'humanité a connu d'autres exterminations, certes, mais non comparables. On a exterminé des ennemis, des adversaires, des guerriers, les occupants d'un territoire à conquérir. Les Français, pour ne parler que d'eux, ont exterminé les protestants, torturé les Algériens ; les Américains ont massacré les Indiens ; les Soviétiques ont massacré tous azimuts ; la liste n'est pas limitative. Mais jamais l'homme n'avait exterminé méthodiquement d'autres hommes sans raison, par caprice en quelque sorte - et par millions.

Je crois que cette révélation du mal vivant au coeur d'hommes européens élevés depuis plusieurs générations dans la foi chrétienne et se dévergondant sans entrave a été intolérable, insupportable, suffocante.
C'est à mes yeux la raison pour laquelle ceux qu'on appelle les négationnistes nient contre toute évidence la réalité de la Shoah. En bonne logique, dans la mesure où ils se déclarent ouvertement ennemis déclarés des juifs, ils auraient dû se féliciter d'en voir disparaître autant d'un seul coup et mettre cet acte d'hygiène à l'actif du national-socialisme.

Mais ceux qui nient ne supportent pas mieux que d'autres que cela ait été. Et bien que les années passent, chacun porte avec ennui, avec irritation parfois, sa petite part de culpabilité dans la plus remarquable extermination de l'histoire parce qu'elle était sans objet. Parce que ce n'est pas le ixième malheur des juifs qu'elle a révélé mais ce dont l'homme contemporain policé, cultivé, éduqué, est capable, donc nous-mêmes. "Chaque fois qu'on a tué un juif pendant la guerre, a pu dire un moraliste, c'est Jésus que nous avons tué, le premier d'entre eux".

Or que se passe-t-il aujourd'hui ? L'occasion de transformer la figure du juif martyr en juif bourreau. D'évacuer cette culpabilité récurrente qui excède pour libérer le petit fond d'antisémitisme que tout le monde trouve dans son berceau.

Avec une rapidité remarquable, dès la première pierre de la seconde Intifada, un retournement s'est produit, saisissant, qui serait inexplicable sans le tableau de fond sur lequel il s'inscrit. Enfin ! On a le droit de dire du mal des juifs ! "Antisémite, moi ? Vous m'insultez, mais cet enfant palestinien qui meurt sous nos yeux à la télévision, qui l'a tué ? Qui ?" Surtout, ne pas discuter, l'émotion ne se discute pas, ni le désir naturel de se ranger du côté du plus faible.
Moi non plus je n'aime pas qu'on tue les enfants palestiniens, moi aussi je suis scandalisée qu'Israël refuse une commission d'enquête sur Jénine, moi aussi je supporte mal de voir des soldats israéliens relever la chemise de leurs prisonniers pour s'assurer qu'ils ne portent pas une ceinture d'explosifs ou les marquer de chiffres sur leur avant-bras.

Mais ce concours macabre qu'Israéliens et Palestiniens semblent faire sur le nombre de morts enterrés chaque jour, les Palestiniens sont en train de le gagner, ils tuent davantage, ils tuent énormément de civils israéliens, 400 depuis le début de la seconde Intifada dans les rues, les autobus, les cafés, les lieux où la jeunesse danse, preuve que la stratégie antiterroriste d'Ariel Sharon est une impasse.

A la guerre, on pardonne aux généraux de faire des victoires avec des morts, pas des défaites. Mais à Paris, les personnes de bon goût ne comptent que les morts palestiniens. Quand on arrive aux autres, on ne sait plus compter. D'ailleurs, ce sont des goujats... Les fils d'un peuple supplicié devraient savoir se tenir à table, je veux dire à la guerre, et prendre les coups sans les rendre, c'est à peu près ce qu'ici et là on entend et on lit.

Prendre les coups sans les rendre paraît néanmoins une conduite sur laquelle on ne doit plus pouvoir compter de la part des juifs, en aucune circonstance. En revanche, au lieu de montrer aujourd'hui - vainement - leur force, on voudrait les adjurer de montrer leur intelligence, et leur si longue sagesse. "Choisis la vie", dit le message de Moïse.

Françoise Giroud est éditorialiste au Nouvel Observateur, écrivain, ancienne secrétaire d'Etat.
* ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 13.06.02

* Voir aussi: "Choisis la vie"
https://www.amb-israel.fr/ftp/files/actual334.htm  Par Yigal Palmor.


17/06/02

Je m'apelle youssef azeroual marocain de imintanout,ma famille est d'origine juive sepharade et on a toute une documentation qui prouve ça, je voudrai savoir ou sont passé les autres membres de cette familles?

azeroual@didamail.com 


17/06/02

  • Sujet: reponse  a: j.p chlous

bonjour avez vous un lien de parente avec la famille chlous de casablanca .robert jouait de la trompette il avait 2 enfants et il a ete rapatrie en1964 il habitait 3 rue jean bouin ...si cest oui m ecrire svp : rbittoun@hotmail.com  merci un frere avait une boucherie


17/06/02

Je me présente MAYER AZEROUAL d'origine marocaine, je me rapelle bien de ce pays ou j'ai passé mon enfance et ma jeunesse.

azeroual70@hotmail.com 


17/06/02

  • Sujet: judéoberbère

J'ai déjà participé au forum Dafina, cette fois je veux juste ajouter une chose, le plus grand tabou. En afrique du nord une grande partie de la population est juive islamisé. Dans le livre de Didier Nebot " les Tribus oubliées d'Israël : l'Afrique judéo-berbère des origines aux Almohades": "que les Berbères sont aussi des Juifs et qu'il est temps de rétablir une vérité historique, malheureusement occultée. J'aimerais citer l'auteur:

"Oui, les Juifs étaient nombreux dans le Maghreb ; non il n'étaient pas cette infime minorité qu'on veut nous faire croire. Oui, beaucoup d'entre eux se sont convertis à l'Islam, surtout à l'époque des Almohades. Oui, la plupart des Arabes, même s'ils ne veulent pas le reconnaître, sont d'anciens Berbères". " Houssa, " www.multimania.com/amazighino " yougarta@caramail.com 


17/06/02

je suis un marocain non juif je considere que les juifs marocains ce sont tous d'abord des marocains et apres des juifs ne sont pas de la meme religion mais on appartient a la meme patrie le maroc la plupart des marocains soutient la palestine non parceque la palestine est musulmane (qui n'est pas le cas) mais elle soutient un peuple opprimé alors pour quoi les juifs partout soutient l'etat fachiste israel je crois que ca ce n'est pas juste et c'est du fachisme je voudrais que quelqu'un me repond loin de la lanque des insultes et je vais lui repondre...

youness363@caramail.com 


17/06/02

noms des juifs du maroc

sandroussi

I.Cohen@dsv.rotterdam.nl 


17/06/02

On fait le point, depuis Jérusalem-Est ! (info # 011606/2)

Par Sami El-Soudi © Metula News Agency


Yasser Arafat n’a pas abandonné ses objectifs stratégiques, ni les moyens qu’il a choisis pour y parvenir. Pendant ce temps, dans les villes palestiniennes, la situation est débridée au possible. On y perçoit de plus en plus la pression égypto-américano-jordanienne, qui appelle à une restructuration en profondeur de l’organisation politique de l’Autorité Palestinienne et cette pression donne du courage à l’opposition au chef historique.

La semaine dernière, Mohammed Dahlan, le chef de la sécurité intérieure dans la bande de Gaza, a repris en public l’ensemble des thèses que je développais il y a un mois dans mon article "Les réformes d’Arafat !" Sans l’influence extérieure dont je fais état, cette démarche à arguments découverts aurait été impensable. Elle montre qu’il existe désormais une seconde légitimité parmi nous, qui entend écouter les propositions américaines et qui voudrait suivre les appels des Etats arabes modérés. Les observateurs commettraient une erreur, s’ils omettaient de saisir l’importance de cette péripétie, tant elle est significative pour comprendre les événements qui se préparent dans la région.

L’initiative de ce qu’on peut commencer d’appeler l’opposition à Yasser Arafat – même si elle est hybride - s’articule sur deux axes, l’un servant à justifier l’autre au sein de l’opinion publique : le refus d’un système tout entier basé sur la corruption des dirigeants pendant que la population paie un tribut inimaginable à la guerre, et le rejet de la politique suicidaire – sans finalité accessible – du président Arafat.

Même s’il convient de ne pas exagérer l’influence de l’opinion publique au sein de l’Autorité, qui ne possède pas de tribuns à proprement parler pour exprimer ses inquiétudes, il faut justement considérer l’identité de ceux qui poussent au changement de cap et l’importance dont ils jouissent dans la hiérarchie palestinienne. Dahlan est en effet souvent considéré comme le numéro deux du raïs et son nom a maintes fois été cité comme celui d’un successeur bien placé pour remplacer Arafat. Jibril Rajoub, le pendant de Dahlan pour la Cisjordanie au titre de la sécurité intérieure et grand concurrent de son collègue à la succession, a depuis longtemps adopté la position la plus intransigeante dans la critique du pouvoir, allant jusqu’à élever la voix lors de rencontres avec Abu Ammar. Rajoub, qui traverse mal l’Intifada, car considéré trop proche des Israéliens, partage cependant le fond des critiques de Dahlan.

De son côté, Arafat poursuit dans son comportement à deux têtes. Sous les adjurations venant de l’extérieur, il fait mine d’engager des réformes mais dans son deuxième discours, il est toujours aussi décidé à parvenir aux buts stratégiques qu’il s’était fixés au début de l’Intifada. Cela aussi, il ne faudrait pas le perdre de vue, Yasser Arafat n’a pas la moindre intention de mettre un terme à la confrontation armée avec Israël et dans la pénombre, il agit afin de reconstruire et de renforcer la capacité des organisations extrémistes à frapper les Israéliens ! Dans l’optique du Chairman, et c’est un principe qu’il répète continuellement à son entourage et aux militants, Israël est faible, meurtrie et divisée par les succès de l’Intifada. "La victoire n’est qu’une affaire de persévérance et notre volonté inaltérable est l’arme qui viendra à bout des tanks de l’ennemi sioniste." A l’en croire, il suffirait de poursuivre la révolte pour annihiler l’Etat juif et c’est dans cette acception des choses, qu’Arafat considère chaque Palestinien comme un martyr en puissance et qu’il prétend "que nous aurons besoin du sang d’un million de martyrs pour délivrer Jérusalem."

Au plan stratégique régional, Arafat s’est aligné sur la coalition qui comprend la Syrie, l’Irak et l’Iran par l’intermédiaire du Hezbollah libanais. Dans sa précarité, même si le siège de son gouvernement à Ramallah est encerclé par l’armée israélienne, le raïs sait fort bien qu’il détient une carte essentielle dans cette alliance, un atout qui est indispensable à ses alliés. Cette carte réside dans la reconnaissance de la légitimité des aspirations nationales palestiniennes par la communauté internationale. Aussi, s’est-il instauré une interdépendance entre Arafat, qui fournit la justification médiatique du combat pour la libération du sol arabe et Assad, mais surtout Saddam Hussein, qui constituent les soutiens les plus actifs – les seuls qui y participent tactiquement – à l’Intifada. Dans cette alliance de situation, les trois leaders se détestent plus qu’ils ne détestent Ariel Sharon, le rôle primordial attribué à Arafat consiste à ne faire baisser en aucun cas et même temporairement, l’intensité de la lutte armée contre l’ennemi sioniste. Tant que se poursuit ce combat, reconnu légitime en essence par la communauté internationale, l’Amérique peine à nouer des alliances et à concentrer les énergies en vue de sa campagne contre l’Irak.

Dans cette optique, la pire des choses pour Saddam Hussein, serait l’instauration d’un cessez-le-feu entre Israéliens et Palestiniens, voire une reprise sérieuse du dialogue pacifique. Une conjoncture de ce type laisserait le dictateur irakien dans un isolement quasi absolu – comment justifierait-il son action anti-occidentale si "même les Palestiniens commençaient à s’entendre avec les juifs" ? – et il attendrait l’attaque américaine comme un fruit mur qui attend l’automne pour tomber de l’arbre.

Et comme toute alliance stratégique a sa contrepartie, la chute du régime de Saddam isolerait à son tour le pouvoir alaouite sur la Syrie et le Liban ainsi que le statut d’Arafat en Palestine. Pour être tout à fait clair à ce sujet, sans la présence iraquienne qui menace Israël, les pays du Golfe, l’Arabie Saoudite et la Jordanie, l’option de l’Intifada cesserait d’exister en quelques jours et la Syrie serait appelée, soit à rétrécir et à rejoindre le wagon d’une paix de compromis avec Israël, soit à devenir la prochaine cible militaire du Président Bush.

Un prêté pour un rendu, c’est ainsi qu’on considérera stratégiquement la couverture réciproque que se confèrent Saddam Hussein et Yasser Arafat. Et pour donner à l’Irak des gages de son engagement, notre leader historique a nommé ou reconduit dans son gouvernement des personnalités favorables à l’alliance avec Bagdad. Ce sont le nouveau ministre de l’intérieur, Abdel Razel Al Yahya et Azzam Al-Ahmad, qui est considéré dans les territoires comme l’agent de liaison entre l’Autorité et Saddam Hussein.

Pour la population palestinienne, cette alliance stratégique recèle d’une conséquence dramatique en cela qu’elle est l’assurance de l’immuabilité des événements pour de longs mois à venir et que cet état statique est synonyme de la perpétuation de notre situation sécuritaire, mais surtout économique et humanitaire, qui ne sont absolument plus soutenables. Un ami de (censuré pour raison de sécurité Ndlr.) ex-(idem) me disait la semaine dernière, que si Israël offrait à Arafat, dans la situation actuelle, un Etat palestinien sur la base des frontières de 67, avec tout Jérusalem-Est comme capitale, Abu-Ammar refuserait encore de signer la cessation de l’état de belligérance !

Celui qui a bien compris cette situation apparemment inextricable, c’est George W Bush. Son idée d’Etat palestinien intermédiaire est vectrice de toutes les craintes d’Arafat et de Saddam. L’idée consiste à modifier la situation juridique de l’Autonomie, sur ses marques territoriales actuelles, en Etat. Nous y gagnerions la reconnaissance que nous poursuivons depuis de si longues années, en échange de l’abandon de la voie violente et du retour à la table des négociations, dont le mandat sera d’élaborer les frontières définitives de la Palestine, ainsi que de résoudre tous les contentieux en suspens depuis Camp David et Taba. Fort de cet accord intermédiaire et de l’accalmie qu’il générerait, Bush aurait le champ libre pour pourfendre Saddam Hussein à sa guise !

Et c’est de cette éventualité que le président américain a discuté avec Sharon, la semaine dernière à Washington, réclamant à nouveau du premier ministre israélien sa contribution à la destitution du président irakien. Les deux hommes ont également envisagé la deuxième étape de ce projet, qui prendrait la forme d’une solution imposée aux belligérants - après la chute de Bagdad et à l’issue des négociations directes, dans le sort desquelles les USA ne placent pas le moindre espoir - par les Etats-Unis, avec le soutien de l’Europe et des Russes. L’élément nouveau de cette proposition, c’est que, cette fois, la communauté internationale se déploierait physiquement sur la frontière proposée et qu’elle assumerait la responsabilité perpétuelle de la sécurité des partis en présence ainsi que l’observation des termes du traité imposé.*¹

C’en serait ainsi fini des risques pour Israël de la très crédible théorie du porte-avion, élaborée par mon collègue et ami de la Ména Jean Tsadik, du rêve d’Arafat d’éradiquer Israël à terme et, alternativement, pour les extrémistes israéliens, du Grand Israël et de notre transfert vers un exil sans fin. Dans les milieux proches de Sari Nusseibah et de Yasser Abed Rabou, de notre côté et du parti Meretz, côté israélien, on se réjouit des perspectives ouvertes par une solution imposée de ce genre, qui reprendrait les contours généraux du plan Clinton d’août 2000. Pour ces deux groupes, qui multiplient les réunions de travail dans les derniers mois, l’imposition extérieure des termes du plan Clinton est presque obligatoire. Elle aurait pour elle la solution du problème posé par la défiance réciproque, ainsi que l’impossibilité, dans les deux peuples, de raisonner ceux qui, par principe religieux, refuseraient d’accepter, dans tous les cas de figures, une solution de compromis. Ca ne serait pas une solution amenée par l’intelligence des Israéliens et des Palestiniens mais elle serait préférable à la continuation d’une boucherie sans fin, qui est encore moins concevable du même point de vue de l’intelligence.

Ce qui m’a surpris, à l’issue des pourparlers de Washington, c’est que lorsque la possibilité d’une solution imposée a été envisagée publiquement, Sharon ne l’a pas réfutée théoriquement. Il s’est contenté de dire que "dans l’hypothèse d’une solution imposée, il devrait poser la question à son peuple lors d’un référendum".

Et si l’avenir n’était pas tout à fait mort ?


*¹ (Ndlr.) A ne pas confondre avec l’initiative d’Hubert Védrine, qui prévoyait l’envoi d’une force militaire d’interposition, dont le mandat n’aurait pas été lié à l’application d’un plan politique. L’application de l’initiative Védrine aurait attribué à Arafat les objectifs stratégiques qu’il s’est fixés en déclanchant l’Intifada, à savoir : a) la protection internationale d’un Etat développant le terrorisme comme moyen militaire b) un Etat de facto, sans avoir à mettre fin à l’état de belligérance ni à renoncer, à terme, à l’éradication d’Israël, ni à procéder à aucune autre concession politique. 


 

        

 

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