07/10/02
PELERINAGE
AU MAROC
vous serai tres reconnaissante de me donner la date du pelerinage a AGOIM
DU SAINT RABBI DAVID OU MOCHE
Sylviacohen3@aol.com
07/10/02
I NEED YOUR
HELP
SHALOM!
IM FROM MORROCO ORIGINALY I WAS RAISED MUSLIM MY GRANGRANMOTHER IS KOHEN I WANT TO FIND OUT IF SHE WAS JEWS OR NOT HER NAME IS" ZOBIDA ALKOHEN"
PLEASE EMAIL ME AT:
AHLAMMIAMI@AOL.COM
THANK YOU FOR YOUR ATTENTION.
SHALOM
07/10/02
bonjour
comment fait on pour ecouter la musique marocaine
merci de nous repondre
assouline.suzy@wanadoo.fr
07/10/02
La Metula News Agency, l’Observatoire pour une Lecture de l’Information sur le Proche Orient, le Consistoire Israélite de Nice, avec la collaboration de Radio Chalom Nitsan (89.3)
vous convient à une conférence-débat animée par
Stéphane Juffa
Analyste stratégique, rédacteur en chef de la Ména
qui traitera des aspects stratégique et politique du conflit proche oriental et du problème de la désinformation en France, illustré par l’affaire A-Dura
au Centre Consistorial Michelet à Nice, le mardi 15 octobre à 20 heures 30
sous les auspices de Monsieur Frédéric Lellouche, président de l’OLIPO et de Monsieur Eric Hanoune, vice-président de l’OLIPO
renseignements téléphoniques : 06 78 43 39 02
07/10/02
je vous remercie pour
tout ce que vous faites dans ce site c'est quelque chose de tres
interessant
sabineamar@yahoo.fr
07/10/02
Cher Monsieur,
Nous tenons d'abord à vous féliciter pour votre site en particulier et pour votre action en général pour la cause sépharade. Nous réalisons nous mêmes actuellement un fillm documentaire sur la richesse du patrimoine sépharade pour l'Instituion Daat Haïm en Israël (à la mémoire de Rabbi Haïm de Fez) ; Nous aimerions savoir si vous disposez de films sur le monde sépharade d'hier et d'aujourd'hui (jeunes enfants étudiants à l'école, synagogues de Djerba ou d'ailleurs, tombeaux de tsadikim...)
Merci de nous joindre le plus rapidement possible par retour d'e-mail
Stéphanie Bensimon pour Mosaïque
bensd@zahav.net.il
07/10/02
Voila le clip de David charvet je sais qu'on voit mal mais l'interet est de t'entendre la chanson
Gros bisous Maya
Kakoun vous envoie un clip de TV5 Musique :
https://www.tv5.org/musique/redirect.php?player=%2Fmusique%2Fplayers%2Fcharvet.php
elyane.kakoun@tin.it
07/10/02
FRATERNITES
CHALEUREUSES
Il me fait plaisir de découvrir ce site dédié à ce qui unit des gens : une terre, et la terre appartient à ceux qui la travaillent.
Il me fait donc chaud au cœur de voir qu’il y a des gens qui continuent de porter le flambeau avec beaucoup de dignité. Je suis berbère donc j’ai été juif c’est sûr. Cela fait partie de mon I.D et de ça, j’en suis fier.
Que la Lumière vous éclaire dans toutes vos démarches du cœur.
Karim
07/10/02
PILAR RAHOLA, ex-députée de la Gauche républicaine espagnole : « La judéophobie explique l'hystérie pro-palestinienne de la gauche européenne »
Par Marc Tobiass contact@proche-orient.info
Vous pouvez lire l'article complet au:
https://www.proche-orient.info/xjournal_racism_int.php3?id_article=5283
Voici quelques phrases extraites de l'article:
(La législation sur les droits d'auteur ne nous autorise pas de diffuser l'article entier.)
Depuis le début de la seconde Intifada, la presse espagnole, de droite comme de gauche, tient un discours particulièrement agressif à l'égard d'Israël. Un discours qui fait l'impasse sur la motivation des actions israéliennes et qui tend à ignorer les victimes israéliennes dans ce conflit.
...il y a aujourd'hui un retour virulent de ce sentiment barbare au point que l'on peut trouver des expressions authentiquement antisémites dans la presse espagnole.
...plus les juifs sont représentés comme étant les méchants et les mauvais, moins la faute et la culpabilité sont lourdes à porter.
La majorité, l'inconscient collectif européen, lui, ne comprend pas, n'assimile pas, n'accepte pas le phénomène juif. Et c'est là que se situe la rencontre fondamentale entre l'Européen et le Palestinien. L'identité palestinienne n'est pas seulement un phénomène récent, elle s'est surtout construite sur la haine d'Israël, sur la haine du juif.
Or, la France est fondamentalement anti-américaine… D'où notre anti-américanisme qui frise parfois le pathologique, un anti-américanisme qui est aussi antisémite. Ce qui explique dans une certaine mesure que la gauche espagnole soit antisémite.
si l'Europe avait été plus critique avec les Palestiniens, nous serions aujourd'hui plus près d'une solution.
07/10/02
Ceux que les crimes contre l’humanité rendent heureux ! (info # 010110/2)
Par Salomon Pardess © Metula News Agency
Dans un immense effort pédagogique à nul autre pareil, l’excellent Gilles Paris tente de nous faire comprendre la profondeur spirituelle de la deuxième Intifada, à la Une du Monde (29/30 septembre 2002).
Pour commémorer l’anniversaire de ce sinistre événement, il ne trouve rien de mieux que de citer un témoignage d’un jeune Palestinien, Mohammed Falah, qui, tout en s’exclamant : « A quoi bon se faire tuer pour rien ? », affirme : « Quand j’apprends à la radio qu’un bombe a explosé à Tel-Aviv, je suis content. C’est sûr que les Palestiniens ont beaucoup perdu avec l’Intifada. Mais les Israéliens, eux aussi, ont perdu : ils vivent avec la peur, et leur situation économique est mauvaise. C’est pour cela que je suis pour les attentats – suicides ».
On s’attendrait alors à ce que l’immense esprit qu’est Gilles Paris fasse un communiqué sur le Rapport d’Amnesty International, par exemple, qui dénonce ces crimes comme des « crimes contre l’humanité ». Peine perdue. Le Monde et Paris continuent leur politique de l’autruche.
En revanche, en pages intérieures, ils nous serinent la saga palestinienne version Jibril Rajoub (ce n’est pas la pire, on en convient) qui ose une sensationnelle percée intellectuelle en ces termes : « malheureusement pour nous, ce n’est pas sous une occupation comme celle que nous connaissons actuellement que l’on peut faire sereinement une véritable autocritique ».
Sereinement ? Vous avez dit « sereinement » ? Mais qu’est-ce que veut dire « sereinement » ?
Cela veut-il dire que les Palestiniens ne pourront faire leur autocritique que lorsque les Israéliens se retireront de leurs territoires ? Mais c’est justement çà l’objet de leur autocritique : le fait que la deuxième Intifada, accompagnée de ses crimes contre l’humanité, ait contraint l’Etat d’Israël à cette occupation momentanée.
Cela veut-il dire que l’Autorité Palestinienne ne reconnaîtra sa faute morale d’avoir éduqué des enfants à la haine et au meurtre et d’avoir toléré les attentats-suicides, voire d’avoir aidé à leur multiplication, que lorsque les Israéliens auront quitté leurs territoires ? Mais c’est justement parce que l’Autorité Palestinienne joue double jeu vis-à-vis de ces attentats, qu’Israël est contrainte de détruire les lieux d’où partent ces actions de guerre.
Rappelons à Rajoub que, quoi qu’il en ait, c’est Israël qui a « fait » Arafat. En effet, c’est parce qu’Israël l’a reconnu comme interlocuteur qu’Arafat a pu devenir Président de l’Autorité Palestinienne. Ne peut-il pas comprendre alors que si Israël l’avait « fait », Israël pouvait le « défaire » ? Fallait-il jouer avec ça, dans le sang et l’horreur ? Ne valait-il pas mieux qu’Arafat prenne Israël à son propre jeu et assume sa responsabilité d’interlocuteur jusqu’au bout ?
Au lieu de cela, il est redevenu le chef d’une organisation militaire, certes populaire, mais qui s’oppose à l’ouverture d’un avenir démocratique pour son peuple.
Certes, il y a eu des écarts de part et d’autre dans l’application des accords d’Oslo. Mais, là n’est pas le fond du problème. Le vrai problème est que l’Autorité Palestinienne n’a jamais accepté qu’Arafat puisse n’être rien, strictement rien, politiquement s’entend, même comme Président de l’Autorité Palestinienne, élu par le peuple palestinien, sans Israël. Et ce n’est pas faire injure à ce peuple dont nous reconnaissons les droits (cela va sans dire, notamment d’élire démocratiquement le Président de son choix) que de l’affirmer. Cela ne porte nullement ombrage à la figure de cet homme, dont chacun est libre de penser ce qu’il veut. C’est seulement une question de real politik. C’est comme ça.
C’était effectivement à Arafat d’apprendre à devenir autonome, puis indépendant. S’il a préféré le déni et l’annulation rétroactive de tout le processus symbolique et politique qui s’était mis en place, c’est son problème. C’est effectivement mal commode d’être tenu par cette reconnaissance. Mais, il y avait une autre voie que celle de l’explosion insensée à laquelle on assiste depuis deux ans. D’autant que cette explosion a été une véritable catastrophe pour le peuple palestinien.
Quant aux propos du jeune Palestinien, ils sont proprement atterrants. Est-ce parce que les dirigeants du peuple palestinien étaient pétris d’orgueil (ce qui est leur droit), qu’ils avaient le droit d’envoyer au massacre des jeunes par centaines ?
Ce jeune homme se console de voir que les Israéliens souffrent eux aussi. Comme s’ils n’avaient pas souffert également avant la deuxième Intifada. Mais, là n’est pas le seul point aveugle de son raisonnement. Ce qu’il ne comprend pas, c’est que le peuple israélien est une partie d’un peuple millénaire, qui s’est doté d’une culture de vie extraordinaire et qui lui a permis de survivre à de nombreux massacres. Le peuple juif n’a jamais inventé le suicide comme arme de guerre.
A l’avenir, et à condition que ces attentats s’arrêtent définitivement, le peuple palestinien n’aura pas trop des dizaines d’années à venir pour comprendre et dépasser l’effondrement symbolique et éthique qu’il a installé comme système politique.
Qu’il fasse donc le geste que le peuple israélien attend de lui (l’arrêt total de la deuxième Intifada) et tout redeviendra possible, à court terme.
Mais, tout aussi atterrant est que, malgré ce constat d’échec, Le Monde s’enfonce dans son aveuglement politique.
Il est vrai que Gilles Paris se donne des coups de pieds là où je pense, lorsqu’il demande à Rajoub : « les Palestiniens n’ont-ils pourtant pas commis des erreurs qu’ils commencent à reconnaître ? »
Mais, jetons un regard rétrospectif sur ces deux dernières années, pendant lesquelles il a couvert le conflit pour Le Monde. Non seulement nous ne trouverons pas l’ombre d’une critique de l’Autorité Palestinienne, mais, pour le surplus, nous constaterons que ses analyses politiques n’ont pu que la convaincre (si tant est qu’il avait une influence sur elle) qu’elle était sur la bonne voie.
Quand Le Monde assumera-t-il, lui aussi, jusqu’au bout, ses responsabilités ?
