SEFROU .......... 3

En ce qui concerne la plaque de l'école franco-musulmane de Sefrou je ne l'est jamais vu .

Je suis un ancien éléve de cette école; il me reste une chose c'est de vérifier en allant sur les lieux.
Le batiment est toujours le meme sauf quelque annexes qui ont été ajoutés ces derniers temps .

Il y avait une autre plaque à Sefrou:

Elle était collée au mur de cloture de l'hopital local mentionnent le nom , la date de l'accident de circulation mortelle.
Un gros camion et en toute allure percute de plein fouet cet officier qui marchait sur le trotoire pour se rendre au lieu de son travail au Bureau de Cercle de Sefrou , il fut tué sur le coup.

Il habitait la villa de fonction juste au dessous de l'hopital.

Cette plaque de couleur marbre noire était toujours la jusqu'a l' année1959, il fut retirée .
Je cherche le nom de cet officier . Merci Mr Cigalou de chercher vous aussi ./

C'est une plaque posée en novembre 1952 dans la cour de l'école franco-musulmane à la mémoire de Mohamed ben Si AHMED mort au combat en Indochine.

Il avait commencé ses études dans une école coranique puis à l'école franco-musulmane et enfin à l'école d'apprentissage professionnel. Finalement il s'est engagé dans un régiment de Tirailleurs à Meknes.

Son père Si AHMED bel Hadj Ahmed était membre de la commission municipale de Sefrou et également assesseur au tribunal du pacha de Sefrou. Son oncle Si BOUALI était également bien connu pour être Mokkadem à Sefrou.

Bonjour à tous,

Concernant les accidents de la route à Sefrou et ses environs il faut que je relise mes notes de lecture. J'ai en mémoire celui d'un camion transportant des militaires qui est sorti de la route dans une descente occasionnant des dizaines de morts et blessés.

Pour en revenir aux fêtes des CERISES il ne faut pas oublier que celle de 1951 n'a pas eu lieu pour cause de deuil suite à l'inondation dramatique de 1950.

J'ai retrouvé la trace de ce tragique accident de la route qui a eu lieu à SEFROU.

Ce fut le 16 août 1943 . C'était bien un camion mais il ne s'agissait pas de militaires .

Ce camion transportait du bois et dessus avaient pris place 17 "voyageurs" . Dans une descente le camion s'est emballé et a capoté.

Bilan : 5 morts et 12 blessés .

Exactement Mr Cigalou l'année 1951 n'a pas eu lieu de fete pour cause le deuil concernant les morts de l'inondation du septembre 1950.
Mais aussi 1953.54.55 n'a pas eu lieu de fete suite aux troubles qu'a connu le Maroc pendant cette periode .

En ce qui concerne l'accident mortel du camion a eu lieu au centre ville entre l'hopial et Dar Ascri (militaire).
La plaque a été enlevé, peut etre , par les services municipaux de la ville.

Cher Membres de Dafina

Suite a Mes Recherches sur la culture judeo sefrioui ; j'ai pu savoir depuis quelque temoignages ; qu'il existé une ecole juifs à sefrou quartier labita je pense pour filles , maintenant elle existe encore mais c'est transformé en habitat comme L'eglise , la maison exacte est parru dans la photo attaché a ce doument, cetait tous prés du hotel la frenaie presque à 100 metre , un ruisseau traverse la route a cote de cette ecole nomé la Yeshiva
Quelqun peux nous racontez sur ce site historique car jai pas arriver a trouver un document ou un paragraphe sur la fondation de cette ecole Mais lhistoire que jai trouve dit :

Dans une époque donnée, l'école Yeshiva était considérée comme un endroit consacré pour l'enseignement de la Torah, ou ce qu'on pourrait appeler : la loi de Moïse, que la paix soit sur lui.
La date exacte de fondation de cette école reste inconnue, mais la confirmation enregistrée par l'histoire est que c’était Sha’ul Yshu’a Abitbol qui avait assumé la responsabilité sans condition ni restriction, sauf le désir d'éduquer les enfants Juifs… De là, il y avait eu dans cette école la bénédiction, la miséricorde, la paix et, de quoi subvenir au besoin alimentaire et vestimentaire des pauvres résidents étrangers.
La Yeshiva est située sur le côté ouest de l’entrée principale de la ville de Sefrou, à quelques pieds de la «Grotte du Croyant», autrement dit: Kaf-al-Moumen. Lorsque, le soleil se couche et que l’obscurité commence, une sorte de silence terrible plane sur le lieu, on n’entend, cependant, que la voix des élèves qui chantent la Torah de manière collective.
Si l’on voulait décrire la Yeshiva de l'intérieur, on trouve qu'il se compose de plusieurs ailes différentes, avec une large cour à côté. Une aile où les enfants apprennent comment interagir les uns avec les autres, comment se respecter, comment répartir leurs activités quotidiennes en termes d’hygiène de prière et, comment discuter avec leur famille et stimuler le travail caritatif.
Et une autre aile consacrée à l'enseignement de la Torah, pour devenir qualifiés à enseigner l'histoire des Juifs et, les principes de leur religion, ainsi que la langue hébraïque pour les générations futures.
L’étude de la torah était enseignée d’une manière approfondie et, sous forme de groupes de deux, avec la clarification du texte araméen, des concours de prise de parole en public et, une réflexion très attentive ; habituellement suivie ou, précédée d'une conférence solennelle.
La troisième aile est plutôt, composée d'une salle de divertissement spacieuse, d’une salle à manger et, d'un endroit où dorment les élèves résidents, ainsi que d’un ensemble d’équipement dont ils ont besoin, tels que la cuisine, les salles de bain et les toilettes.
Il est de coutume pour les élèves de s'aligner tous les matins dans la cour, après que les enseignants les examinent pour s'assurer de la propreté et de la tenue. Apparemment, ces enseignants semblent bien sages ou presque, avec une barbe élégamment taillée, un costume noir, un bonnet sur la tête de la même couleur et, le sourire aux lèvres.
Les enseignants se comportent à l’égard des élèves, comme ils le devraient : l’affection, la confiance et l’amour. L’enfant ici à Yeshiva, aussi agité soit-il, ne sera jamais puni. Les petits péchés sont pardonnés ici, alors que le plus ce qu’on pourrait prendre contre lui, un tout petit mot ou, le fixer du regard comme une forme de réprimande ; accompagné d’un petit sourire.
À Yeshiva, tout le monde cherche à connaître et à apprendre, à lire et à écrire et, la pureté de l’air, le murmure de l’eau de la Séguia, la beauté de la nature, l’amour, la coexistence et les relations amicales... C’était donc, l’homme vertueux, Sha’ul Yshu’a, qui oriente, influe de manière décisive sur les stratégies et, donne des conseils, et personne ne peut lui désobéir jamais aux ordres.
D’après les Sefrioui d’autrefois : «La cour de Yeshiva comprend la tombe d’un certain homme étranger, et que cet étranger n’est que le prophète Daniel, faisant croire que, si l’on ose l’enfouir on pourrait courir le risque d’avoir une crise cardiaque au cours de l’année ou, devenir fou !
Cette version ne peut être prouvée ou démentie parce que la tombe du prophète Daniel reste inconnue sur la terre, bien qu’une fatwa conservée entre Rabbins juifs et érudits musulmans dit qu’il était enterré dans la ville de Shushan et non à Babylone, comme certains le prétendent.
Quant à la version, qui ne fait aucun doute ni suspicion, elle confirme que cet homme étranger, dont les opinions étaient contradictoires, n'était autre que Rabbi Isaac Hakkohen, surnommé Rabbi Yishaq Mul-al-Milah, l'un des sages de Sefrou et, le maître de la circoncision, enterré au pied de la montagne désignée sous le nom de «Kaf al-Moumen» et pas à Yeshiva comme ils le prétendent.
Il est réputé, de temps mémoriaux, les gens de Sefrou, dans les périodes de sécheresse, se rendent sur les lieux de sa sépulture avec un mouchoir trempé de sang de la milah qu’ils étendent sur la pierre tombale, récitant des psaumes, pour demander la pluie : ﴾La terre trembla ; les cieux aussi distillèrent des eaux devant Allah, ce Sinaï trembla devant Allah, le Dieu d'Israël. Ô, Allah ! tu répandis une pluie abondante sur ton héritage, et, quand il était las, tu l'établis… Ton troupeau a habité là ; dans ta bonté, tu préparas tes biens pour l'affligé, ô, Allah﴿.
Et, ce n'est, cependant, que peu de temps depuis la fin de cette supplication à Allah de pleuvoir ; que des nuages commencent à se former comme des montagnes, les tonnerres éclatent et, les fortes pluies modérées s’étaient mises à tomber... Et, en guise de reconnaissance, les gens de Sefrou avaient initié l'octroi d'une part appropriée de la récolte de l’année aux pauvres élèves de Yeshiva qui avaient prié pour la pluie !



Modifié 1 fois. Dernière modification le 06/11/2023 01:21 par sefrou_graphy.
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Les locataires de la maison Yeshiva se composaient des filles et des garçons, on l'est voyait deux par

deux pour partir au Mellah .Ils sont bien habillait , bien calme et ordonné


Quelques personnalités juifs de Sefrou.
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Abdellatif


Salut;

Feu le sultan Mohammed V a effectué une visite à Fès et plus précisement à l'Hopital Cherarda ( Cocard) en 1950 où il visité les services sanitaires surtout le laboratoire régional ; aussi il passé en revu tout le personnel médical, paramédical , agents de services. Quelle était le but de cette visite ?

Voici une série de photos de cette visite:
Pièces jointes:

Document : 2
Pièces jointes:

Document : 3
Pièces jointes:

Document :4
















N.B/ une faute de date de la visite, il fallait lire 1949.
Pièces jointes:

Pièces jointes:

ABDELLATIF

Abdelatif



Salut tout le monde,


SEFROU (Maroc) 1913. Groupe de types israélites photographié au mellah /
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Franchement cette photographie est humainement magnifique. Ils sont là, pauvres, curieux, et toujours souriants. C'est magique.

Encore des sourires dans la rue principale du Mellah de SEFROU
Pièces jointes:

Un dernier et très beau sourire féminin dans le Mellah de Sefrou.
Pièces jointes:

Bonjour,

En mai 1949 Sa Majesté Sidi Mohamed ben Youssef a effectué un séjour d'un mois dans la région de Fez/Meknes.

Comme on le voit sur les belles photographies transmises par Abdellatif, que je salue, il a visité l'Hôpital COCARD de FEZ, dont le nom est intimement associé au docteur Léon Cristiani, adulé par la communauté musulmane de FEZ et des alentours, notamment SEFROU.

Sur l'une des photographies le Sultan salue les franciscaines missionnaires de Marie qui ont accompli une oeuvre tout à fait remarquable au Maroc. Beaucoup y ont laissé leur vie au même titre que les infirmières de la Croix Rouge.

Abellatif

Salut tout le monde,


Photo montrant deux artisans ferblantiers juifs dans le quartier de artisans de Haddadine 1930.
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Abdellatif

SALUT TOUT LE MONDE ,
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