Souvenirs divers de Casa, rue par rue..suite

L'année 56-57 j'étais en CM2 chez M.Kalifa. Tu devais être en classe avec Christiane Gilles dont la soeur aïnée Françoise était dans ma classe.

Merci pour cette photo la première que je vois de ma vie de l'immeuble où on habitait quand je suis né 34 rue Védrines angle rue Prom au dessus de Longometal où travaillait ma mère et qui nous logeait alors. (en haut légèrement à gauche la petite place on voit dans l'ombre les 3 vitrines de Longométal. Du balcon on voyait le bar Lyonnais.

Le 34 rue Védrines.....n´était-ce pas dans cet immeuble dans lequel vivaient entre autres les familles Attias, Banon, Mazaltarin..etc? l´immeuble était muni d´un ascenseur.

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Je me souviens très bien de Madame Attias, mais vaguement de Monsieur Attias ils étaient des gens charmants (vu mon âge j'appréciais particulièrement les bonbons ...) Je crois me souvenir que ma mère qui gardait pendant la guerre les bureaux de Longométal où elle travaillait avait dû cacher Monsieur Attias dans les circonstances malheureuses que nous connaissons bien hélas. Je crois qu'ils habitaient au 4ème. C'est curieux je ne me souviens pas de l'ascenseur vu qu'on habitait au 1er, mais c'est vrai qu'en revoyant le hall dans ma mémoire, il se pourrait bien qu'i y ait eu un ascenseur. Je regarderai quand j'irai à Casa (pour la 2ème fois de ma vie depuis 1962 !). Le nom des autres locataires ne me dit rien: il faut dire qu'on a déménagé en 51 après la naissance de mon frère parce que Longométal avait besoin de l'appartement, mitoyen des bureaux, pour s'aggrandir et ils nous ont relogé rue Bossuet (d'où mon pseudonyme !). Vous-même, vous habitiez où?

Puisque vous êtes du quartier, des détails qui vont vous amuser peut-être: mon oncle travaillait chez "Jacquot et Bergeonneau" (je crois que c'étaient des pneus ou produits de caoutchouc) rue Védrines et ma tante (toujours en forme avec ses 91 ans à Nice) au Majestic sur le boulevard ce n'était pas bien loin ils habitaient avec nous.

"Jacquot et Bergeonneau"...si mes souvenirs sont bons ils étaient situés juste en face de la rue Coli,(sur la rue Védrines). L´entrée ressemblait à celle d´un grand garage.

Dans l´immeuble du dessus, vivait au 3ème étage une famille grecque du nom de Loupetis.

Je me souviens tout particulièrement de ce commerce car étant gamin, un ami et moi y avions été un jour entre midi et 2 heures pour "piquer" un peu de sécotine qui était conservée dans un tonneau en acier contenant une centaine de litres ou plus....

Mais,....une fois le bouchon retiré, nous n´arrivions plus à le replacer pour empécher la sécotine de continuer à couler!!

Etant pris de peur, (nous devions avoir 7 ans environ), nous nous étions sauvé, en voyant la secotine dégouliner par la légère pente de l´entrée pour continuer son trajet jusqu´au trottoir etc... le gardien se rendit compte du malheur bien trop tard..

Que de souvenirs...

J´ai vécu tout près du bar Lyonnais.

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Ah quel régal ces souvenirs, j'ai dû sûrement vous observer dans la rue à jouer avec d'autres gosses vu que j'étais un peu jeune pour qu'on me laisse descendre; le balcon donnait sur la rue Védrines et il me semble que l'immeuble d'en face était un hôtel, dont je ne me souviens pas le nom, mais je ne mettrais pas ma main au feu! j'ai bonne mémoire mais je n'avais pas encore 5 ans ... Je revois encore des groupes d'enfants dansant sur le trottoir au soleil sur l'air de la samba en pleine mode à l'époque !
Est-ce que vous vous souvenez du magasin de jouets juste après le bout de la rue vers la place Edmond Douté, ils avaient des superbes voitures à pédales à faire rêver tous les gosses mais à l'époque les jouets étaient très chers. Mes parents m'ont acheté ma première miniature là-bas (j'en ai 3000 maintenant...)

Le nom de l´hôtel situé sur la rue Védrines en face de l´immeuble dans lequel tu as vécu était le "GRAND HÔTEL".

Oui, la famille Attias vivait au 4ème étage.

Il y avait 2 magasins de jouets près du quartier:l´un situé à l´angle du bd. de Marseille et de la rue Lassale (environ en face du cinéma LUX)qui était nommé "Le pousse pousse Parisien", et l´autre, plus petit, était situé à l´angle de la rue Colbert et de la rue Vedrines et s´appelait "La clinique des poupées". La propriétaire s´appelait Mme Pascal. Mais je pense que c´est plustôt au premier que tu fais allusion..

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LE GRAND CAFE DE LA GARE
Dans les cartes postales(galerie photo) vous pouvez deviner LE GRAND CAFE tenu par ma famille OLMICCIA bd de la gare à coté de l'hotel de ambassadeur.
A rajouter un souvenir de plus pour les bedaouis
JEAN-FRANçOIS DE BASTIA OLE

André a écrit:
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> Le nom de l´hôtel situé sur la rue Védrines en
> face de l´immeuble dans lequel tu as vécu était le
> "GRAND HÔTEL".
>
> Oui, la famille Attias vivait au 4ème étage.
>
> Il y avait 2 magasins de jouets près du
> quartier:l´un situé à l´angle du bd. de Marseille
> et de la rue Lassale (environ en face du cinéma
> LUX)qui était nommé "Le pousse pousse Parisien",
> et l´autre, plus petit, était situé à l´angle de
> la rue Colbert et de la rue Vedrines et s´appelait
> "La clinique des poupées". La propriétaire
> s´appelait Mme Pascal. Mais je pense que c´est
> plustôt au premier que tu fais allusion..
>
> "A"

Bonjour André,

Le "pousse-pousse parisien" appartenait à un certain monsieur Deconclois et vendait, si je me souviens, les trains miniatures allemands MärKlin et Fleischmann. Chez Novabel, nous vendions les trains italiens Rivarossi......un grand souvenir, ces petits trains miniatures. Il y avait aussi un magasin qui s'appelait "Le réseau miniature", entièrement consacré aux trains miniatures mais je ne me souviens plus de sa localisation.

Bonjour chers compatriotes !
Le magasin très spécialisé dans les trains était rue de Reims juste en face de l'Ecole des Frères, mais le Pousse Pousse vendait en effet les Märklin dont nos parents nous ont comblés au Noël 57. Monsieur de Conclois, royal, ouvrait le lendemain matin de Noël car il savait pertinament que ses clients allaient débouler pour acheter des rails, aiguillages ou wagons supplémentaires offerts par la tante Agathe ou la tant Germaine ou grâce aux étrennes de la veille au soir !!
Pur répondre à André je me souviens en effet de la dame du magasin de jouets du bout de la rue Védrines et je revois bien cette personne mince avec des yeux bleus me semble-t-il mais là j'avoue que je ne l'avais pas re-visualiser en mémoire depuis 19549 ou 50 ! C'est une vraie séance de psychanalyse, j'espère que tes honoraires ne sont pas trop élevés !! Je me souviens que mes parents m'ont fait choisir une petite Dyna Panhard rouge au 1/43ème de marque CIJ, ma première miniature je pense que c'est un de mes plus anciens souvenirs très vivace .

Effectivement, le Réseau Miniature était rue de Reims. Il y avait deux vitrines avec dans chacune un réseau miniature à l'échelle O (type Hornby) et à l'échelle HO (type Mârklin, Fleischman, Rivarossi...).
Enfant, j'avais un train Hornby, avec trois rails, le rail central conduisant le courant alternatif que la motrice récupérait avec un patin.. C'était le même système pour les trains Mârklin, le rail central étant remplacé par des petits plots discrets, car le souci était de ressembler le plus possible à la réalité.
Chez Rivarossi, le système était différent et les motrices étaient alimentées par du courant continu. L'avantage était qu'il n'y avait pas de rail central ni de plots, et encore moins de patin sous la motrice. Le courant était directement récupéré par les roues sur les rails. On était donc plus près de l'image de la réalité et surtout, si on touchait les rails, on ne sentait pas le courant, ce qui n'était pas le cas avec le courant alternatif....je me souviens qu'à Noêl 1958 (j'avais alors 14 ans), mes parents m'ont offert un train Rivarossi mais je ne me souviens plus dans quel magasin ils l'avaient acheté. Par la suite, le magasin NOVABEL en a vendu. J'avais deux trains sur le même réseau et qui fonctionnaient indépendamment, la locomotive à vapeur prenant le courant des rails par ses roues et la locomotive électrique prenant le courant par ses pentographes, puisqu'il y avait aussi des caténaires où passait également le courant.
J'ai toujours ce train dans ma cave mais mes enfants, âgés aujourd'hui de 36 et 33 ans, ne s'y sont jamais intéressés. La mode a changé et on ne trouve d'ailleurs plus de train électriques dans les magasins de jouets, et cela depuis pas mal d'années. Nostalgie......

Bonsoir à Lionel et à Pierre,

Pour Pierre,

J´ai appris il y a environ 2 ans de cela que Mme Pascal qui était propriétaire de "La Clinique des poupées" est toujours vivante et habitait au sud de la France. Son fils et moi avions fait notre scolarité primaire ensemble à l´école Augustin Sourzac.

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Lionel, il y a bien longtemps que je ne te vois pas sur ce forum.. As-tu pris ta retraite ou pas encore? Le bonjour à Kirstine.

Amicalement

"A"

Oui André, je me fais rare mais je viens quand même de temps en temps, un peu à la pêche aux sujets qui m'intéressent, les trains électriques par exemple (lol). Sinon, je visite de temps à autres d'autres sites d'anciens casblancais. Mais intervenir régulièrement prend du temps....
En ce qui concerne ma retraite, ce sera pour l'année prochaine, à 65 ans.
Kirstine te fait toutes ses amitiés....et moi aussi !
lionel

André a écrit:
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> Bonsoir à Lionel et à Pierre,
>
> Pour Pierre,
>
> J´ai appris il y a environ 2 ans de cela que Mme
> Pascal qui était propriétaire de "La Clinique des
> poupées" est toujours vivante et habitait au sud
> de la France. Son fils et moi avions fait notre
> scolarité primaire ensemble à l´école Augustin
> Sourzac.

André ..
La Famille Pascual qui possédait la Clinique des poupées
je l'ai rencontrée il y a peu de temps.

Lucien dit "Lulu" habite à Istres. Il est ou était responsable-gérant d'un Provence Logis
Sa maman .. habitait également à Istres mais je n'ai plus de ses nouvelles depuis quelques années.

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Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.

Sidi Moumen,

Merci pour ces renseignements. Oui, c´est bien avec Lucien que j´étais en classe.

"A"

rUE DE DIJON
lES Magasins Réunis avec au moment de Noël les vitrines avec les automates - bd et rue des ouled Zyane

merci pour ses belles photos casablanca était et restera toujours belle

Les pokers d'enfer mais bien mon grand père Max Barchilon était de la partie
Georges

Pour les nostalgiques des annees 30



Modifié 1 fois. Dernière modification le 25/07/2008 12:40 par clementine.
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