Ce qu’il faut penser de la présomption d’innocence

Ce qu’il faut penser de la présomption d’innocence

Déjà en l’an moins 1446 une affaire DSK

Notre patriarche Joseph qui vécut de 1430 à 1350 av. J.C,

Souvenez-vous !

Amené en Égypte, Joseph est vendu à un ministre du Pharaon, nommé Putiphar, dont il administre les biens.

Au moment de l’introniser dans ses fonctions de régisseur Putiphar lui annonce qu’il lui fait entièrement confiance, quant à sa gestion, qu’il a carte blanche sauf à toucher à son ‘pain’ sous entendu sa femme Madame Putiphar !

Or il se trouve que notre patriarche Joseph possédait tout à la fois une suprême intelligence et une absolue beauté.

C’est ainsi ou pourquoi il arriva bien vite à Joseph d’être l’objet de la convoitise de l’épouse du maître, celle-ci prétendant jusqu’à aller à coucher avec lui. (Le consommer)

Un jour donc,

C’est un de ces jours coutumiers ou Pharaon donne une grande fête en son honneur dans son palais

Toute la maisonnée de Putiphar qui est invitée s’y rend sauf Joseph qui se doit de rester au domaine en tant que gardien et gérant de la maison et madame Putiphar qui simule une migraine :

Dès que tout le monde s’en est allé, dès que toute la famille a tourné le dos :

Madame Putiphar se précipite!

Non se jette sur Notre patriarche Joseph pour lui arracher ses vêtements afin d’assouvir ses Bas instincts

On connaît la suite : Joseph refuse, par fidélité envers ce maître qu’il égale en puissance et qui aussi lui a accordé toute sa confiance

Madame Putiphar est blessée, humiliée, devant le refus de Joseph d’assouvir ses féminines pulsions

Madame Putiphar n’a plus qu’un seul désir, celui de se venger.

Au retour de Monsieur Putiphar et de sa suite, Madame Putiphar se met à bramer, hurler

Que Joseph a voulu la violer ;

Monsieur Putiphar qui connaît quelque peu la nymphomanie de son épouse ne s’y trompe pas comme en témoigne le pagne de Joseph :

En effet celui-ci est arraché non pas par devant comme dans le cas d’une incompressible agression masculine

Mais par derrière témoignant de la fuite de Joseph devant les féroces désirs de madame Putiphar .

Car, vous en conviendrez avec moi, si le pagne avait été arraché par le devant cela aurait signifié, aurait témoigné de la culpabilité de Joseph :

Ce bref récit n’a pour toute ambition que d’amener quelques éléments de réflexions :

D’introduire entre autre l’idée que la vérité n’est pas toujours celle que l’on croit :

Notamment ?

Que seules les femmes seraient vertueuses et que seulement les hommes seraient la proie

de funestes pulsions ....!!!!.

Et qu’alors il faut toujours donner la priorité à la présomption d’innocence