Fête de l’Indépendance… La fusion d’un roi et d’un peuple
Chaque 18 novembre, le Maroc célèbre le Jour de son Indépendance à l’occasion de son soixante-septième anniversaire. C’est une occasion qui constitue une fête nationale chérie par les Marocains, le Roi et le peuple, compte tenu de son importance historique, et comme une épopée qui incarnait la victoire de l’unité et de l’unité sur le colonialisme, qui s’est accroupi sur le souffle des Marocains pendant de nombreuses années et a pillé leurs biens et leurs richesses.
C’est à l’occasion de porter de nombreuses significations, des leçons éloquentes, de grands sacrifices et une étape importante dans l’histoire du royaume, qui est sorti du joug du colonialisme jusqu’au ciel de liberté et d’indépendance vis-à-vis des autorités de protection qui lui ont été imposées de 1912 à 1956.
L’exil du sultan Mohammed V et de sa famille sur l’île de Madagascar, et l’installation d’Ibn Arafa comme son remplaçant sur le trône du Maroc, ont été l’étincelle qui a allumé le feu du soulèvement populaire contre l’injustice qui lui a été infligée, et sa demande dans de nombreuses manifestations pour le retour du Sultan légitime, dont les Marocains ont vu le visage dans la lune, comme le dit la légende, en raison de l’amour et du respect qu’ils avaient pour lui. Ce fut plus tard connu sous le nom de révolution du roi et du peuple, qui commença le 20 août 1953, annonçant le début de la fin du colonialisme français, qui renversa la situation et hâta la fin de son régime brutal.
Dans de nombreuses régions du pays, les Marocains ont mené de féroces batailles contre le colonisateur, notamment les batailles de Lahri, Annual, Bougafer, Badou montagne, Sidi Bou Othmane, le soulèvement des tribus Aït Baâmrane et les provinces du sud, au cours desquelles les Résistants ont enseigné de merveilleuses leçons de fermeté, de résistance et de sacrifice.
Les autorités coloniales françaises, après d’ardues négociations avec le mouvement national au Maroc, incarné par le Parti de l’Indépendance, ont été obligées de permettre le retour du Sultan Mohammed V dans la patrie, de déclarer en 1955 la fin du régime de protection et l’aube de la liberté, dans un discours historique qui a couronné l’année suivante avec l’indépendance effective et la sortie des Marocains du plus petit djihad au, qui a relevé le défi de compléter l’unité territoriale du Royaume et de récupérer ses Territoires du Sud et son désert
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