Jésus et le palestianisme
Jésus et le palestianisme
Il n’y a pas de Noël célébré par l’Autorité palestinienne sans que soit rappelé, d’une façon ou d’une autre, que Jésus était un ‘’palestinien’’. Une propagande pour ignares devant desservir « l’entité sioniste » et interpeller le monde au sujet des ‘’souffrances’’ subies par un ‘’peuple spolié de sa terre’’. Un endoctrinement poussant l’absurde à ne plus être ridicule tant la haine du peuple juif est grande.
Cependant, la réalité ne se laisse pas effacer si facilement !
Il n’y a pas une figurine, une représentation de Jésus crucifié de par le monde où ne sont pas inscrites les quatre lettres suivantes : INRI
Un acronyme dont sa première trace archéologique remonte au IVe siècle avec l'inscription conservée à Rome dans la Basilique Sainte-Croix-de-Jérusalem. Le Titulus Crucis, qui est une relique exposée depuis 1492 dans cette cathédrale et serait, selon la tradition catholique, un morceau de l’écriteau placé au-dessus de la tête de Jésus lors de sa crucifixion, reprend pour l'Église catholique l'inscription dans sa formulation en latin. Les Églises orthodoxes, quant à elles, reprennent l'abréviation INBI pour les Grecs et INЦI pour ceux des slaves qui écrivent en cyrillique.
Elle figure sur quasiment toutes les représentations de la Crucifixion.
Un acronyme qui signifie « Jésus le Nazaréen, roi des Juifs ». Une phrase inscrite par les romains sur la croix et représentant l’acte d’accusation devant le condamner à être exécuté en tant que criminel politique.
Il y aurait même plusieurs écrits de Pères de l'Église qui indiquent dans plusieurs passages que Jésus serait le descendant direct du Roi David, Juif lui aussi mais pas encore ‘’palestinien’’, et qu'ainsi l'expression « roi des juifs » désignerait sans ironie son hérédité.
La propagande nauséeuse ‘’palestinienne’’ poussera t-elle le grotesque jusqu’à affirmer, un jour, que les mosquées Al-Aqsa et Omar sont les œuvres du Roi David, poursuivies par son fils Salomon et reconstruites par Hérode, tous évidemment ‘’palestiniens’’ ?
Au train où vont les choses, il ne faut pas en douter !
Victor PEREZ ©
http://victor-perez.blogspot.co.il/2013/12/jesus-et-le-palestianisme.html
Contenu Correspondant
Commentaires
"les mosquées Al-Aqsa et Omar"
"Omar" Erreur classique, n'est pas une mosquée, mais un sanctuaire.
AUTRES SUJETS lié au "palestinisme" :
« Naissance de Jésus » de son nom Hébraïque-Juif, Yéshoua /ישוּע / traduction « Dieu sauve ». « Le pilier de la foi chrétienne », appelé par les chrétiens, « Jésus/Jésus-Christ/J.C ».
Né à « Bethléem », à moins de 10 km au Sud de Jérusalem dans le Royaume Juif de Judée*. * Et Non pas à Bethléem en Galilée dans le Royaume de Judée et encore moins en « palestine », ce non n'avait pas encore été inventé par les romains, contrairement à une erreur trop répandue.
(voir sujet sur cette époque/l'an 135 l'in vention du nom "palestine")
Bethléem en Hébreu se dit Beit Le'hem, traduction/ « la Maison du Pain ».
« Famille originaire de Nazareth » en Galilée, en Hébreu/ haGalil/ הגליל
La Judée étant devenue une province romaine, sous la domination de l’Empire romain.
Rome nomme, comme administrateur, Ponce Pilate au poste de Gouverneur de la Judée.
3790 - 3793 C.H / 30 - 33 ap.J.C : ( « après J.C, lui-même » ). En Judée, à Yéroushalayim ( Jérusalem ), crucifixion (x) du Juif Yéshoua *, par les romains sous l'ordre du Gouverneur romain Ponce Pilate.
« Quelques erreurs » que trop courantes dans les écris chrétiens et autres :
Le Roi Hérode était Roi du royaume Juif de Judée, et non de « palestine », ce dernier nom date de l'an 135 ap-J.C (voir sujet sur cette époque), donc incontestablement longtemps après.
Yéshoua/Jésus n'a pas été « condamné » sous l'ordre du Roi Hérode ( le Grand ), mais par le Gouverneur romain Ponce Pilate.
Le Roi Hérode le Grand, avait « un alibi » solide, il était déjà décédé en - 4 av. J.C, donc des années auparavant, sauf si « la véritable » date de naissance de Jésus correspondais à cette époque ??....
« Débaptisé » par « les Églises chrétiennes» de son nom Juif et appelé Jésus/ J.C.
Crucifixion faite sur une croix de bois, selon la pratique romaine pour les condamnations à mort des opposants à l'autorité de Rome. Exemple lors de la « Révolte des esclaves » du célèbre gladiateur Spartacus et de ses camarades, tous crucifiés en représailles par les romains, sur des croix de bois.
* Commentaire : Polémique historique, théologique, spirituelle et philosophique depuis des siècles, « Messie » pour les uns ou simple « Rabbin », ou « simple sujet » pour d'autres du Royaume de Judée.
(( Yéshoua, Issa pour les musulmans, considéré dans le Coran, par l'islam, comme « un Prophète » )).
Sa « Date de naissance du 25 décembre », contestée aujourd'hui par les historiens, tant sur « l'année, le mois, que le jour », car il serait plutôt né vers -7 ou -5, « en Automne ou au printemps ».
() Une certitude par les mensonges, les manipulations des faits de l'histoire, des origines, des lieux, des dates, des noms des personnages... perpétrés contre le Peuple Juif, des millions de Juifs ont été persécutés, martyrisés, convertis de force ou assassinés à travers les époques.
Tout cela pour de sombre calculs politiques et religieux depuis des siècles jusqu’à aujourd'hui, orchestré par les églises chrétiennes, en particulier l'église catholique.
Le 1er Janvier, c'est aussi la date qui représente le jour de la brit-mila ( l'Alliance/ la Circoncision ) de Yéshoua (Jésus), selon la Loi Juive ( La Hala'ha ), soit 8 jours « après sa naissance le 25 Décembre ».
Donc ceux qui fêtent le 1er Janvier, célèbre aussi une fête Juive, l'anniversaire de sa brit-mila ( l'Alliance/la Circoncision ), qui se trouve en plus être la date du changement d'année de ce calendrier.
André BARMO'HA
Publier un nouveau commentaire