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Valérie Benguigui, comme t’y étais belle

Valérie Benguigui, comme t’y étais belle

 

 

Valérie Benguigui est morte. L’actrice et metteur en scène est décédée lundi soir des suites d’un cancer du sein, selon Paris Match. Elle avait 47 ans. Elle avait été récompensée en février dernier par un César de la meilleure actrice dans un second rôle pour le film Le Prénom, tiré d’une pièce éponyme. Ce film d’Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte a totalisé plus de 3,3 millions d’entrées en France.

L’actrice, qui s’est éteinte lundi soir, a succombé des suites d’un cancer du sein contre lequel elle se battait depuis de longs mois.

Valérie Benguigui avait joué dans de nombreuses fictions au cours de sa carrière: on se souvient particulièrement de ses rôles dans Comme t’y es belle de Liza Azuelos , La vérité si je mens! de Thomas Gillou, Tête de Turc de Pascal Elbé et, plus récemment, dans Les Tuche d’Olivier Baroux, va laisser une place vide importante dans le cinéma français.

Ancienne élève du Cours Florent et de l’école du Théâtre national de Chaillot, Valérie Benguigui avait débuté sa carrière au cinéma en 1986, dans un film de Francis Huster, « On a volé Charlie Spencer! » et à la télévision dans « Palace » de Jean-Michel Ribes. Elle a incarné l’avocate Nadia Botkine de 2001 à 2005 dans la série télévisée Avocats et associés et joué dans la série Kaamelott. Au théâtre, où elle a mis en scène plusieurs spectacles de Valérie Lemercier et unOne woman show de Charlotte de Turckheim,  elle a joué en 2007 dans « La Mémoire de l’eau », avec Florence Pernel et Charlotte Valandrey. Valérie Benguigui était  mariée à Eric Wapler, comédien et directeur de restaurant qu’elle avait connu au Cours Florent.

L’agent artistique de Valérie Benguigui a officiellement confirmé cette triste nouvelle mardi matin. Ci-dessous, nous vous proposons de (re)découvrir la bande-annonce du film Le Prénom.

Commentaires

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Réflexion :

Je respecte l'opinion de chacun, mais je ne partage pas cette fascination des personnes public Artiste ou non.

Sans rapport direct avec la personne citée dans l'article, je m'intérroge sur cette fascination.

En quoi, le judaïsme d'une personne est important, au point de parler d'elle uniquement pour cette raison, sachant que le plus souvent, que "son seul fait d'arme" est "d'être tombé dedans à la naissance" ??...

A l'inverse des exemples comme la famille Klarsfeld ( pourtant ses membres Juifs que partiellement selon la hala'hah ) et autres Josy Eisenberg etc........, des représentant admirables et des modèles du genre dans les familles Juives.

Je regarde avant tout en quoi "une personne", s'investie pour les autres, et non que pour sa "petite personne".

Le paradoxe, un terme convenant souvent au judaïsme et à Israël, s'agissant de "Juif français", je constate que bien souvent ceux sont des Juifs, rejetés par les règles du judaisme français* ou des Juifs "laïcs" ou "du moins très peu soucieux du fait religieux", qui s'investissent le plus vis à vis de la communautée Juive ou pour Israël.

* ( dans d'autres pays les règles sont différentes, alors qu'en France, Juif "que par leur père" ).

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