Ces valeurs morales et ces principes universels, c’est cette instance suprême de l’Olympisme qu’est, précisément, ce Comité International Olympique (CIO) que vous présidez aujourd’hui, Monsieur Rogge, qui ne cessa, au cours de son histoire, de les trahir, pour n’en faire, trop souvent, que d’obscurs alibis, souvent purement théoriques, destinés à mieux dissimuler ses propres et graves dérives idéologiques.