C'est l'histoire d'un chat qui, dans les années 1920, avale un perroquet. Du coup, il parle (beaucoup) et veut (encore plus) faire sa bar-mitsva. Dieu frémit, et les lecteurs se précipitent : ils ont dévoré Le Chat du rabbin (en neuf ans, 900 000 exemplaires et cinq tomes). Un triomphe pour son « maître », Joann Sfar, qui a croulé sous les propositions d'adaptation. Il en a refusé sept, avant de se décider à porter lui-même à l'écran son épopée caustique, romanesque et chatoyante, de la casbah d'Alger au cœur du désert africain.