Les juifs du maroc votre place est au maroc !!!!!

On veut vraie lumière! divine de spiritualité profonde qui fait briller nos yeux par Dieu de toute l'humanité!

Citation
sahara
Par Ruth Grosrichard* (publié par un forumien le 23/11/2008)
Le juif en nous. Au cœur de l’identité marocaine

Aux origines de notre drapeau
À l’origine, le drapeau du Maroc, utilisé pour la première fois au Xème siècle par l’Almoravide Youssef Ben Tachfine, était… blanc, sans aucun ornement. C’est la dynastie mérinide qui, trois siècles plus tard, y ajouta le sceau de David, une étoile à six branches. Même si aujourd’hui, “l’étoile de David” est universellement considérée comme le signe distinctif du peuple juif (elle figure sur le drapeau d’Israël), il faut rappeler que David, ou Daoud, est un prophète biblique, autant révéré par les juifs que par les musulmans. C’est donc sans gêne ni ambiguïté que les Mérinides se choisirent l’étoile à six branches pour eau pour le rouge, au XVIIème siècle. La monnaie en usage au Maroc conservera aussi, jusqu’au début du XXème siècle, l’étoile à six branches pour motif.

Il faudra attendre le maréchal Lyautey, premier Résident général de France au Maroc, pour que l’étoile marocaine perde une branche. C’est en effet à son instigation que le Sultan Moulay Hafid édicta, en 1915, un Dahir disposant “nous avons décidé de distinguer notre bannière en l’ornant au centre d’un sceau de Salomon à cinq branches, de couleur verte, pour qu’il n’y ait point de confusion entre les drapeaux créés par nos ancêtres et d’autres drapeaux”. Qu’avait Lyautey en tête, exactement ? Nul ne peut l’affirmer avec exactitude, mais il n’est pas interdit de penser que l’antisémitisme, largement répandu dans l’Europe de l’époque, n’ait pas été complètement étranger à sa décision.

Bonjour SAHARA,

Tu as cité un long texte à la page précédente que tu attribues,dans son intégralité, à Madame Ruth Grosrichard...

Je ne pense pas qu'un professeur agrégé de langue et civilisation arabes ait pu écrire la première partie que j'ai remis en ligne...par contre elle l'a cautionnée dans Telquel du 22/11/2008...

C'est assez gênant car ne pas savoir,à ce niveau là,que le sultan du Maroc en 1915 était Moulay Youssef pose question...

De même le contenu du Dahir du 17 novembre 1915 portant description du nouveau drapeau de l'Empire Chérifien a été volontairement modifié et une partie totalement occultée....le tout pour suggérer que LYAUTEY était un antisémite...antisémite par rapport à quoi?...par rapport au drapeau de l'Etat d'Israël?....en 1915?...

Lyautey,que ça plaise ou non, était particulièrement estimé de la communauté juive du Maroc...
Pièces jointes:

à la sauvette avant de trouver plus de temps pour lire Cigalou que je trouve son intervention intéressante et utile
j'ai envi de partager avec vous cette sublime chanson



qui dira mieux en chantant cette musique andalouse?

bon je me dépêche car je dois me lever trop tôt demain
mes amitiés à vous tous

A PROPOS DES ARMOIRIES DU MAROC

L'heraldique est une "science" qui a perdu de son importance depuis longtemps. Mais un principe de base y etait toujours respecte. Lorsqu'on represente des animaux sur des armoiries, ils doivent TOUJOURS avoir la queue en l'air. Bien evidemment, cette exigence a une connotation sexuelle puissance, virilite, ardeur, courage, etc...).

Or, lorsqu'en 1956 "on" decida de confier a un dessinateur le soin de composer les armes officielles du Maroc, on n'a pas fait attention a ce detail. Les deux lions qui encadrent les armes du Maroc ont la queue en bas!

Vous pouvez faire des recherches sur internet. Aucun pays, aucune famille "noble" ne fait figurere des animaux (lions, griffons, pantheres, etc...) avec la queue en bas. Est-ce un mauvais tour qu'a joue le dessinateur (anonyme?) des armoiries du Maroc? Jew serais curieux d'avoir la reponse.
Pièces jointes:

Illustration de ma remarque ci-dessus. Les armoiries des Pays-Bas, avec deux lions la queue en l'air.
Pièces jointes:

morte de rire !!!
E

Voilà peut être le genre de femme sur laquelle Haifa prétend avoir flashé !

Sovlanout,

haq haq. Lache un peu Haifa.

Bonjour cigalou
sur le texte copie collée j'avais précisé qu'il était pris d'un forum
Merci de ton intervention précieuse sur ce sujet

Bonsoir mes Amis (es),

ce qui me fait mal,que beaucoup de juive marocain en quitté leur paix,pourquoi et comment et jusqu'à quand?ils doives revenir a leur terre,moi je suis un marocain musulman,et pour moi cette chose n'a aucun chose,car bon peut être c(été une raison économique ou soi disant étude,mais on part et envient,mais de laissez votre paix a toujours,je trouve ça et malheureux,alors que nos juives marocain et partout dans le monde,alors jusqu'à quand,le Maroc a besoin de vous ,car c'est votre paix et vous devez avoir de fierté,merci a vous

[www.israel-infos.net]
Maroc - Le nouvel Eldorado de la mafia israélienne
par David Koskas

A la demande d'Interpol, la police marocaine vient de lancer des investigations sur les mouvements des membres de la mafia israélienne vers le royaume chérifien.

Des policiers marocains se sont rendus discrètement dans des synagogues de Casablanca et de Marrakech, à la recherche d'informations sur des Israéliens recherchés dans leur pays d'origine et arrivés depuis peu au Maroc.

Jérusalem a transmis des requêtes l'organisation internationale Interpol, qui s'est ensuite tournée vers la police marocaine.
"Ils ont posé des questions générales sur ces gens", a raconté un des leaders de la communauté juive marocaine, interrogé par les policiers, à un journaliste d'Haaretz.

"Je n'ai pas eu l'impression qu'ils voulaient aller au fond des choses, et je n'avais de toute façon rien à leur dire".

"J'en connais quelques-uns et je les ai même vus, mais j'ai aucun intérêt à être impliqué dans cette affaire", a-t-il confié, en précisant néanmoins qu'il ne les avait pas vu depuis qu'il s'était entretenu avec la police. Gabi Ben-Harush et Shalom Domrani figurent parmi les individus recherchés.

D'après le quotidien israélien, Ben-Harush, ancien associé de la famille mafieuse Abergil, vit dans une des rues principales de Casablanca, "au deuxième étage d'un bâtiment d'apparence ordinaire".

Il a fui Israël il y a 10 ans, en direction des Etats-Unis, après qu'il a été impliqué dans une affaire de blanchiment d'argent à grande échelle autour de la Trade Bank de Tel Aviv.

Arrêté à deux reprises par les Américains sur leur territoire, il échappa à chaque fois à la prison en servant de témoin.
Sa deuxième collaboration avec la justice ne put toutefois lui éviter l'expulsion.

Conscient qu'il serait appréhendé aussitôt arrivé en Israël, il choisit de se rendre plutôt au Maroc, pays dont il est également citoyen.
Une fois sur place, Ben-Harush apparemment décidé de devenir religieux : il porte à présent barbe et kippa.
"Maintenant, il travaille pour Dieu", confirme un de ses amis. Ben-Harush a encore quelques affaires en Israël qui lui fournissent un revenu, ajoute-il, mais rien au Maroc.
"Il reçoit souvent des invités d'Israël et n'a peur de personne", précise cet ami.

La religion semble avoir aussi influencé Domrani: il serait venu se réfugier au Maroc sur les conseils de rabbins.
Et des amis israéliens de la "Fédération mondiale des Juifs marocains" l'auraient aidé à préparer son arrivée.

"Il est venu ici pour faire des affaires, parce qu'en Israël la police ne le laissait pas tranquille, il doit subvenir aux besoins de sa famille", explique un de ses associés. Il serait néanmoins revenu discrètement en Israël pour les fêtes juives.

Il faut ajouter que le Royaume chérifien présente de bonnes opportunités économiques, selon des hommes d'affaires israéliens déjà sur place.
Domrani, apparemment actif dans la distribution de légumes, pourrait en tirer profit.

Si les criminels israéliens se réfugiaient auparavant en Afrique du Sud, en Turquie ou au Mexique, comme l'explique un responsable de la police de l'Etat hébreu, "le Maroc est maintenant leur nouvelle destination". Ils savent que l'absence de traité d'extradition entre les deux pays les protège, relativement en tout cas.
Et ils peuvent continuer, à distance, leurs activités en Israël.


[www.haaretz.com]