INFOS D'ISRAEL 6

Des photographes professionnels ont analysé et agrandi les photos. Je vous préviens, l'image est dure.

[littlegreenfootballs.com]

bien vu surfeuse.. on a vu toutes ces images retapees par fotoshop a la tele israelienne .

en ce qui concerne l info sur la gay pride espagnole....

A Madrid, les homos pro-israéliens interdits de Gay Pride
Rédigé par JSS le Jun 8th, 2010 and filed under Europe, Occident. Vous pouvez suivre les réponses à cet article grâce au RSS 2.0. Vous pouvez laisser une réponse ou un trackback à cet article

On croyait la communauté homosexuelle tolérante. On la croyait ouverte et intelligente. On pensait qu’avec toutes les discriminations qu’elle subit, elle ne tomberait pas dans le panneau de l’antisémitisme déguisé en anti-sionisme. C’était malheureusement trop beau pour être vrai.

Après les cinémas Utopia interdits aux israéliens (et aux chiens?), voilà la Marche des Fiertés homo interdits à ces mêmes israéliens (et par extension à tous ceux qui soutiennent “l’Etat sioniste”). En d’autres termes, la politique internationale fait faire et dire n’importe quoi à n’importe qui. Les gays espagnols semblent oublier l’accueil chaleureux réservé à leur communauté en Israël et particulièrement à Tel-Aviv (des dizaines de millions de shekels sont investis tous les ans à Tel-Aviv uniquement pour la communiqué gay (promotion de la tolérance, tourisme gay, gay pride, etc…).



Les organisateurs de la “Gay Pride” de Madrid ont interdit la participation d’un groupe d’homosexuels israéliens qui devait défiler en représentation de la mairie de Tel-Aviv, parce que celle-ci n’a “pas condamné” l’arraisonnement meurtrier d’une flottille pro-palestinienne terroriste.

“Après cette attaque, et en constatant qu’il n’y avait pas de condamnation de la part de la mairie de Tel-Aviv, nous avons décidé de ne pas permettre la participation” de ce char au défilé de la Gay Pride, le 3 juillet, a indiqué aujourd’hui Antonio Poveda, président de l’association organisatrice FELGTB. Sur internet, une campagne de “pourrissage de son profil Facebook” a commencé. Les instigateurs appellent les israéliens à se rendre sur sa page Facebook et à lui envoyer un message le traitant, en hébreu, arabe, anglais, français, espagnol ou n’importe quelle autre langue, de fasciste.

Cela devient vraiment n’importe quoi! Pourquoi ne pas inviter Erdogan et son pote Ahmadinejad à défiler à Madrid avec les gays pendant qu’on y est!

Concernant les "photos", on a déjà commencé la guerre des photos : Entre d'un coté des stocks d'armes qui dateraient de 2003, montrés par l'armée israélienne sur Flickr et d'un autre coté ses photos humiliantes et redécoupées (?)... J'ai tendance à pas trop vouloir me faire manipuler.
J'attends de voir ce que va dire la commission d'enquête indépendante.


Je trouve stupide de participer à isoler la population israélienne au seul prétexte que le gouvernement israélienne mène une politique catastrophique et dangereuse.
Il faut au contraire tendre la main.
Donc il faut revenir sur ces décisions que ça soit la gay pride de Madrid ou le cinéma Utopia (je crois?).

La seule chose à souhaiter c'est qu'au prochaines élections les israéliens puisse avoir un choix éclairé avec la possibilité de reconduire les politiques actuelles ou d'avoir un vrai changement avec des objectifs plus grands, à l'image du pays, de ses habitants et des personnalités comme Rabin, Ben Gourion etc autres... qui ont su donner au sionisme des marques de noblesses et de grandeur.

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DU SOUTIEN à ISRAEL (photos)



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Enfin quelque chose de positif !


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[www.juif.org]

Utopia revient sur sa décision de déprogrammer un film israélien
Par Zineb Dryef | Rue89 | 08/06/2010 | 19H00

La décision du réseau de salles de cinéma Utopia de déprogrammer le film israélien « A cinq heures de Paris » de Leon Prudovsky, pour protester contre l'offensive de Tsahal contre la flottille de la paix, a provoqué stupeur et incompréhension dans le monde du cinéma. Pourquoi refuser de diffuser un film sans aucune portée politique au seul prétexte de sa nationalité ?

Anne-Marie Faucon, co-responsable d'Utopia, avait ainsi justifié le boycott :

« Notre démarche est un appel à la réflexion et à la liberté. C'est aussi un message aux réalisateurs israéliens, pour les inciter à réfléchir à ce qui se passe dans leur pays. Les cinéastes qui travaillent avec des fonds israéliens cautionnent, dans un sens, la politique de leur pays. »

A la place du film initialement prévu, Utopia avait reprogrammé « Rachel » de Simone Bitton, une enquête sur les circonstances de la mort de Rachel Corrie, militante américaine tuée dans la bande de Gaza en 2003.
« Marga » et « A cinq heures de Paris » seront diffusés

Profondément heurté par cette décision, le réalisateur Ludi Boeke, dont le film « Marga », l'histoire de Justes allemands, était programmé dans ces mêmes salles, a d'abord décidé de l'en retirer. Dans un communiqué datant du 7 juin, il écrit :

« La décision de ce réseau de salles d'exclure un film israélien en raison de la politique de son gouvernement est d'autant plus injustifiable que le public français a pu voir, depuis dix ans, les œuvres courageuses et contestataires réalisées par les cinéastes israéliens. Tout le contraire de films de propagande.

Ces films sont financés en partie par un fond public (Israel Film Fund) attaqué sans cesse par la droite israélienne et encore récemment pour avoir financé le film “Ajami”. »

Pourtant, après une « longue » discussion avec les responsables d'Utopia, Ludi Boeke a accepté de revenir sur sa décision. « Marga » sera bien diffusé dans les salles d'Utopia comme… « A cinq heures de Paris », le fameux film déprogrammé.
« Est-ce qu'on a bien fait ? Je n'en sais rien »

Contactée par Rue89, Anne-Marie Faucon explique qu'Utopia n'a jamais eu l'intention de déprogrammer définitivement le film de Leon Prudovsky et évoque une mauvaise compréhension de la décision de le retirer des salles :

« C'était une réaction à chaud par rapport à ce qui se passait en Israël. A chaque fois qu'on fait un débat sur le Proche-Orient, personne n'en a jamais rien su. A une autre échelle, quand l'ONU prend des résolutions, tout le monde s'en tape !

Là, on s'est dit qu'il fallait se faire entendre. Ça a marché. Est-ce qu'on a bien fait ? Je n'en sais rien, mais c'est la première fois, en trente ans, que la presse se mobilise pour quelque chose qu'on fait.

On ne boycotte pas le cinéma israélien, on bloque ponctuellement un film pour des raisons médiatiques. »

Dans un texte co-signé par Utopia et Ludi Boeke, Anne-Marie Faucon reconnaît avoir retiré le film un peu rapidement :

« Il nous a semblé que, citoyens de base, animateurs d'un cinéma, le seul moyen pacifiste et visible qui était à notre portée pour attirer l'attention et dire notre désapprobation était la déprogrammation d'un film, là par hasard, produit avec l'aide de l'organe de production officiel d'Israël.

Ce que le réalisateur de “Marga” nous a appris, c'est que la droite et l'extrême droite israéliennes s'attaquent à ce fond et contestent la trop grande liberté d'expression des réalisateurs. Il est probable que la connaissance de cet état de fait aurait pu influer sur notre décision… »

Un débat sur le cinéma israélien sera organisé bientôt par Utopia. Une occasion de voir plusieurs films israéliens, dont « A cinq heures de Paris ».

A propos de Eredouan et de son cheval.

Je trouve desolant de faire descendre ce forum au niveau des moqueries du niveau jardin d'enfants, ou au maximum ecole primaire pour handicapes mentaux.


Et puis... J'aimerais bien voir des dames ayant depasse la cinquantaine et un peu fortes des entournures affronter un cheval capricieux

Je ne defends pas le premier ministre turc. Je defends le niveau du forum Dafina.

il avait qu a pas essayer de monter ce cheval a son age ce con...
comme c est moi qui ai mis ces images je suppose qu il s agit de mes entournures ... alors saches cher ami que mes entournures elles ont fait tourner la tete de plus d un cheval....
deuxio moi je n ai pas besoin de bretelles pour contenir mes entournures.
ceci dit c est tres rigolo le mot entournures de la part de quelqu un dont lesentournures sont si saillantes qu il ne peut pas voir ses chaussures... et je dis chaussures pour rester polie...

rali la simone bitton c est tali fahima version francaise.... on s en bat les entournures de ce qu elle fait et dit.. et le cinema utopia il est ou exactement ? et zineb c est qui ?
arrete de nous poster des trucs gauchistes... le gouvernement d israel c est le peuple israelien qui l a choisi... va combattre les dictateurs.. arabes perses syriens.... la, ya du boulot.... .nous on se paiera le luxe d etre socialistes quand en face on aura des gens civilises . comme c est pas demain la veille...

Citation
marylou
rali la simone bitton c est tali fahima version francaise.... on s en bat les entournures de ce qu elle fait et dit.. et le cinema utopia il est ou exactement ? et zineb c est qui ?
arrete de nous poster des trucs gauchistes... le gouvernement d israel c est le peuple israelien qui l a choisi... va combattre les dictateurs.. arabes perses syriens.... la, ya du boulot.... .nous on se paiera le luxe d etre socialistes quand en face on aura des gens civilises . comme c est pas demain la veille...

Je sais pas pourquoi me parle de cette Tali fahima?

Utopia avait interdit un film israelien pour le réautorisé. Zineb Dryef, c'est une journaliste.

Quand au gouvernement israelien, qu'Israel l'ait choisi... C'est possible.
Mais il mène ce pays à la catastrophe. J'ai le droit de le penser, le dire et l'affirmer du moment que derrière c'est argumenter.

Je ne suis pas sur un forum syriens ni perses...et je n'ai jamais dit que la Syrie ou l'iran était des démocraties.. ..
Mais rien ne t'interdit d'ouvrir un thread avec comme sujet la Syrie ou l'Iran et leur systèmes politiques respectifs. Il y a beaucoup à dire.
Je te rappelles que ce forum parlent essentiellement de 3 sujets :
- Israel au sens large
- Les juifs marocains
- et le Maroc au sens large

Le reste (France, iran, Algérie, islam, ...) est intéressant mais est secondaire

Un peu de post modernisme!

Un «loft» israélo-palestinien original à la télé française

Par Marion Brunet

A partir de septembre, douze Israéliens et Palestiniens de 18 ans seront enfermés pendant trois semaines dans une maison près de Marseille. Sous l'œil des caméras du producteur français Mohamed Ulad, ils devront négocier pour aboutir à un accord de paix.

Douze jeunes de 18 ans enfermés pendant trois semaines dans une maison sur l'archipel du Frioul. Six Palestiniens et six Israéliens. Moitié filles, moitié garçons. Une énième émission de télé-réalité ? Pas vraiment. Si l'émission intitulée «Les Accords de Marseille» s'en inspire, il s'agit plutôt ici de confronter au quotidien les points de vues de jeunes que tout sépare dans leur pays. Et de tenter d'apporter une pierre à la résolution du conflit par la tenue régulière de négociations entre les deux camps.

Pas de direct donc, ni de caméras 24 heures sur 24 ou d'images des chambres. Le réalisateur français Mohamed Ulad, à l'origine du projet, a tenu à fixer des limites. «Lorsque j'étais là-bas il y a une semaine pour lancer le casting, le journal Haaretz m'a demandé si je montrerai à l'écran les potentielles histoires d'amour entre Israéliens et Palestiniens, raconte au Figaro.fr le producteur de l'émission. Je leur ai répondu que non, à mon grand regret. Car même si cela peut représenter un beau symbole, je ne veux pas rentrer dans l'intimité de ces jeunes, c'est un sujet trop sérieux pour cela. Les caméras s'arrêteront donc à l'entrée des chambres».

Une expérience «scientifique»

Seul lien avec la télé-réalité : l'enfermement dans un lieu unique. «C'est totalement lié à ma démarche puisque je voulais réunir ces jeunes dans un endroit neutre, loin de leurs proches et de leur pays, pour qu'ils puissent découvrir leur histoire respective», poursuit Mohamed Ulad, qui a co-écrit le projet avec la philosophe franco-israélienne Sophie Nordmann. Pourquoi le Frioul ? Cet archipel, tourné vers la Méditerranée et situé face à la ville métissée de Marseille, s'est rapidement imposé au réalisateur comme un lieu symbolique.

«L'idée était de créer une émission audiovisuelle qui soit à la fois une expérience «scientifique» et un projet avec des répercussions sur les protagonistes eux-mêmes, les téléspectateurs et le débat public, résume ainsi celui qui est également le compagnon de Mazarine Pingeot, la fille de François Mitterrand. Je veux restituer ce conflit dans sa complexité pour le rendre accessible au plus grand nombre».

Une dizaine d'épisodes de 26 minutes

Alors que le tournage des «Accords de Marseille» ne devrait pas commencer avant septembre prochain, une dizaine d'épisodes de 26 minutes sont déjà prévus et devraient être diffusés sur France 5. Chaque «documentaire» sera divisé en deux parties : une consacrée à diverses activités sportives et culturelles, l'autre aux négociations autour d'une problématique de paix (le statut de Jérusalem, les frontières, les réfugiés palestiniens, etc). Deux parrains, l'un israélien, l'autre palestinien, les encadreront dans leur négociations - mais sans jamais interférer - pour leur apporter des repères historiques et politiques.

«Aboutir à un accord de paix au terme de l'émission n'est pas le plus important pour moi. C'est surtout le parcours que feront ces jeunes issus d'horizons politique, géographique et sociologique différents qui va compter, souligne le réalisateur. Ce qui est sûr en tous cas, c'est qu'on ne les poussera pas vers un accord. Mais s'il y en a un, on l'adressera certainement aux autorités des deux pays».

Je joins ce témoignage pour ceux qui ne l'ont pas lu :

Israel-Gaza: alto a la desinformación
Nadie muere de hambre en Gaza, Israel solo bloquea la entrada de armas. Pero unos tontos útiles se embarcaron en una epopeya miserable, cayendo en la trampa de los fanáticos del Apocalipsis antijudío
BERNARD-HENRI LÉVY

Elpais.com

08/06/2010

Evidentemente, no he cambiado de posición. Como dije ese mismo día en Tel Aviv, durante un acalorado debate con un ministro de Netanyahu, la forma en que se desarrolló el asalto, frente a las costas de Gaza, del Mavi Mármara y su flotilla me sigue pareciendo "estúpida".

¿Cómo un escritor del temple del sueco Henning Mankell ha podido dejarse engañar?

Los batallones de tartufos lamentan que Israel no se preste a un simulacro de justicia universal

Y si me hubiera quedado la más mínima duda de ello, el abordaje, este sábado por la mañana y sin violencia alguna, del séptimo navío habría terminado de convencerme de que había otras formas de actuar para evitar que se cerrase así, es decir, con un baño de sangre, la trampa táctica y mediática que le tendieron a Israel los provocadores de Free Gaza.

Una vez dicho esto, tampoco se puede aceptar, no obstante, el raudal de hipocresía, mala fe y, por si fuera poco, desinformación que parecía no esperar sino este pretexto para, como siempre que el Estado judío da un traspié, inundar los medios de comunicación del mundo entero.

Desinformación: la fórmula, machacada ad náuseam, del bloqueo impuesto "por Israel", cuando la más elemental honestidad exigiría que se precisara: "por Israel y por Egipto", conjuntamente, por ambas partes, por los dos países idénticamente fronterizos con Gaza. Y esto con el beneplácito apenas disimulado de todos los regímenes árabes moderados, encantados de ver a otro contener, en interés y para satisfacción de todos, la influencia de ese brazo armado, de esa avanzadilla y, un día, tal vez, de ese portaaviones de Irán en la región.

Desinformación: la idea misma de un bloqueo "total y despiadado" (Laurent Joffrin, en su editorial del diario francés Libération del 5 de junio) que convierte "en rehén" (ex primer ministro Dominique de Villepin, en Le Monde del mismo día) a la "humanidad en peligro" de Gaza. El bloqueo, no nos cansaremos de recordarlo, solo atañe a las armas y a los materiales que sirven para fabricarlas, y no impide que pasen desde Israel entre 100 y 120 camiones diarios cargados de víveres, medicamentos y material humanitario de toda clase. La humanidad no está "en peligro" en Gaza. Decir que en las calles de la ciudad de Gaza se "muere de hambre" es mentir. Podemos discutir si el bloqueo militar es o no la mejor opción para debilitar y, un día, derribar al Gobierno fascislamista de Ismail Haniyah, pero lo que es indiscutible es el hecho de que los israelíes que sirven, día y noche, en los puestos de control entre ambos territorios son los primeros en hacer la elemental pero esencial distinción entre el régimen (que hay que intentar aislar) y la población (a la que se cuidan mucho de confundir con ese régimen y, aún más, de penalizar, pues, lo repito, la ayuda nunca ha dejado de llegar).

Desinformación: el silenciamiento prácticamente total, en el mundo entero, de la increíble actitud de Hamás, que, ahora que el cargamento de la flotilla ha cumplido su función simbólica; ahora que ha servido para incitar al Estado judío al error y para reactivar con más fuerza que nunca la mecánica de su demonización (Libération, de nuevo, publicaba un terrible titular: Israel, Estado pirata, que, si las palabras aún significan algo, solo puede entenderse como una deslegitimación del Estado hebreo); ahora que, en otras palabras, son los israelíes quienes, una vez llevada a cabo la inspección, deciden encaminar la ayuda hacia sus supuestos destinatarios, se silencia, decía, la actitud de un Hamás que bloquea la mencionada ayuda en el paso fronterizo de Kerem Shalom y deja que se pudra tranquilamente: ¡Al diablo las mercancías que pasaron por las manos de los aduaneros judíos!, ¡A la basura los "juguetes" que han hecho llorar a tantos y tan caritativos europeos, pero que se han vuelto impuros tras las horas demasiado largas pasadas en el puerto israelí de Ashdod! Para el gang de islamistas que, hace tres años, tomó el poder por la fuerza en la franja, los niños de Gaza nunca han sido otra cosa que escudos humanos, carne de cañón o reclamos mediáticos; sus juegos o deseos son la última cosa que les preocupa, pero ¿Quién lo dice?, ¿Quién se indigna por ello?, ¿Quién se arriesga a explicar que si hay alguien en Gaza que toma rehenes, si alguien se aprovecha fríamente y sin escrúpulos del sufrimiento de la gente, y de los niños en particular, en resumen, si hay un pirata allí, no es Israel sino Hamás?

Más desinformación: irrisoria, pero teniendo en cuenta el contexto estratégico, desinformación al fin y al cabo: el discurso en Konya, en el centro de Turquía, de un primer ministro que encarcela a cualquiera que ose evocar públicamente el genocidio armenio y tiene la desfachatez de denunciar el "terrorismo de Estado" israelí ante miles de manifestantes exaltados que vociferan eslóganes antisemitas.

Y aún más desinformación: los lamentos de los tontos útiles que cayeron, antes que Israel, en la trampa de esos extraños "activistas humanitarios" que son, la IHH turca (Humanitarian Relief Foundation en sus siglas en inglés, Insani Yardim Vakfi en sus siglas en turco), por ejemplo, adeptos a la yihad, fanáticos del apocalipsis antiisraelí y antijudío, hombres y mujeres que, en algunos casos, pocos días antes del asalto afirmaban que querían "morir como mártires" (The Guardian del 3 de junio, Al Aqsa TV del 30 de mayo). ¿Cómo un escritor del temple del sueco Henning Mankell ha podido dejarse engañar así? ¿Cómo, cuando dice estar considerando la posibilidad de prohibir la traducción de sus libros al hebreo, puede olvidar la sacrosanta distinción entre un Gobierno culpable o estúpido y toda esa multitud que no se identifica en absoluto con este? ¿Cómo ha podido asociar a uno y otro en el mismo insensato proyecto de boicot? ¿Cómo una cadena de salas de cine (Utopia) puede, en Francia de nuevo y exactamente de la misma forma, desprogramar el estreno de una película (A cinco horas de París) solamente porque su autor (Leonid Prudovsky) es ciudadano israelí?

Desinformadores, finalmente, los batallones de tartufos que lamentan que Israel eluda las exigencias de una investigación internacional cuando la verdad es, de nuevo, mucho más simple y más lógica: lo que Israel rechaza es la investigación solicitada por un Consejo de Derechos Humanos de la ONU en el que campean a sus anchas esos grandes demócratas que son los cubanos, los paquistaníes y otros iraníes; lo que Israel no quiere es una dinámica como la que desembocó en el famoso informe Goldstone, encargado tras la guerra de Gaza por la misma simpática Comisión y con ocasión del cual pudimos ver a cinco jueces, de los que cuatro nunca han ocultado su antisionismo militante, reunir en unos días 575 páginas de entrevistas de combatientes y civiles palestinos llevadas a cabo (¡herejía absoluta y sin precedentes en este tipo de trabajo!) bajo la atenta mirada de los comisarios políticos de Hamás. Lo que Israel ha hecho ha sido advertir (¿cómo reprochárselo?) que no se prestará al simulacro de justicia internacional que representaría una investigación chapucera, con unas conclusiones conocidas de antemano y que solo apuntaría, como de costumbre, a sentar, de forma perfectamente unilateral, a la única democracia de la región en el banco de los acusados.

Un último apunte. Para un hombre como yo, para alguien que se honra de haber contribuido a inventar, junto con otros, el principio de este tipo de acciones simbólicas (Un barco para @#$%&; Marcha por la supervivencia de Camboya en 1979; boicots antitotalitarios varios; o, más recientemente, violación deliberada de la frontera sudanesa para romper el bloqueo al abrigo del cual se perpetraban las masacres en masa de Darfur), para un militante, en otros términos, de la injerencia humanitaria y del ruido que conlleva, hay en esta epopeya miserable una especie de caricatura, una mueca lúgubre del destino. Razón de más para no ceder. Razón de más para rechazar esta confusión de géneros, esta inversión de signos y valores. Razón de más para resistirse a esta tergiversación que pone al servicio de los bárbaros el espíritu mismo de una política que fue concebida para combatirlos. Miseria de la dialéctica antitotalitaria y de sus virajes miméticos. Confusión de una época en la que se combate a las democracias como si se tratara de dictaduras o Estados fascistas. Israel está en el centro de este torbellino de odio y locura, pero al mismo tiempo, no lo olvidemos, algunas de las conquistas más preciadas, en la izquierda sobre todo, del movimiento de las ideas de los últimos 30 años se ven así en peligro. A buen entendedor...

Bernard-Henri Lévy es filósofo francés.

Traducción de José Luis Sánchez-Silva.

Difusion: www.porisrael.org

MOLLY

Pour le fichier que je n'ai pas su joindre,

veuillez vous reporter sur le site www.israel7.com et lire le témoignage de Mohamed Baltagi, membre
du parlement Egyptien du parti des frères musulmans - sur l'assaut Israelien du navire MARMARA -
intitulé "UN EGYPTIEN TEMOIGNE" -

Citation
marylou

... alors saches cher ami que mes entournures elles ont fait tourner la tete de plus d un cheval....
ceci dit c est tres rigolo le mot entournures de la part de quelqu un dont lesentournures sont si saillantes qu il ne peut pas voir ses chaussures... et je dis chaussures pour rester polie...

Voila du Marylou telle que nous l'aimons! Percutante, repondant du tac-au-tac, se flattant de ses succes (passes?), et restant dans les limites du bon ton. Bref, comme on dit chez nous, une sympatique "flifla".

Ceci dit, chere Marylou, ta memoire te trahit. Je n'ai jamais eu aucune difficulte a "voir mes chaussures" (pour rester egalement poli). D'autant plus qu'a la suite d'un petit incident de sante que j'ai eu l'an dernier, je respecte a la lettre les recommandations d'une excellente dieteticienne. C'est pourquoi, moi aussi, je fais touner la tete a plus d'une...jument (pour utiliser ton vocabulaire equestre).

cafe oui, turc non.
Pièces jointes:

Je l'aimais beaucoup de café -

je me corrige, je l'aimais beaucoup ce café -

rodeo est un sport a risque et exige beaucoup mais BEAUcoup d'entrainement avant de s'aventurer sur un cheval dechaine.

je salue Tayeb erdogan pour son courage exeptionnel. un vrai judoka

il n'est pas turc pour rien.

par ailleur, on s'allonge sur le sable, on glisse sur neige, on s'enroule sur le gazon.
Dommage qu ' a mesure on gradit, on se prive de ce bohneur d'enfant.

un corp qui tombe est un corps heureux.

Citation
Orchidée
je me corrige, je l'aimais beaucoup ce café -

je te corrige aussi

comme les fleurs, orchidee par exemple, la qualite du gout n' a rien a voir avec la politique.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 10/06/2010 16:39 par to-be-free.