Share |

Recentes Publications

Dans "La vérité si je mens", on suivait la plongée d'Eddie (Richard Anconina), un jeune "goy", dans une entreprise de textile du quartier du Sentier à Paris, et dans celui de la communauté juive séfarade.

L'Institut Français d'El Jadida a organisé une rencontre littéraire avec le romancier Jacob Cohen autour de son nouveau roman "Le destin des soeurs Bennani-Smirès" à El Jadida le 25 janvier 2012. Cette rencontre a été animée par le professeur Abdelali Errhouni.

Ces derniers événements démontrent, ce que nous savions déjà, à savoir que la junte islamiste au pouvoir à Téhéran n’entretient pas de projet suicidaire. Ses membres connaissent mieux que quiconque la réalité des rapports de force, à la fois économiques et militaires, et ils s’abstiennent de tout acte téméraire.

En dépit des conflits récurrents qui révulsent le Moyen-Orient, un “dialogue fécond et constructif” entre Juifs et Musulmans n’est pas un voeu chi­mé­rique mais, au contraire, un noble dessein très réalisable. C’est tout du moins le principal credo de la philosophie d’action prônée par les membres, des Juifs et des Musulmans d’origine marocaine, de Mémoires & Dialogue

La publication, en Allemagne, des extraits de Mein Kampf accompagné de commentaires d’un chercheur, agite le spectre de vieux démons que l’on croyait conjurés. Tiré à environ 100.000 exemplaires, cette publication par l’éditeur britannique Peter McGee relance le débat larvé de l’antisémitisme en Allemagne

« Les Israéliens seraient heureux avec une solution à deux Etats. Ce sont les Palestiniens qui ne veulent pas d’une solution à deux Etats, ils veulent éliminer l’Etat d’Israël », a répondu Mitt Romney, en tête des primaires républicaines. « Que ce soit dans le discours politique du Fatah ou du Hamas, il y une croyance selon laquelle le peuple juif n’a pas le droit d’avoir un Etat juif », a-t-il poursuivi.

Il s'appelait Abdelwahab Zeidoun. Titulaire d'un master en documentation de l'université de Fès, dans le centre du Maroc, il participait depuis deux semaines à un sit-in dans une annexe du ministère de l'Éducation à Rabat. Face au refus des autorités de lui accorder un emploi dans la fonction publique, le jeune chômeur s'est aspergé d'essence mercredi dernier, avant de s'immoler par le feu. Atteint de brûlures au deuxième degré, Abdelwahab Zeidoun a succombé mardi à ses blessures.

Les Berbères qui représentent 50 % de la population marocaine se répartissent entre trois grandes régions : le Rif, le Moyen-Atlas et au Sud, la région du Souss. Elles sont régiesrespectivement par trois groupes : le tarifit, le tamazight et le tasoussit ou tachelhit. Initiée par des intellectuels berbérophones de naissance, la revendication berbériste se diffuse maintenant dans toutes les couches de la société marocaine.

Voilà à mon sens le meilleur album de Leonard Cohen depuis The Future, ce qui n’est pas peu dire. À 77 ans, ce relent d’inspiration n’est pas insoupçonné.

Il est vrai, naturellement, que Mme Le Pen déploie une grande énergie pour tenter de dédiaboliser son parti et faire croire qu’il a changé. Mais il est non moins vrai que ce « changement » n’est pas encore allé jusqu’à un désaveu clair, sans réserves ni nuances, des provocations antisémites (Durafour crématoire… les chambres à gaz, détail de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale…) qu’affectionnait son père.

Aujourd’hui, plusieurs journaux marocains (et blogs) l’affirment: « selon certaines sources israéliennes et arabes de palestine, il se fait de plus en plus probable que Benjamin Netanyahu soit le premier officiel israélien à être invité au Mahgreb… Plus précisément au Maroc.

D'anciens manuscrits hébraïques datant du XIe siècle retrouvés en Afghanistan, dans la province de Samangan (Nord), sont l'objet d'un vif intérêt de la part d'universitaires. Les quelque 150 documents, dont des poèmes, des registres commerciaux et des règlements judiciaires, pourraient révéler tout un pan pour l'instant inconnu de l'histoire médiévale de la communauté juive.

La vision d’Israël en tant que creuset d’une nouvelle identité est morte, écrit Uri Avnery : « Israël est désormais une sorte de fédération de plusieurs grands blocs démographiques et culturels qui dominent notre vie sociale et politique. » Il affirme que le ressentiment qu’entretiennent les derniers arrivants, d’abord Sépharades, puis Russes, contre les Ashkénazes qui forment l’essentiel de l’élite du pays, structure aujourd’hui la vie politique, et bloque les perspectives de paix.

La France va mal, même très mal, non pas à cause des étrangers, comme l’Ump et ses alliés naturels de l’extrême droite le laissent entendre, mais par ce qu’elle prend, depuis plus de 30 ans, comme bouc-émissaire les étrangers pour expliquer son mal-être social et économique: l’endettement de l’Hexagone dépasse les 1.700 milliards d’euros, les impôts sur les revenus (52 milliards d’euros) servent à peine à payer le loyer de la dette

Rencontre avec une joyeuse bande d'acteurs qui se sont prêtés au jeu des questions des lecteurs de Ciné-Télé-Revue à l'occasion de la sortie au cinéma de "La Vérité Si Je Mens 3". Anecdotes et impressions de tournage, analyse du film, et surtout, beaucoup, beaucoup de complicité et d'humour ! La vérité, cette petite bande-là s'apprécie aussi dans la vraie vie, et prend plaisir à partager sa passion avec les spectateurs...

"Je suis juif mais je pourrais être noir. Il y a ce racisme de tous les jours, ces blagues que l’on n’a pas envie d’entendre, ces accents sous couvert de l’humour. On hérite de la souffrance de son peuple, c’est inscrit dans me

Plusieurs milliers d'Israéliens, essentiellement des Falashas, juifs d'origine éthiopienne, ont manifesté avant-hier à Jérusalem pour dénoncer le racisme et les discriminations dont ils prétendent être victimes de la part des autorités israêliennes et d'une partie de la population juive du pays.

Sans surprise, l'état des lieux est également contradictoire selon les destinations avec notamment une chute des ventes sur l'Egypte (-60%), la Tunisie (-40%), et le Maroc (-25%).

Dans la seconde moitié du XXe siècle le cinéma marocain s’est penché sur son passé juif à travers trois films : Marock de Laila  Marrakchi  (2005), Oùvas tu Moshe de Hassan Bejelloun  (2007) et Adieu mères de  Mohamed Ismail (2008).

Sur une période de dix semaines fin 2011, j’ai parcouru dix communautés européennes et interviewé des dizaines de juifs et non juifs, dans des domaines différents, afin de me rendre compte de l’étendue de l’antisémitisme et de l’intensité des sentiments anti-israéliens dans ces pays.

En Israël, cette question a, ces temps derniers, occupé le devant de la scène, provoquant des débats houleux et donnant lieu également à des échauffourées violentes dans les quartiers ultra-orthodoxes de Jérusalem et Beit-Shemesh principalement. L’ampleur du phénomène a surpris.

Ils ont beau faire partie de familles politiques extrêmement opposées, être en total désaccord sur d’innombrables questions politiques et pourtant ils ont tous un point en commun : le Maroc. Un Maroc inoubliable qui leur rappelle de doux et tendres souvenirs de leur enfance. « Ils », se sont les hommes politiques français qui ont, ou ont eu, l’ambition de devenir le prochain président français. Focus sur ces hommes qui ont passé leur enfance au Maroc.

‘’Pour une Nouvelle Séville’’, le film présenté en compétition à Tanger, s’intéresse à l’exode forcé des juifs marocains vers Israël, à l’impact qu’il a eu sur ceux qui sont partis, ceux qui sont restés et la terre ancestrale qu’ils ont abandonnée. L’œuvre en même temps porte sur l’identité de Juif-Arabe, cette double identité.

"Il y a de fortes chances que les systèmes informatiques iraniens, l'électricité dans le bureau d'un député indonésien et le gilet pare-balles d'un soldat saoudien viennent d'Israël", affirme le Haaretz dans une grande enquête publiée aujourd'hui.

Contenu Correspondant