Nul n’est resté insensible à ta beauté si particulière. Peut-être même ont-ils eu un peu peur de toi, les hommes. Toi, si charmeuse, si ensorceleuse, si flamboyante. Gainée dans ta robe grenat qui laissait deviner des formes généreuses, ils n’avaient qu’un désir, te déshabiller et t’avoir là, de suite, nue au bout de leurs doigts.