OUJDA, ville frontaliere, son histoire,ses origines..

les canovas étaient effectivement nombreux à oujda

Les miens sont d'origine espagnole, secteur d'Alicante (Orihuela)

Celle qui est devenue Nathalie DELON était (serait?) une cousine de maman

mon grand-père était cuisinier à l'hôtel Simon et habitait Bd FOCH
Je mets une photo de mon Grand-père devant l'hotel Simon avec d'autres personnes.
si cela éveille des souvenirs..

après leur mariage, mes parents habitaient Rue Figui . c'est là que mon frère est né..
Pièces jointes:

Bonjour les Oujdis

Ne jamais oublier de remercier. Combien de questions l'on nous pose au fur des années et combien sont-elles restées sans réponse..?
Nous en connaissons des fois les réponses et souvent nous ne les avons pas mais certains ici font des efforts et c'est notre devoir de le reconnaître et de l'apprécier..

Meskellil est toujours là pour essayer d'apporter la lumière ou un début de lumière et Maurine nous explique,nous informe et nous procure tout ce qui semble pouvoir nous éclairer sur la nature de la question et des limites raisonnables à pouvoir lui trouver réponse..Et toujours , toujours nous en sortons enrichis par leur savoir..

Merci et encore merci de votre patience et gentillesse

Bon week-end à vous tous chers amis

Elie
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Bonsoir marc13300,


Bienvenue dans ce forum.

La cousine de maman,serait la fille de la caissière du Cinéma"ROXY" aux Roches-Noires à Casablanca en 1962 ?????

Nathalie avait épousée Alain Delon.

L'Hôtel SIMON à l'époque était un hôtel de classe,c'était sûr que la cuisine devait être délicieuse !!!!!!


tarzancasa

Pouvez-vous reconnaître ces oujdis?????Allons-y,un peu de suspense

Citation
Meskellil
Pouvez-vous reconnaître ces oujdis?????Allons-y,un peu de suspense

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Meskellil

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Meskellil
Pouvez-vous reconnaître ces oujdis?????Allons-y,un peu de suspense

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Ce sont 4 musiciens, membres de l'association musicale (ANDALOUSIA) d'Oujda(1921),qui avait représenté le Maroc à la foire coloniale de Paris en 1931. / Assis : M.Merzouki / Debout de dr. à g. : M.Ben-Yakhlef , M.Zizi et M.Zine

Bonjour,

Je ne me souviens plus du prénom de mon arrière grand-père mais il était effectivement avocat. C'est d'ailleurs comme ça que ma grand-mère a rencontré mon grand-père. Ce dernier, quant à lui, ne travaillait pas dans le domaine de la justice mais de la construction, ou ce qu'il pouvait faire finalement car n'ayant pas de formation.

De ce que j'ai pu déjà en entendre, mon arrière grand-père était vraiment un bon avocat. Merci pour ces infos en tout cas!

Citation
jibey13
Bonjour,

Je ne me souviens plus du prénom de mon arrière grand-père mais il était effectivement avocat. C'est d'ailleurs comme ça que ma grand-mère a rencontré mon grand-père. Ce dernier, quant à lui, ne travaillait pas dans le domaine de la justice mais de la construction, ou ce qu'il pouvait faire finalement car n'ayant pas de formation.

De ce que j'ai pu déjà en entendre, mon arrière grand-père était vraiment un bon avocat. Merci pour ces infos en tout cas!

Ô Seigneur, l' amnésie oujdie !!!... il me semble que si j'étais dans cette vacuité abyssale, je commencerais par nommer sur leurs branches, tous les fruits de sur mon arbre généralogique..

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Felicitations Badr,

Deux questions, pourquoi avoir choisi l'année 1952 - Est--ce que l' ouvrage est distribué en France, sinon regrets, va falloir me l'envoyer Meskellil.

Citation
Maurine
Felicitations Badr,

Deux questions, pourquoi avoir choisi l'année 1952 - Est--ce que l' ouvrage est distribué en France, sinon regrets, va falloir me l'envoyer Meskellil.

....bien sûr Mireille.....
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mardi 21 décembre 2010
sur l'histoire d'Oujda par Badr Baqri

Maquette_Badr_Maqri_d_c_2010




Oujda, 1952


- Badr Maqri, Oujad, 1952 : l'organisation territoriale d'une ville marocaine sous le protectorat, 2010.

Ce livre propose une brève présentation post-coloniale de l'un des aspects de l'histoire du Maroc colonisé. Le choix de l'organisation territoriale du protectorat français dans le cas de la ville d'Oujda en 1952 (elle a été occupée par Lyautey le 29 mars 1907) est une nouvelle approche de la conception coloniale de l'organisation institutionnelle et administrative.

Ce qui a été proposé comme structure profonde dans ce livre, c'est que l'organisation territoriale n'est pas une simple démarche administrative, mais elle est en premier lieu, un genre d'organisation en marche,. Dans la conception du protectorat français, les moyens militaires doivent être doublés d'une organisation politique et économique, l'occupation de quelques points bien choisis, centres d'attraction naturels, est autrement efficace que tous les raids et toutes les colonnes du monde. Le développement des voies ferrées, des marchés, la reprise des transactions, l'appel aux intérêts matériels, la création de soins médicaux, constituent les meilleurs modes d'action, selon la vision du maréchal Lyautey.

La structure superficielle de l'organisation territoriale d'Oujda en 1952 concerne huit champs de recherche :
1 / Secrétariat général du protectorat.
2/ Direction des affaires chérifiennes.
3/ Direction des finances.
4/ Direction des travaux publics.
5/ Direction du travail.
6/ Direction de la production industrielle et des mines.
7/ Direction de l'office des PTT.
8/ Direction militaire régionale.

Et c'est à travers ces champs de recherche, que l'auteur présente en détails, le cadre institutionnel et administratif d'Oujda en 1952, dans 10 chapitres :
1. Activités marocaines
2. Réorganisation territoriale et administrative d'Oujda et sa région (1948-1950)
3. Organigramme administratif : région civile d'Oujda
4. Analectes démographiques historiques
5. Indices professionnels (198 indices)
6. Colons d'Oujda
7. Cercle d'Oujda, qui contrôle : El-Aïoun, Jerada, Berguent et Touissit-Boubker
8. Cercle des Béni-Snassen, qui comprend : Berkane, Martimprey-du-Kiss et Taforalt
9. Circonscription de contrôle civil de Taourirt, qui contrôle : Taourirt et Debdou
10. Cercle de Figuig, qui comprend : Figuig, Tendrara et Bouarfa.
Cet ouvrage de 237 pages prolonge l'engagement de Badr Maqri dans l'étude de l'intersection (mémoire-identité) et dans une nouvelle réflexion sur l'anthropologie sociale et culturelle coloniale du Maroc."

Badr Maqri

badr10
Badr Maqri

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Meskellil
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mardi 21 décembre 2010
sur l'histoire d'Oujda par Badr Baqri

Maquette_Badr_Maqri_d_c_2010




Oujda, 1952


- Badr Maqri, Oujad, 1952 : l'organisation territoriale d'une ville marocaine sous le protectorat, 2010.

Ce livre propose une brève présentation post-coloniale de l'un des aspects de l'histoire du Maroc colonisé. Le choix de l'organisation territoriale du protectorat français dans le cas de la ville d'Oujda en 1952 (elle a été occupée par Lyautey le 29 mars 1907) est une nouvelle approche de la conception coloniale de l'organisation institutionnelle et administrative.

Ce qui a été proposé comme structure profonde dans ce livre, c'est que l'organisation territoriale n'est pas une simple démarche administrative, mais elle est en premier lieu, un genre d'organisation en marche,. Dans la conception du protectorat français, les moyens militaires doivent être doublés d'une organisation politique et économique, l'occupation de quelques points bien choisis, centres d'attraction naturels, est autrement efficace que tous les raids et toutes les colonnes du monde. Le développement des voies ferrées, des marchés, la reprise des transactions, l'appel aux intérêts matériels, la création de soins médicaux, constituent les meilleurs modes d'action, selon la vision du maréchal Lyautey.

La structure superficielle de l'organisation territoriale d'Oujda en 1952 concerne huit champs de recherche :
1 / Secrétariat général du protectorat.
2/ Direction des affaires chérifiennes.
3/ Direction des finances.
4/ Direction des travaux publics.
5/ Direction du travail.
6/ Direction de la production industrielle et des mines.
7/ Direction de l'office des PTT.
8/ Direction militaire régionale.

Et c'est à travers ces champs de recherche, que l'auteur présente en détails, le cadre institutionnel et administratif d'Oujda en 1952, dans 10 chapitres :
1. Activités marocaines
2. Réorganisation territoriale et administrative d'Oujda et sa région (1948-1950)
3. Organigramme administratif : région civile d'Oujda
4. Analectes démographiques historiques
5. Indices professionnels (198 indices)
6. Colons d'Oujda
7. Cercle d'Oujda, qui contrôle : El-Aïoun, Jerada, Berguent et Touissit-Boubker
8. Cercle des Béni-Snassen, qui comprend : Berkane, Martimprey-du-Kiss et Taforalt
9. Circonscription de contrôle civil de Taourirt, qui contrôle : Taourirt et Debdou
10. Cercle de Figuig, qui comprend : Figuig, Tendrara et Bouarfa.
Cet ouvrage de 237 pages prolonge l'engagement de Badr Maqri dans l'étude de l'intersection (mémoire-identité) et dans une nouvelle réflexion sur l'anthropologie sociale et culturelle coloniale du Maroc."

Badr Maqri

badr10
Badr Maqri

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Bonjour,

Je découvre votre forum et suis surpris (agréablement) de voir qu'il rassemble des personnes qui ont apparemment bien connu Oujda dans l'après-guerre. Ma mère est née là-bas en 1946 et en est partie en 1969, année de ma naissance en France. Elle était orpheline et a été élevée chez les sœurs (missionnaires de Marie je crois). Elle n'est jamais retournée au Maroc. Et je n'y suis jamais allé. J'ai quelques photos de cet orphelinat, mais très peu d'informations en fait, à part les récits que ma mère a pu (très tardivement) m'en faire : pas très marrant apparemment, éducation assez sévère.

Quelqu'un a-t-il des informations sur cet orphelinat ? Ou mieux encore, quelqu'un a-t-il vécu là-bas à cette époque ?

Merci, et j'espère à bientôt.

Cordialement.

Jean C.

Citation
Jean C.
Bonjour,

Je découvre votre forum et suis surpris (agréablement) de voir qu'il rassemble des personnes qui ont apparemment bien connu Oujda dans l'après-guerre. Ma mère est née là-bas en 1946 et en est partie en 1969, année de ma naissance en France. Elle était orpheline et a été élevée chez les sœurs (missionnaires de Marie je crois). Elle n'est jamais retournée au Maroc. Et je n'y suis jamais allé. J'ai quelques photos de cet orphelinat, mais très peu d'informations en fait, à part les récits que ma mère a pu (très tardivement) m'en faire : pas très marrant apparemment, éducation assez sévère.

Quelqu'un a-t-il des informations sur cet orphelinat ? Ou mieux encore, quelqu'un a-t-il vécu là-bas à cette époque ?

Merci, et j'espère à bientôt.

Cordialement.

Jean C.

Je crois qu'il s'agit de l'orphelinat des Soeurs Fransiscaines qui dépendait de l'église St-Antoine à quelques mètres de l'école Pasteur.

Bonjour,

Il me semble en effet qu'il 'agit des Sœurs Franciscaines. Je n'ai pas de plan ou de photos de la ville à l'époque pour me rendre compte.

Avez-vous connu cet endroit ?

Je cherche en fait à savoir de quand à quand cet orphelinat a existé. Ce que sont devenues ces femmes qui y ont séjourné. Ma mère m'a dit que certaines sont décédées, d'autres ont été mariées par les sœurs à des hommes de la région, d'autres encore, comme ma mère, ont été envoyées en France... Je ne sais pas non plus quels étaient les rapports de ces sœurs franciscaines au sein d'Oujda. Quel rôle elles y jouaient. Enfin que reste-t-il de ce quartier où résidaient ces sœurs franciscaines ? L'église, l'école, l'orphelinat existent-ils encore ? Je suppose que non. Que tout a été détruit.

Merci en tout cas de votre réponse.

Citation
Jean C.
Je cherche en fait à savoir de quand à quand cet orphelinat a existé. Ce que sont devenues ces femmes qui y ont séjourné. Ma mère m'a dit que certaines sont décédées, d'autres ont été mariées par les sœurs à des hommes de la région, d'autres encore, comme ma mère, ont été envoyées en France... Je ne sais pas non plus quels étaient les rapports de ces sœurs franciscaines au sein d'Oujda. Quel rôle elles y jouaient. Enfin que reste-t-il de ce quartier où résidaient ces sœurs franciscaines ? L'église, l'école, l'orphelinat existent-ils encore ? Je suppose que non. Que tout a été détruit.

Merci en tout cas de votre réponse.

L'église et l'école existent encore mais elles sont fermées.

bonjour meskellil je voi tu conais boucoup oujda et son histoir tu peu m aide a cherche une amie qui s apel sebag el baz profeseur de france anne 1962 jusqua1968 vecu bd mohamed v son pere avait un bar rue isly se marie 2 anne con touboul je te remerci si tu veut me donne des rensegnement merci miloud ou corspondre par mail (juliopaco1@gmail.com) encor un foi merci

Un hommage à rendre à Badr Maqri et ses ouvrages sur l'histoire d'Oujda(médiévale et contemporaine): le vendredi 28 octobre 2011 à 15 heures,au Centre d'Etudes et de Recherches Humaines et Sociales d'Oujda ( route du Parc René Maître)