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France

C’est une maladie qui s’installe en France et dans le monde : la "judéobsession" est là. Penser de manière obsessionnelle aux juifs, prendre tout sujet et le judaïser, remettre la synagogue au milieu du village, quel que soit le thème du moment.

Une centaine de députés ont assisté ce mardi 14 novembre à la projection du film sur les attaques du 7 octobre perpétrées par le Hamas sur le sol israélien. «Je crois que ceux qui ont vu cette vidéo ne pourront plus, pendant un long moment, dormir en paix», a confié le député Renaissance Mathieu Lefèvre

Depuis le 7 octobre dernier, on constate une recrudescence des actes antisémites. Dans ce contexte, les Juifs de France ne se sentent pas en sécurité. Voici le quotidien de Thomas à la faculté de Nanterre.

Elle était commerçante, lui travaillait dans la finance. De leur vie confortable à Lyon, Armand et Leslie n'ont aucun regret. Ce couple, de confession juive, a quitté la France en juillet 2023 pour s'installer à Netanya, en Israël, avec leur fils de 9 ans.

Christian Estrosi, vice-président d’Horizons et maire de Nice, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la marche républicaine qui se profile sans union nationale, du conflit israélo-palestinien qui divise la France, du jeu dangereux de la France insoumise et de la loi Immigration.

Non Monsieur le Président Emmanuel Macron !  Israël ne bombarde pas des enfants, des femmes et des vieillards !  Israël est tout simplement en guerre ! Il combat la barbarie du Hamas qui a commis des crimes contre l’Humanité que nous avons visionné ensemble dans le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu

Des chants antisémites dans le métro, des étoiles juives dessinées sur des immeubles à Saint-Ouen, une stèle de Simone Veil vandalisée… 1040 actes antisémites ont été comptés depuis le7 octobre, c’est le double d’exactions comptabilisées en un an.  Etre juif français aujourd’hui, ça veut dire « avoir peur » et se sentir isolé ».

Plusieurs dizaines d’actes antisémites ont été recensés depuis le 7 octobre et les attaques du Hamas contre Israël. Encore sous le choc, la communauté juive oscille entre inquiétude, vigilance et incompréhension. Reportage auprès de citoyens plus que jamais sur le qui-vive.

Antijuives les déclarations ? Mais non ! Comment pouvez-vous dire ça. Antisionistes, oui, mais pas… Quoi? Ah, mais oui, je connais bien la tragédie israélo-palestinienne, je lis “Libé” et “Le Monde” presque tous les jours. Ils expliquent bien.

L’acteur de « Capitaine Conan » au franc-parler légendaire n’a pas mâché ses mots dans une tribune publiée sur le réseau social LinkedIn.

Une femme s'est filmée en train d'ironiser sur l'information selon laquelle un bébé juif aurait été brûlé dans un four par le Hamas. Des propos qui ont scandalisé nombre d'internautes, et qui ont poussé Gérald Darmanin à saisir le procureur de la République de Paris.

L’inquiétude grandit au sein de la communauté juive de France. Plus de 300 personnes ont été arrêtées pour « actes ou menaces antisémites » depuis l’attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre. A Paris, malgré elle, une partie de la communauté fait « profil bas ».

Le principal syndicat d’étudiants juifs de France a placardé les murs de Paris d’affiches portant les visages de citoyens français qui, capturés lors d’un massacre brutal dans le sud d’Israël la semaine dernière, sont retenus en otage par le groupe terroriste palestinien du Hamas. Le mot « Kidnappé » est inscrit sur une bannière rouge en haut de chaque photo.

La personnalité de Sammy Ghozlan, fondateur du Bureau National de Vigilance Contre l’Antisemitisme, aurait dû susciter une cérémonie beaucoup plus importante pour célébrer sa mémoire.

Le 7 octobre, le Hamas lançait une offensive terroriste de grande ampleur, multipliant les actes barbares ciblant les Juifs en Israël. Arno Klarsfeld, avocat spécialiste d'Israël, évoque ces événements pour Livre Noir, et dresse un portrait du spectre politique française sous ce prisme.

Après l'attaque du Hamas contre Israël, plusieurs milliers de Français juifs se sont réunis à Paris en début de semaine à l'appel du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France). Face à la crainte d'une multiplication d'actes antisémites, le gouvernement réaffirme son intransigeance.

Avec plus de 200 ouvrages, il est un auteur prolifique, illustrateur, romancier et réalisateur comme avec Gainsbourg (vie héroïque) sorti en 2010. Ses séries Le Chat du rabbin, qu'il a notamment adapté au cinéma, et Donjon ont conquis le public.

La gorge nouée, le député Meyer Habib (apparenté Les Républicains) des Français établis hors de France (8e circonscription), a évoqué à l’Assemblée nationale les attaques du Hamas en Israël, qu’il a qualifiées de « 11 septembre de l’État juif ».

D’après les informations du quotidien, l’homme se rendait à la synagogue portant sa kippa sur la tête. Il a raconté que le conducteur d’un véhicule a fait semblant de lui foncer dessus à deux reprises. L’individu est ensuite descendu de sa voiture pour lui assener des insultes

Cela représente environ 700 personnes qui ont décidé de rallier l'Etat hébreu entre janvier et juillet 2023. "La diminution du nombre d'immigrés en provenance de France en particulier, et des pays occidentaux en général, nous oblige à sortir des sentiers battus, et à investir massivement pour encourager et faciliter l'immigration.

"Les propos que vous avez tenus sont contraires à nos valeurs universelles et à la vérité historique de la Shoah, vous ne pouvez donc plus vous prévaloir de cette distinction", a annoncé la maire de Paris dans une lettre à Mamhoud Abbas adressé jeudi.

Imaginez qu’un rappeur se fasse appeler « Vatican ». Qu’il ait converti une partie de la jeunesse au rap identitaire chrétien, tel un juteux business. Qu’en pleine série d’attentats au nom de Jésus, ce rappeur baptise son album Croisade, incite son public à « crucifier les laïcards comme à Golgotha », multiplie les quenelles contre des sites juifs, prône une virilité toxique se moquant des « tarlouzes »…

Pour l’historien et essayiste Marc Knobel, l’invitation du rappeur Médine lancée par EELV et LFI est le symbole d’une crise politique profonde.

"Pour moi, fouler ces Planches de Deauville, c'était comme monter les marches du Festival de Cannes, se souvient Elie Chouraqui. Il y avait quelque chose de mystérieux autour des Planches : je me disais que j'allais y rencontrer des gens extraordinaires, voire des choses que je ne verrais nulle part ailleurs". Ainsi le réalisateur dépeint-il le Deauville de son enfance, le sourire aux lèvres.

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