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France

Moi, qui m'appelle Marc, j'ai connu et je connais des personnes au prénom bien coloré, bien chantant, presque exotique, qui rappelle leur pays, le bled, de là-bas, d'entre les routes et les mers, au lointain. Mais qui ont ce pays (la France) dans la peau, il coule dans leurs veines.

Lorsque, entre 1955 et 1975, on érige 12 000 logements flambant neufs sur les champs légumiers du Val-d'Oise pour accueillir la démographie galopante d'après guerre, on croit dur comme fer à la modernité et au progrès. Sarcelles, ville nouvelle, se donne des airs d'utopie.

Mourir à Yom Kippour, ça c’est du « Grand » Marceline !

Ne me dites que c’est juste un hasard. Je n’en crois pas un mot.

Manfred Gerstenfeld prétend que la France est le pays le plus anti-israélien d’Europe et l’un des pays d’Europe les plus imprégnés d’antisémitisme. Je pense que ces affirmations sont exactes.

Alors qu’au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la Seine-Saint-Denis est progressivement devenue une terre d’asile pour un bon nombre de familles juives venues principalement du nord de l’Afrique, elle s’est aujourd’hui, pour nos compatriotes juifs, très largement transformée en un territoire hostile.

La photo de la porte avec des inscriptions antisémites a rapidement fait le tour des réseaux sociaux et scandalisé les internautes, politiques et riverains. 

A un tel degré de haine, Libé ne parle plus d' "émissaires américains", mais de Trumpistes. Comme si l'on avait écrit lors de la présidence U.S. précédente : "le nouvel ambassadeur obamiste a pris ses fonctions à Paris".

L’exposition consacrée à Simone Veil au Panthéon, dans le Ve arrondissement de Paris, a subi des dégradations dans la nuit du samedi 1er au dimanche 2 septembre, révèle Le Parisien ce vendredi 7 septembre.

 Ils dénoncent aussi « les dangers et les ravages de la parole anti-juive » sur les réseaux sociaux...

Ce fut un retour de vacances brutal au Centre Georges-Pompidou, situé dans le 4e arrondissement de Paris. Dans son bureau, un cadre administratif du musée a découvert en rentrant de ses congés un tableau qui avait été tagué d'une croix gammée, rapporte Le Parisien. 

En 2006, la mère et le frère de Booba sont enlevés et séquestrés. On réclame une grosse somme d'argent au rappeur pour leur libération. L'affaire est contemporaine du rapt et de l'assassinat du jeune Ilan Halimi.

Voilà déjà plus d'un an, je me désolais encore du silence de la presse convenue, ordinairement à l'affût de tout ce qui peut ressembler de près mais surtout de très loin au racisme, à l'égard de celui de Monsieur Corbyn, leader très islamo-gauchiste du parti travailliste britannique.

J’ai quitté la France depuis un peu plus de deux ans maintenant. Je n’ai aucune intention de faire le voyage de retour, sinon pour de brefs séjours et aux fins d’être utile, donc pour donner des conférences et rencontrer des gens que j’estime. Je n’ai pas choisi de partir ailleurs en Europe. J’aurais pu choisir de rejoindre Israël. J’y ai songé. J’ai opté pour les Etats-Unis.

Bernhard Willem Holtrop, dit Willem, est un dessinateur satirique néerlandais. Il réside en France depuis 1968 et devient en 2013 le premier Néerlandais à obtenir le Grand Prix de la Ville d’Angoulême. Il est réputé pour son “Humour vache” mais nous considérons qu’il a dépassé les bornes en tweetant ce dessin manifestement antijuif et à la fois anti-israélien.

Nir Barkat, le maire de Jérusalem, a mis en ligne voici peu (avant les récents tirs de roquettes depuis Gaza) un message vidéo appelant les dirigeants européens, nommément Angela Merkel, Emmanuel Macron et Theresa May, à se joindre au combat mené par Israël contre le terrorisme islamique

Finalement, si l’affaire Benalla n’est pas une affaire d’Etat, est-ce seulement un fait-divers ? Cette affaire ne témoignerait pas d’une France, République bananière. Les passe-droits sont oubliés. Mais à bord du train de 15h17 pour Paris, Spencer Stone, un des héros du Thalis, n’est pas intervenu sous protection policière contrairement à Benalla le 1er mai.

En lisant les articles qui concernent Israël dans la presse française, je ne peux, la plupart du temps, m’empêcher de ressentir un irrépressible dégoût. Cela commence avec le vocabulaire qui, à lui seul, pourrait m’inciter à cesser de lire ces textes. “Cisjordanie occupée”, “Jérusalem Est occupée” (encore), “Gaza sous blocus israélien” [depuis dix ans. Ndlr.], “colons”, “colonies”, et j’en passe. 

C’est le feuilleton culte de l’été qui mobilise autant que la Coupe du monde de football et le Tour de France cycliste : « L’affaire BENALLA ». Pour les chaînes de télévision, l’indice d’audience est au plus haut et les journaux trouvent, là, matière à noircir leurs colonnes bien vides sans cela…

C’est entendu, les fautes d’Alexandre Benalla sont inexcusables. C’est entendu aussi, Emmanuel Macron a commis, en accordant une trop longue confiance à un jeune homme inexpérimenté, frimeur, cogneur et se rêvant indifféremment flic ou voyou, plusieurs erreurs de jugement.

Un de ses invités dépourvu de badge de sécurité s’est vu refuser l’entrée à l’Assemblée nationale. Le député en a fait toute une histoire. Contacté Meyer Habib, explique que les personnes qu’il accompagnait étaient des représentants de l’armée israélienne, invités par la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée dont il est vice-président. 

Espion marocain ? Juif séfarade envoyé par le Mossad… les hypothèses complotistes font en tout cas les choux gras des partis d’extrême droite français.

Dans la nuit de samedi à dimanche dernier, Israël a finalisé une opération humanitaire en plein territoire syrien, dans les provinces de Deraa et Quneitra – actuellement sous le contrôle partiel de groupes rebelles sunnites, mais en voie de reconquête par les troupes gouvernementales d'Assad avec le soutien du corps expéditionnaire russe. L'objectif de l'opération était d'évacuer un groupe de 422 Syriens, composé de "Casques Blancs" et de leurs familles

L'imam algérien de la grande mosquée de Toulouse Mohamed Tataï est au coeur d'une vive polémique depuis qu'a été relayée, fin juin, une vidéo d'un prêche de décembre 2017 dans lequel il cite un hadith évoquant la "bataille ultime et décisive" entre juifs et musulmans. 

Madame Saada, qui vit à Montpellier, a reçu un courrier du Syndic “Foncière Bergé”, lui demandant de retirer la mezouza posée à l’entrée de son appartement. 

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