« Un séjour, une chambre, une salle de bains et un coin cuisine.» Quelle déchéance ! C’est dans ce triste gourbi à 360 euros par mois, situé au treizième étage d’un immeuble de Casablanca, que Maurice Bidermann, l’ancien «pape de la sape », vivrait désormais. En tout cas, d’après le bail qu’il a présenté en mai pour prouver sa domiciliation marocaine aux magistrats de la cour d’appel de Paris, qui s’étonnaient qu’il ne déclare aucun revenu en France.
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