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Histoire

Pendant des décennies, les "nouveaux Palestiniens" ont nourri la saga de la "naqba" ou la "catastrophe", qui est devenue le leitmotiv de rassemblement de cette nouvelle identité arabe (5). De son côté, Israël a choisi de minimiser les persécutions, les expulsions et les dépouillements d'avoirs des Juifs des pays arabes. (6)

Les Berbères seraient venus en Afrique du Nord après que David eut vaincu Goliath. Une hypothèse plus ancienne avancée par Moïse de Corène et Procope voudrait que les habitants du Canaan fussent arrivés en Afrique du Nord après la conquête du Canaan par Josué.

De Berlin aux côtes caribéennes. Un itinéraire peu banal suivi par des milliers de Juifs entre 1938 et 1941 qui trouvèrent refuge dans la ville de Sosua, en République Dominicaine.

Je me suis intéressé au destin des Juifs du Maghreb lors d’une mission humanitaire au Maroc en 1961 pour amener des enfants Juifs clandestinement en Israël (« Opération Mural

Nous sommes en l’an 170 de l’hégire, soit en 787 de l’ère grégorienne: l’Oriental Idris ben Abd-Allah El-Kamil vient d’accoster à Tanger, avant de s’installer dans le Zerhoun, en compagnie de son affranchi Rachid, échappant à la persécution abbasside contre les descendants de Ali ben Abi Talib à la bataille d’El-Fakh, près de La Mecque.

Le musée juif de la ville éternelle propose à partir de ce vendredi d’explorer ce quartier tel qu’il était dans la seconde moitié du XIXème siècle, grâce à une carte en 3D minutieusement recomposée sur une tablette interactive fonctionnant à la manière de Google street.

Mais revenons en arrière et scrutons un peu ce que nous dit la Bible de l’Egypte pharaonique, une Egypte ancienne qui n’a rien à voir, ni de près ni de loin, avec celle de Mohammed Morsi

La visite du camp d'Auschwitz, évidemment, ébranle n'importe quelle personne qui revoit, photos, vêtements, valises, chaussures, ustensiles et même cheveux ayant appartenu aux victimes; l'on constate alors au bout de huit heures de visite dans ces camps de concentration et dans ces camps de mise à mort cette folie meurtrière qui a sévi dans ces lieux au nom de l'idéologie nazie, de son antisémitisme et de ses idées suprématistes.

De nouvelles preuves sont apparues pour corroborer les allégations selon lesquelles la Grande-Bretagne a encouragé la résistance arabe contre l'établissement d'un état juif en 1948, et a même aidé à armer les forces arabes pour ce qui est devenu la guerre d'indépendance israélienne.

Comment le jeune Etat juif parvient-il à s'implanter dans un environnement hostile tout en poursuivant un processus de construction nationale particulièrement original ?

Dans le vieux Maroc indépendant — le Maroc d'avant le protectorat — les Sultans usaient volontiers des lumières et de l'habilité des Juifs dans la marche des affaires de l'Etat.

Le silence s'est fait dans la grande salle centrale de la synagogue Bichi de Tripoli en ce 22 avril 1928, le moment est solennel, le grand rabbin Yitshaq 'Haï Bokobza va prononcer en hébreu un texte du rituel et donner ainsi sa bénédiction au souverain d'Italie Vittorio Emanuele III (1869-1947), accompagné de la reine Elena di Montenegro (1873-1952), son épouse. 

Quelles sont aujourd'hui les «traces» concrètes ou symboliques de la présence juive au Maroc ?

Le sultan Moulay Abd el-Hafid, assiégé par plusieurs tribus dans sa capitale, Fès, demande l'intervention militaire de la France, ce qui provoque une crise avec l'Allemagne. 

L'histoire de cet homme hors du commun commence en 1603 lorsqu'il a près de 50 ans et quitte l'Empire saadien, en proie aux guerres, pour acheter en Espagne des bijoux pour le compte du sultan Moulay Zidane appelé à régner sur l'empire (de 1603 à 1628).

Au sommet de sa gloire en Europe en 1941, Hitler regarde vers l’Afrique où ses alliés italiens se heurtent à de courageuses troupes britanniques isolées. Il décide d’envoyer un de ses meilleurs hommes, le général Rommel, à la tête d’une armée moderne et motivée répondant au nom de Deutsches Afrikakorps. 

La connaissance du Maroc par Charles de Foucauld n’aurait jamais été possible sans l’aide d’un homme : Mardochée Ben Serour. Un juif marocain, grand explorateur, que l’histoire n’a finalement pas si bien remercié.

L'histoire des Juifs, après la destruction de Jérusalem (70 après J.-C.), est celle d'un peuple dispersé, conservé par sa foi, sa Loi et sa vie spirituelle. 

Le 8 novembre 1942,   à 4 heures du matin, Deux grands bâtiments de guerre,  le Philadelphia  et  le New York, accompagnés de quatre destroyers,  neuf escorteurs et dragueurs,  six transports de troupes et un pétrolier se présentent devant le port de Safi. 

L'histoire des juifs au Maroc est très ancienne et fut nourrie par diverses vagues de réfugiés à la suite des vicissitudes et persécutions dont ont été victimes les Juifs au cours de l'histoire.

Saviez-vous qu’une communauté juive prospère habitait autrefois l'Arabie Saoudite? Durant presque un millénaire, des Juifs vécurent au nord de la péninsule, dans les oasis du Teyma, Khaybar, et Yathrib 

Joseph naquit en Espagne à l'époque où la cruelle Inquisition était au pouvoir. Les Juifs n'étaient plus libres de servir le Dieu de leurs pères. La plupart de ceux qui désiraient demeurer ouvertement fidèles à leur foi – ce fut le cas du plus grand nombre – avaient été expulsés (1492). 

Le 30 novembre a été fixé par le gouvernement israélien comme le jour de commémoration de l’exode de près de 900.000 Juifs d’Afrique du Nord, du Proche-Orient et d’Iran suite à la création de l’Etat d’Israël. 

Le Rabbin Albert Brahim Guigui s'exprime Sur l'attitude du Maroc en 40-45 et de la reaction courageuse du Sultan Mohammed V face aux nazis et au regime de Vichy

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