A l’occasion du Nouvel an perse, le Grand leader Khamenei est sorti personnellement de son antre, très courroucé, pour affirmer publiquement que "les Américains ne respectent pas les engagements qu’ils ont pris lors de la conclusion de l’accord"
Des appareils israéliens et jordaniens sont intervenus conjointement face à des avions russes sur la frontière syrienne dans la région du Golan ouest et sud. On est passé très près d’une confrontation aérienne majeure
Nous sommes confrontés à une période de grand danger. Daech, le soi-disant Etat islamique, continue de propager son idéologie diabolique, et modifie la perception locale de notre région.
Non, ce n'est pas l'État islamique, ce ne sont pas non plus les milices chiites dévastatrices mais bien le barrage de Mossoul, le plus grand d'Irak, qui pourrait en s'effondrant provoquer des millions de morts.
Les enseignements sécuritaires des attentats de Bruxelles, lacunes, critiques et mesures à prendre en urgence. L'impact stratégique de la reprise de Palmyre par les forces gouvernementales syriennes, le Hezbollah et les Iraniens.
La théorie du Mossad et de la Cia sert avec une lamentable facilité à absoudre chacun du Daech en nous, de nos responsabilités face au monde et face aux conséquences de nos actes. Incroyable cet effort constant chez nous de fuir le réel et l’évidence pour coller nos drames aux autres.
Stéphane Juffa, rédacteur en chef de la Metula News Agency, analyse au micro de Jim Mosko, rédacteur en chef de Radio Judaïca Bruxelles, la situation après le départ des Russes.
C’est le contraire du titre du film de Norman Jewison de 1966, "Les Russes arrivent". Ce qui est sûr est que ce départ inattendu, dont ni les Américains ni les Israéliens n’avaient été informés, a pris tout le monde par surprise.
Le journaliste saoudien Mohammed Aal Al-Sheikh écrit dans sa chronique du quotidien saoudien Al-Jazirah qu’aujourd’hui, l’Iran est l’ennemi n° 1 de l’Arabie saoudite et des pays du Golfe, supplantant l’ennemi historique : Israël. Tout citoyen du Golfe qui n’est pas de cet avis, ajoute-t-il, est un traître.
Le journaliste, écrivain et analyste politique jordanien Jihad Al-Mansi écrit dans le quotidien jordanien Al-Ghad, sous le titre « Attention, la voiture roule en marche arrière ! », que la société arabe se trouve au bas du classement mondial en sciences, culture, dans le domaine des droits de l’homme et de la femme et de la lutte contre la corruption.
Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes.
Kamel Daoud a décidé d’abandonner le journalisme suite à une tribune signée par un collectif d’intellectuels dans le Monde lui reprochant son«culturalisme», ses «clichés orientalistes», son «essentialisme», pour ne pas dire son islamophobie
De tous côtés, on évoque de prétendus « modérés » ou des « réformistes ». On dit aussi très souvent que, face aux « modérés » (ou « réformistes ») se dressent les « conservateurs ». La notion de « modéré », comme la notion de « réformiste » n’a aucun sens dans le contexte d’un régime tel que la théocratie iranienne
Le père Patrick Desbois, président d'Action Yézidis, dénonce le génocide perpétré par Daesh contre les Yézidis, minorité religieuse du Kurdistan irakien et de Syrie. En septembre, il présentait au Quai d'Orsay un rapport accablant devant une cinquantaine de personnes, dont plusieurs ministres des Affaires étrangères de pays arabes.
Nous sommes des Levantins, nous sommes des Byzantins, des syriaques, des Chaldéens, des Assyriens, des Coptes, nous sommes les descendants d’Ebla et de la Mésopotamie, des Phéniciens, des Pharaons, nous sommes du Levant et son peuple autochtone.
Dans un article intitulé « Eduquer les réfugiés d’Europe est aussi important que les nourrir », l’éminent journaliste saoudien Abd Al-Rahman Al-Rashed, ancien rédacteur en chef du quotidien Al-Sharq Al-Awsat, basé à Londres, et ancien directeur d’Al Arabiya TV, aborde la question des réfugiés syriens en Europe.
L’emprise du Hezbollah et de ses mentors iraniens sur le pays allait s’amplifiant, grignotant chaque jour davantage notre indépendance, en imposant sa loi par les menaces de violence sur l’ensemble de nos institutions.
La réclusion identitaire à laquelle le monde arabe semble aujourd’hui partiellement consentir résulte à la fois d’une longue histoire interne de formation de la pensée et d’un contexte mondial où les conflits qualifiés de « culturels » tendent à prendre le pas sur tous les autres champs de l’éternel affrontement entre dominés et dominants
Martine Gozlan, rédactrice en chef à "Marianne" et écrivain, réagit à la récente tribune de 12 ex-diplomates parue dans "Le Monde" et emplie de mauvaise foi sur le conflit israélo-palestinien.
Le chaos qui s’est emparé de diverses régions du grand Moyen Orient et qui menace de se transformer en guerre régionale a fait qu’Israël s’est beaucoup moins trouvé au centre de l’actualité ces derniers mois.
Il existe plus de quatre-vingt-cinq pour cent de probabilité pour qu’Israël ait attaqué et détruit, la nuit dernière, une base gouvernementale syrienne et ses entrepôts situés sur la montagne d’al Mané, à une dizaine de kilomètres en plein sud de Damas
Des rapports spécialisés dans les questions de défense affirment que le déplacement, dernièrement, à Rabat, du général Petr Pavel, se veut la manifestation la plus éclatante de la volonté de l’OTAN de faire du Maroc un partenaire stratégique
Depuis la guerre de Kipour de 1973 et l'arrivée des ayatollahs "shiite" en Iran en 1979, les diverses guerres subies par Israël sont principalement le fait de satellites directs de l'Iran, comme le Hezbollah qui domine la scène libanaise (un véritable état dans l'état) et de satellites indirects, comme le Hamas à Gaza.
Tous ceux qui appellent aujourd’hui à combattre Israël, en dédramatisant les questions relatives à l’Iran, ont un problème. Que l’Iran nous donne des garanties. Qu’attendons-nous de l’Iran ? Nous voulons qu’il tire profit des liens normalisés qui se sont tissés avec la communauté internationale.
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